vendredi 22 mars 2019

Saint Joseph patron et modèle des religieux



Extrait de "Pouvoir de Saint Joseph", par le R. P. Huguet, Mariste :


La fuite en Égypte (Alessandro Turchi)


Soyez mes imitateurs comme je le suis moi-même de Jésus-Christ. (I Cor., XI)


Saint Joseph eut le bonheur de passer trente ans dans la plus intime union avec Celui en qui sont renfermés tous les trésors de la sagesse incréée. Les traits de ce divin modèle s'imprimaient tous les jours profondément dans son âme, déjà si pure et si bien préparée, et le cœur de Jésus, ce parfait exemplaire de toutes les vertus, communiquait sans cesse à celui de Joseph ses sentiments, ses dispositions, ses divines ardeurs.
Quoique l'Écriture dise peu de chose des actions de saint Joseph, il n'est pas difficile néanmoins à une âme attentive de connaître, par son silence même, que la vie de ce grand Patriarche fut sanctifiée par l'exercice des plus sublimes vertus. Mais bornons-nous à méditer ces vertus fondamentales sur lesquelles repose la vie religieuse : la chasteté, la pauvreté et l'obéissance.
Modèle des religieux et des religieuses, sa maison ayant été le plus saint monastère qui fut jamais, lui-même ayant été comme un supérieur des vierges dont sa famille était toute composée, ayant vécu dans la pratique de la chasteté, de la pauvreté et de l'obéissance la plus exacte, et dans une retraite, une prière et un silence continuels.
Et d'abord qu'elle fut belle et admirable sa chasteté ! Pardonnez-moi, Seigneur, si j'ose dire que ces Esprits vierges qui composent votre cour dans le Ciel, n'ont jamais possédé une pureté si noble, si glorieuse, si utile, si admirable que cet homme-vierge, sur le sein duquel vous preniez un délicieux repos. Dans les Intelligences célestes, la chasteté n'est qu'une propriété de leur nature ; mais dans Joseph elle est le fruit d'une grâce privilégiée ; elle est nécessaire et sans mérite dans les Anges, mais volontaire, sans exemple, et digne d'une récompense éternelle dans le saint Époux de Marie ; les Esprits la conservent dans une substance impassible, et Joseph la fait triompher dans une chair fragile et sujette à la corruption ; elle ne possède que l'esprit des Anges, tandis qu'elle est la belle et blanche vertu de l'âme et du corps très-pur de Joseph. La virginité de ce saint Patriarche était nécessaire pour l'accomplissement du mystère de l'incarnation tel qu'il avait été conçu dans le Ciel.
Le Fils de Dieu peut dire : Il n'y a que deux vierges au monde à qui je suis redevable de ma vie : à ma Mère en qui j'ai pris une naissance toute pure et toute divine ; à Joseph qui est demeuré vierge pour ne pas empêcher ce miracle de grâce.
Marie peut dire à son tour : Il n'y a qu'un Dieu et un homme à qui je dois l'honneur de ma maternité divine : à mon Fils qui m'a choisie pour Mère ; à mon chaste Époux qui est le gardien de ma virginité, sans laquelle je n'aurais jamais été la Mère de Dieu (la virginité, dit saint Jean Chrysostome, assimile ceux qui vivent sur la terre aux habitants du céleste royaume, et rend les mortels semblables aux pures Intelligences ; elle les égale aux Anges et fait même douter s'ils ne les surpassent pas).
Une bouche mortelle ne saurait exprimer quelles durent être la sainteté et l'innocence de celui qui fut choisi entre tous les hommes pour être l'Époux et le gardien de la plus pure et de la plus sainte des créatures, et combien la pureté de son cœur s'embellit encore par son union avec cette Vierge immaculée.
Votre Ange, ô mon Dieu ! n'avait dit qu'une parole à cette Vierge si pure et la voyant extraordinairement émue, il s'était retiré ; mais Joseph plus heureux a une entière liberté de lui parler seul à seul, de demeurer toujours avec elle, d'avoir avec elle ces doux et saints entretiens qui, sans lui laisser aucun trouble dans l'âme, l'édifient et le consolent. Que ne devait pas opérer la présence de cette Reine des vierges sur le cœur de Joseph, déjà pur comme les Anges et prévenu dès son enfance d'un attrait singulier pour la sainte vertu !
Saint Augustin prouve que l'âme de la très sainte Vierge fut la plus pure de toutes, parce qu'elle fut la plus unie et la plus familière avec Jésus-Christ qui efface les péchés du monde.
On peut dire qu'après l'auguste Mère de Dieu aucun saint n'eut des rapports plus intimes avec Jésus, que Joseph qui conversa si longtemps avec lui. Quelle pureté ne dut-il pas acquérir dans la compagnie du Saint des saints et de la Reine des vierges !
« Saint Joseph , dit saint François de Sales, a surpassé en pureté les Anges et les Archanges. Car, si le soleil matériel n'a besoin que de peu de jours pour donner au lis sa blancheur éblouissante, qui pourra concevoir à quel admirable degré de candeur s'éleva la pureté de Joseph, exposée jour et nuit durant tant d'années aux rayons du Soleil de Justice et de cette Lune mystique qui emprunte de lui sa splendeur ? »
C'est lui qui, de concert avec son auguste Épouse, a levé l'étendard de la virginité perpétuelle, sous lequel sont venues se ranger des troupes innombrables d'âmes privilégiées qui, ayant le cœur plus grand que le monde, ont mené sur la terre une vie angélique. Aussi a-t-il une grâce particulière pour nous secourir contre les tentations de la chair, et son nom invoqué avec confiance porte avec soi, comme celui de Marie, l'idée, l'impression, l'amour de la pureté et de l'innocence toute divine du Sauveur-Enfant et de l'intégrité de la Reine des vierges. Marie trouva dans Joseph un zélé défenseur du glorieux privilège de sa virginité, contre le souffle empoisonné des hérésies qui s'efforçaient de la flétrir : Promptissimus defensor contra derogantes virginitati meoe, dit Marie elle-même à sainte Brigitte (Notre-Seigneur parlant à sainte Brigitte s'exprime ainsi : « Ma Mère fut Vierge avant, pendant et après l'enfantement. Pour le prouver, le seul témoignage de saint Joseph serait suffisant ; car il fut témoin et gardien de sa virginité. » Lib. v, Interrog. XII, q. 5).
Âmes pieuses, c'est sous la protection de Joseph que vous aurez le bonheur de conserver une vertu qui fait le plus bel ornement de la vie religieuse. C'est aux vierges que Dieu promet le centuple en cette vie et la gloire éternelle en l'autre. Heureuse l'âme à qui Dieu donne cette sainte vocation ! Que les personnes auxquelles ce bonheur n'est pas accordé, se rapprochent autant que possible de la virginité en gardant fidèlement la chasteté convenable à leur état.
Si nous nous rappelons qu'un des principaux effets de la sainte humanité de Jésus-Christ est de purifier, de sanctifier, de diviniser en quelque sorte, non-seulement nos âmes, mais même nos corps ; que c'est en particulier l'effet propre de l'adorable Eucharistie, penserons-nous que celui qui a tant de fois touché de ses mains le Verbe fait chair, tandis qu'il l'embrassait encore plus étroitement par sa foi et par son amour, n'ait pas été sanctifié, spiritualisé, transformé pour ainsi dire par sa divine parole ?
Non, jamais nous ne pourrons assez admirer l'éminente pureté du cœur de Joseph, cette incorruptibilité de son âme, cette virginité intérieure, ce parfait dégagement d'un esprit entièrement purifié, cette sublime vertu qui unit l'homme si intimement à Dieu, qui le familiarise avec lui, qui le lui rend semblable autant que la nature humaine en est capable, qui ne laisse plus dans l'âme que des inclinations vertueuses, des impressions divines, des pensées célestes ; cette délicatesse du cœur qui ne souffre pas le moindre atome qui puisse tant soit peu blesser les regards de Dieu.
Saint Joseph aima et pratiqua la pauvreté évangélique qui devait servir de modèle aux Religieux. Il fut pauvre d'esprit et de cœur, il souffrit les incommodités de sa pauvreté sans se plaindre ; réduit à gagner sa vie et celle de sa sainte Famille, il s'estimait trop heureux de partager avec Marie la pauvreté de Jésus qui, possédant toutes les richesses, s'est fait pauvre pour l'amour de nous ; à son exemple, il voulut vivre et mourir pauvre.
Descendre des souverains que Dieu avait mis sur le trône d'Israël ; être d'une famille où le sacerdoce et la royauté avaient été réunis, et accepter sans murmure une pauvreté extrême, se contenter de gagner sa vie à la sueur de son front dans une boutique ; en un mot, vivre en simple artisan par cet esprit de religion qui fait que nous aimons à nous anéantir aux yeux des hommes ; c'est là ce qu'on peut appeler un prodige d'humilité. Malgré nous le sang nous rappelle à notre origine.
L'obéissance de saint Joseph n'est pas moins digne de notre admiration. Toute la sainteté de ce grand serviteur de Dieu eut pour base l'obéissance, et sa vie ne fut pour ainsi dire qu'une pratique continuelle de cette vertu. Il obéit sans murmure au décret d'un empereur idolâtre, qui l'oblige de se rendre à Bethléem ; il accompagne Marie au temple, lorsque pour accomplir la loi elle va se purifier, comme une femme ordinaire, et consacrer son Fils au Seigneur. Il obéit sans délai à un ordre du Ciel encore plus rigoureux et plus sévère.
Après son retour de Jérusalem, il demeurait paisiblement à Nazareth avec Marie. Le paradis n'offrait pas plus de bonheur que cette sainte maison ; Jésus était le nœud de ces deux cœurs et leur amour commun ; ils vivaient heureux de sa présence, comme s'ils eussent été déjà dans le Ciel ; mais voici une épreuve qui montre bien qu'ils sont encore sur la terre. Au milieu de la nuit pendant que les trois augustes personnes qui composaient la sainte Famille dormaient, un Ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph, et lui dit de sauver par une fuite précipitée la vie du saint Enfant. Il obéit à l'instant sans murmurer et sans délais. (l'Ange apparaît à Joseph dans son sommeil, parce que le repos du corps, celui même de la contemplation la plus sainte, doit être abandonné à l'instant dès que Dieu ordonne le travail et l'action : Je trouverai la paix, ô Seigneur ! dans mon affliction la plus amère [Isaïe, 38], toutes les fois que vous m'ordonnerez d'embrasser ces œuvres pour lesquelles les âmes amies du repos ont le plus de répugnance)
Saint Ambroise a remarqué que lorsque Dieu ordonna a Abraham de sortir du lieu de sa naissance pour entreprendre de longs pèlerinages, il lui fit en même temps des promesses magnifiques, mais on ne voit pas dans l'Évangile ce que Dieu promit à Joseph en lui commandant de sortir de sa patrie pour aller en exil chez un peuple barbare. Heureux de faire la volonté de Dieu comme les Anges la font dans le Ciel, ce saint Patriarche ne recherchait en obéissant que le plaisir que Dieu trouve à nous voir parfaitement soumis à tout ce qu'il désire. Abraham ne craint que la perte d'Isaac ; mais Joseph , en se rendant en Égypte, expose et toute sorte de dangers, non-seulement sa personne, mais encore celle du Fils de Dieu lui-même et de sa divine Mère qu'il aime mille fois plus que sa propre vie. Abraham, dans sa douleur, a la consolation de penser que son fils sera sacrifié au vrai Dieu, mais Joseph est dans l'appréhension continuelle de voir Jésus-Christ immolé par des idolâtres à de fausses divinités (voici encore un mystère plus excellent. Partout où entre Jésus, il y entre avec ses croix et toutes les contradictions qui doivent l'accompagner. « Levez-vous, » lui dit l'Ange ; « hâtez-vous de prendre l'Enfant et sa Mère, et fuyez en Égypte. » Pesez toutes les paroles, vous verrez que tout inspire de la frayeur. « Levez-vous, » ne tardez pas un moment ; il ne lui dit pas: allez, mais, «fuyez » L'Ange parait lui-même alarmé du péril de l'Enfant : Et il semble, disait un ancien Père, que la terreur ait saisi le Ciel avant que de se répandre sur la terre. Pourquoi ? si ce n'est pour mettre à l'épreuve l'amour et la fidélité de Joseph, qui ne pouvait pas n'être pas ému d'une manière fort vive en voyant le péril d'une épouse si chère et d'un si cher fils.
Étrange état d'un pauvre artisan qui se voit banni tout à coup ; et pourquoi ? Parce qu'il est chargé de Jésus et qu'il l'a en sa compagnie. Avant qu'il fût né, lui et sa sainte Épouse vivaient pauvrement, mais tranquillement dans leur ménage, gagnant doucement leur vie par le travail de leurs mains ; mais aussitôt que Jésus leur est donné, il n'y a point de repos pour eux. Cependant Joseph demeure soumis et ne se plaint pas de cet enfant incommode qui ne leur apporte que persécution. Il part, il va en Égypte où il n'a aucune habitude, sans savoir quand II reviendra à sa patrie, à sa boutique et à sa pauvre maison. L'on n'a pas Jésus pour rien ; il faut prendre part à ses croix. Pères et mères chrétiens, apprenez que vos enfants vous seront des croix ; n'épargnez pas les soins nécessaires non seulement pour leur conserver la vie, mais, ce qui est leur véritable conservation, pour les élever dans la vertu. Préparez-vous aux croix que Dieu vous prépare dans ces gages de votre amour mutuel, et, après les avoir offerts à Dieu comme Joseph et Marie, attendez-vous comme eux à recevoir, quoique peut-être d'une autre manière, plus de peines que de douceur. — Bossuet).
Ainsi Joseph est, après Marie, le plus admirable modèle que puissent se proposer d'imiter les personnes consacrées à Dieu dans la Religion. Il est certain en effet qu'aucun fondateur d'ordre n'a laissé en ce qui tient aux vœux religieux des exemples aussi parfaits que notre Saint, puisqu'il a été un excellent maître de chasteté, de pauvreté et d'obéissance. Dans la pauvre maison de Nazareth, on voyait le modèle le plus parfait de la vie commune, une règle vivante de la vie active et contemplative. Beaucoup de maisons régulières, ainsi que le démontrent des faits authentiques, ont éprouvé l'efficacité de la protection de saint Joseph, soit pour se recruter quand elles manquaient de sujets, soit pour se soutenir dans les temps de disette. Les communautés religieuses seront toujours chères à un saint, heureux d'y voir retracer fidèlement la vie que Jésus mena durant trente années à Nazareth dans l'obscurité et sous le joug de l'obéissance.
Glorieux saint Joseph, modèle de détachement et de l'obéissance religieuse. Ô vous qui êtes couronné des lis les plus blancs de la plus pure virginité, incomparable Joseph, nous avons déjà appris de la divine Sagesse, que personne, par ses propres forces, ne peut vous suivre dans cette glorieuse carrière ; mais nous savons en même temps que ce don précieux ne peut être refusé à ceux pour qui vous daignez le demander. Obtenez-nous donc une si parfaite pureté de cœur, d'esprit et de corps, que nous participions à la béatitude de ceux dont il est dit : Bienheureux ceux qui ont le cœur pur, parce qu'ils verront Dieu.


EXEMPLE

Dans les premières années du XVIIe siècle, l'Ordre des Chartreux fut soumis à une rude épreuve. Il ne se présentait plus de sujets pour y entrer, les noviciats étaient vides, il allait se dépeupler peu à peu, comme une armée qui, faute de recevoir de temps en temps des recrues, diminue tous les jours, et finit par se réduire à rien. Cependant le Chapitre général de l'Ordre se tint à la Grande-Chartreuse. Les principaux Pères, pour conjurer le danger qui les menaçait, proposèrent de recourir à la protection de saint Joseph ; d'après leur avis, on décréta que l'Ordre entier honorerait le saint Époux de Marie comme son Patron, et que désormais sa fête serait élevée au rang des plus solennelles. Le décret fut exécuté, et on ne tarda pas à en recueillir les heureux effets. Dès ce moment, des sujets nombreux et animés des meilleures dispositions se présentèrent, et les noviciats se peuplèrent de manière à ne plus laisser de crainte ou d'inquiétude pour la conservation de cet Ordre vénérable.
Nous avons été nous-même l'heureux témoin de l'affection toute spéciale et de la touchante confiance de ces saints Religieux pour leur auguste Patron dont ils s'appliquent avec tant de zèle à retracer toutes les vertus, son amour du silence et de la vie cachée, son esprit d'oraison et de pénitence.


PRATIQUE

Prier pour les congrégations religieuses placées sous le patronage du saint Joseph.




Conseil : Prudence aux époux qui souhaitent garder la continence durant le Carême et qui souffrent habituellement de fortes tentations contre la chasteté (nul ne sera couronné s'il n'a pas combattu) ; ne culpabilisez pas si vous ne réussissez pas à tenir l'objectif que vous vous étiez fixé ; Vous offenseriez plus encore Notre Seigneur Jésus-Christ si vous vous exposiez, connaissant votre faiblesse, à une occasion de pécher gravement. Notre divin Maître ne vous demande pas l'impossible. Voyez votre misère et priez davantage pour obtenir de résister à la tentation, et faites des neuvaines aux saints qui ont été des modèles de chasteté, notamment Saint Joseph. Cherchez par ailleurs à vous renoncer vous-mêmes, en vous choisissant pour ce Carême, une vertu à acquérir et un vice à anéantir.




Reportez-vous à Prééminence de saint Joseph dans le Ciel, Saint Joseph élevé au-dessus de tous les saints, Prière à Saint Joseph, Père et Protecteur des ViergesDu vrai Religieux, par le R.-P. Jean-Joseph Surin, De la vie mixte, par le R.-P. Jean-Joseph Surin, Ce qui s'est observé dans un Ordre Religieux durant le premier siècle depuis son établissement, doit être regardé comme meilleur que tout ce qu'on peut inventer dans la suite, par le R.-P. Jean-Joseph SurinPouvoir de Saint Joseph, Saint Joseph à Nazareth, Saint Joseph, patron et modèle des âmes intérieures, Union admirable de Jésus, Marie et Joseph, Saint Joseph choisi de Dieu pour être le chef de la Sainte-Famille, Neuvaine de prières à Saint Joseph, Les Sept Dimanches de Saint Joseph, Neuvaine à Saint Joseph, pour se préparer à ses Fêtes, et obtenir quelque grâce spéciale pendant la vie et une bonne mort, Excellence du saint nom de Joseph, Prière pour obtenir la pureté, Litanies de la paternelle protection de Saint Joseph, Litanies des souffrances de Saint Joseph, Litanies de Saint Joseph, Prière efficace en l'honneur de Saint Joseph, Courtes prières à Saint Joseph, Chapelet de Saint Joseph, Acte de consécration au glorieux Saint Joseph, Prière de Saint Pie X au glorieux Saint Joseph modèle des travailleurs, Sermon pour la Fête de Saint Joseph, Marie est donnée en mariage à Saint Joseph, Litanies de l'amour de Marie, Supplique à Saint Joseph, Oraison pour présenter son cœur à saint Joseph et Méditations et Exemples pour le Mois de Saint Joseph.