samedi 7 septembre 2019

Du grand Amour du Père Surin pour les Saints Anges, dans l'union avec notre Seigneur Jésus-Christ



Extrait de "L'Homme de Dieu, en la personne du R.-P. Jean-Joseph Surin" par H.-M. Boudon :



Plusieurs grands Théologiens avec Saint Bernard, enseignent que Jésus-Christ qui a relevé l'homme après sa chute, a empêché l'Ange de tomber, délivrant l'un de la captivité, préservant l'autre de la servitude ; et que tous les Anges aussi bien que tous les hommes ont reçu les grâces par ses mérites ; mais toujours il est certain ce que nous enseigne l'Apôtre aux Éphésiens : Qu'il est établi par dessus toutes les Principautés, les Puissances, les Vertus, et les Dominations ; et par-dessus ce qui se nomme non seulement dans le siècle, mais dans le siècle à venir. Il est certain ce que le même Apôtre enseigne aux Colossiens, qu'il est le chef de toute principauté et de toute puissance. Il est assuré ce que dit le Prince des Apôtres : qu'il est monté au Ciel ; les Anges, les Puissances et les Vertus lui étant assujetties : Ainsi les Anges sont les Anges de Jésus, soit par l'influence de ses grâces, soit par la dépendance qu'ils en ont. Un des Démons de la possession de Loudun fut obligé d'avouer qu'il était perdu par sa superbe et son envie, n'ayant point voulu s'assujettir à Jésus-Christ qui leur fut révélé dès le commencement du monde après leur création ; et ne pouvant supporter que le Verbe quitta leur nature si parfaite pour s'unir à celle de l'homme ; ce qui leur donne une rage inexplicable contre le Verbe incarné Jésus-Christ : Mais que les Anges bienheureux s'étant oubliés d'eux-mêmes, et de tous leurs propres intérêts, ne se regardant point et ne voyant que Dieu seul, s'étant soumis avec respect, avec amour et avec zèle à ses desseins avaient adoré Jésus-Christ et étaient ensuite entrés dans sa gloire. Ceci est conforme aux Théologiens qui estiment que les saints Anges furent secourus par la grâce de Jésus-Christ, lorsque le Chef de tous les tenta et les voulut engager dans sa révolte contre Dieu. C'est de ce combat dont parle saint Jean dans son Apocalypse, lorsqu'il dit : Qu'il se donna une grande bataille dans le Ciel.
Michel et ses Anges, nous apprend le disciple de l'amour, combattaient contre le Dragon, le Dragon aussi combattait lui et ses Anges ; mais ils ne purent résister. Saint Michel prenant la place du premier des Démons, et étant ensuite le Prince de tous les bons Anges, vainquirent ensemble les rebelles par la force de Jésus-Christ auquel ils se soumirent, qu'ils adorèrent, et au nom duquel ils triomphèrent, confondant le Dragon avec toutes ses troupes qu'il entraîna dans le précipice par son exemple, par sa puissance, par le venin de l'amour-propre, car la chute de l'Ange Apostat, dit très-bien saint Augustin, est venue de la complaisance en soi-même, en sa perfection, et dans les excellences de sa nature. Il ne faut pas s'étonner si dans ce combat le Démon est appelé Sathan, s'il est dit qu'il séduisait tout le monde avant même qu'il y eût des hommes dans le monde : c'était de la même manière qu'un homme qui sort pour en tuer un autre, en est homicide avant que de le rencontrer, ou comme un homme qui désire avec passion une femme absente, commet un adultère avec elle, ainsi que nous l'assure notre divin Maître, et que l'explique un savant interprète qui remarque doctement que Jésus et son Église étant dès lors connues au Démon, en même temps il alluma toute sa fureur contre eux, et il se proposa de leur faire une cruelle guerre.
Ces vues sont bien capables de donner un grand amour pour Saint Michel et pour le reste des Anges, à tous ceux qui aiment Jésus ; puisque ce sont les premiers qui ont pris et ont soutenu son parti avec tant de zèle. J'avoue en mon particulier que le zèle de ces sublimes esprits pour mon adorable maître, m'emporte et me ravit le cœur ; que je suis fortement et tendrement touché d'amour pour saint Michel et pour toutes ses troupes glorieuses. Ah ! comment aimer en vérité Jésus sans avoir de l'amour pour ces admirables esprits qui ont renoncé à leur propre amour pour n'en avoir que pour lui. Je sais des personnes qui dans ces vues ne peuvent se lasser de témoigner aux saints Anges la part qu'elles prennent à leurs victoires, les joies qu'elles ressentent de leur bonheur pour leur adhérence à l'Homme-Dieu. Aimable Esprit, que la providence ineffable d'un Dieu a député à ma garde, les pensées me manquent, et je n'ai point de paroles pour pouvoir assez vous exprimer la joie de mon coeur, pour la grâce qui vous a été donnée de tenir invisiblement le parti de grand roi Jésus, et pour entrer ensuite dans la gloire que vous possédez si heureusement. Ah ! que mon esprit se trouve doucement satisfait ; quand il pense que vous jouissez d'un contentement achevé. Certainement il me semble que toutes mes inclinations se portent avec vigueur pour vos saints intérêts, qui me seront toujours plus chers que je ne puis dire. Jouissez, jouissez donc à jamais de ces plaisirs incompréhensibles qui vous inondent si glorieusement ; que le Dieu d'amour et de bonté qui vous les donne, augmente votre gloire accidentelle par tous les moyens qui lui sont connus et dont il voudra se servir ; et particulièrement par l'obéissance fidèle que je dois rendre à votre Angélique conduite. Mais surtout obtenez-moi quelque part à l'amour, à l'adoration, au zèle, à la fidélité que vous avez eus pour Jésus, que rien ne me sépare de son pur amour ; que je vive et que je meure dans une entière et dernière fidélité à ses divins intérêts. Ah ! faites que je l'aime : Ah ! que je l'aime avec vous pour toujours et durant toute l'éternité.
Il y a des personnes qui se servent de pareilles élévations quand elles entendent sonner l'horloge, quelque fois à leur bon Ange Gardien ; quelquefois à leur bon Ange Gardien ; quelquefois à saint Michel, à saint Gabriel, à saint Raphaël ; d'autres fois à tous les neuf Chœurs des Anges : Et il est bien assuré que c'est une pratique très-solide et très-avantageuse d'avoir recours à eux dans tous les besoins publics et particuliers ; afin qu'ils continuent à soutenir les intérêts de Jésus-Christ dans l'Église et dans l'État, dans les Royaumes et les Provinces par la conversion des Infidèles, par la destruction du péché entre les Fidèles, par l'établissement du vrai amour de Dieu dans les Diocèses et dans les Communautés, dans les maisons et dans les familles particulières.
Le Père Surin qui avait entendu les Démons se plaindre dans leur malheur infini, de ce qu'ils avaient été perdus pour n'avoir pas adhéré à Jésus, avait une dévotion merveilleuse aux bons Anges qui avaient combattu contre ces esprits d'Enfer pour les intérêts de son divin Maître ; il les honorait avec un amour très respectueux, et il avait de hauts sentiments de leurs perfections et de leur protection. Un savant interprète de l'Écriture a dit, Qu'il n'y a point de paroles qui puissent dignement exprimer leurs grandeurs et leur dignité ; et il cite Saint Jean Chrysostome qui dit Qu'il y en a même que nous ne saurions nommer en aucune sorte. Le Père Surin disait que l'abondance des grâces de l'âme croît beaucoup par l'union que nous avons avec ces purs esprits, quoique l'on y fasse peu de réflexion. Ce sentiment est bien autorisé par l'expérience de saint Thérèse, qui marchait à la perfection à pas de Géant depuis qu'une voix du Ciel lui eut dit, qu'elle ne conversât plus qu'avec les Anges. Le Père ajoutait que ces bienheureux esprits nous favorisent beaucoup, et nous enrichissent de leur plénitude, chaque ordre selon ce qui lui est propre ; les Séraphins, nous faisant part de leurs ardeurs amoureuses ; les Chérubins de leur sagesse et de leurs lumières ; les Trônes, de leur repos ; les Dominations, de la participation au règne de Jésus-Christ ; les Vertus, de leur grand pouvoir et de leur force ; les Puissances, de leur victoire contre les Démons ; les Principautés et les Archanges, de leur zèle pour les intérêts de l'adorable Jésus leur grand Roi et le nôtre, dans le Royaumes, dans les Provinces et les États tant Ecclésiastiques que séculiers ; les Anges de leur pureté, de leur vue de Dieu en toutes choses, et de leur charité pour les Âmes.
Il est bien doux de converser spirituellement avec tous ces Chœurs d'esprits sublimes ; et c'était une pratique à laquelle saint Bernard exhortait puissamment ses frères. Il est bien doux d'aller en esprit tantôt dans un Chœur et tantôt dans l'autre, considérant ce qui leur est particulièrement propre, et leur demandant en toute humilité de nous y donner quelque part. Il est bien doux de converser avec son Ange Gardien, lui parlant de ses besoins, lui exposant ses bons désirs comme à un ami incomparable. Il est bien doux de converser avec les Anges Gardiens de ceux avec qui nous fréquentons, des personnes qui sont dans les lieux où nous demeurons ; de les voir intérieurement ; de leur dire, de leur faire et de leur rendre les respects, au moins que nous rendrions à quelque grand Prince s'il nous faisait l'honneur de nous venir voir ; car ces Esprits sont les aimables Princes de la Cour du Paradis. On dit quelquefois que l'on s'ennuie, et que l'on ne trouve pas de conversation : ah qu'en voici de ravissantes et d'agréables que l'on peut trouver partout ! Que de douceurs et d'avantages, si l'on savait bien passer les heures, ou du moins quelque quart d'heure de temps en temps avec eux !
Le Père Surin le savait bien, puisque tant de fois il a été honoré de la présence sensible des Anges : Écrivant à la Mère qui en portait le nom, il dit : L'idée des Anges m'est extrêmement douce, et je ne saurais vous représenter combien mon esprit est occupé et rempli de la pensée de leurs Chœurs Célestes, et surtout de ceux que l'on appelle Trônes, par qui plusieurs de vos ennemis, c'est-à-dire les Diables qui vous tourmentent, ont été chassés. Il me semble souvent que je sacrifie à Dieu assis sur ces esprits en célébrant la sainte Messe : Dans cette pensée il me vient dans l'esprit que la vraie résidence de notre Seigneur est dans le fond de nos âmes. Durant plus de six mois étant à Loudun il reçut une visite de son bon Ange, laquelle (quoique ce ne fut pas sous une forme visible aux sens) opérait de grandes choses en lui, l'élevait fortement vers le Ciel, et l'enflammait d'une manière admirable dans les feux du pur amour ; mais il recevait aussi beaucoup de secours des Anges Gardiens des Religieuses, et en expérimentait des effets différents : ce qu'il assurait arriver fort souvent. Il est bien vrai que non seulement nous sommes assistés de nos propres Anges Gardiens, mais encore de ceux des autres.
Il protestait que les effets d'amour et de protection des Saints Anges lui avaient été rendus si manisfestes et en tant de façons, qu'il lui était impossible de les raconter : que pour résister aux Démons et en triompher, il fallait beaucoup se défier de soi-même et avoir recours à leurs assistances ; que c'était par leur ministère qu'il contraignait les Diables de faire plusieurs choses dont Dieu était glorifié ; comme par exemple, de donner des marques de la possession par la révélation des pensées de ceux qui venaient à Loudun ; que ce fut par leur ministère que les desseins de ces artificieux esprits furent découverts et rendus inutiles ; que tous les efforts qu'ils firent pour le faire sortir furent détruits ; et qu'en de certaines occasions les Diables étaient contraints d'avouer ces choses. L'Angélique Docteur est du sentiment que la Divine Providence se sert du ministère des Anges presque en toutes choses, et dans l'ordre naturel, et dans l'ordre spirituel : Ce qui nous marque assez que l'ordre de Dieu est que nous communiquions beaucoup avec ces Esprits tout d'amour. C'est une excellente pratique dans les voyages à la vue des églises, de faire trois choses : la première, d'y adorer et d'y aimer l'adorable et le tout aimable Jésus qui y réside corporellement : la seconde, de lui offrir quelques soupirs et quelques prières pour les âmes des Trépassés dont les corps y sont enterrés ; la troisième, de saluer les Anges qui y tiennent compagnie pour nous à notre bon Sauveur proche des tabernacles ; et de les prier de suppléer pendant notre absence, à notre peu d'amour ; de lui demander pardon pour toutes les irrévérences qui se commettent dans les sanctuaires de piété et d'oraison ; de les supplier de nous donner quelque part à leur assiduité, à leurs respects, à leurs adorations, à leur amour, à leur zèle pour Jésus au très-saint Sacrement ; de saluer ensuite tous les bons Anges des personnes qui sont dans les lieux, et de tacher de s'entretenir quelque temps avec eux : ce serait une bine douce compagnie en faisant voyage, et un grand honneur, de faire sa cour à tant de Princes du Paradis. Mais l'on peu bien faire la même pratique dans le lieu où l'on demeure, dans les villes et dans les campagnes. On a écrit d'un serviteur de Dieu de nos jours (c'était défunt M. Ollier) que passant sur le Pont Neuf à Paris les yeux lui furent ouverts surnaturellement, et les Anges de toutes les personnes qui y passaient lui furent montrés. Mais ne savons-nous pas plus certainement que par ces vues, que chaque personne à un bon Ange. D'où vient donc qu'on les voit si peu par la foi en les rencontrant si souvent ? Je sais des gens qui font un saint pacte avec ces glorieux Esprits, par lequel ils veulent et ont intention de les saluer autant de fois qu'ils saluent, quelque personne, quoique pour lors ils n'y fassent pas de réflexion. Mais j'en sais qui en ont pris si saintement l'habitude, que souvent en même temps qu'ils voient une personne, la pensée et la vue intérieure de l'Ange qui la garde leur sont données.
Le Père Surin assurait que l'on en ressentait quelquefois la présence par une suavité admirable ; qu'ils étaient comme des éclairs de lumière qui pénétraient vivement l'esprit et le cœur ; que non seulement ils se rendaient présents à nous par une assistance ou liaison morale ; mais que quelquefois ils se mettaient dans nos sens intérieurs, et dans nos membres. Il citait là-dessus la pratique du Père le Févre, premier Compagnon de saint Ignace, ce grand ami des Anges, qui les priait de se mettre en lui et dans les esprits vitaux, pour y servir aux opérations de la grâce. Et de vrai, si les Démons ont bien ce pouvoir, comme on le voit manifestement dans les possédés : s'ils se contournent (pour ainsi dire) dans ces personnes à raison des vices qu'ils y trouvent ; pourquoi les bons Anges ne feront-ils pas des choses pareilles pour le bien des Âmes, et l'établissement de la gloire de Jésus-Christ. Le Prophète Zacharie dans l'Écriture, ne dit-il pas clairement et plusieurs fois que l'Ange du Seigneur qui lui parlait était en lui ?
Nous avons traité amplement du culte de ces bienheureux Esprits, dans notre livre de la dévotion aux neuf Chœurs des Anges. Je dirai seulement encore ici qu'il serait bon outre les fêtes de Saint Michel qui se célèbrent deux fois l'année ; celle de Saint Gabriel (...) ; celle de Saint Raphaël (...), de prendre tous les Mardis, qui sont des jours dans l'usage de l'Église, appliqués à la mémoire de ces aimables Intelligences pour les honorer ; spécialement en assistant à la sainte Messe ou y communiant, ou la faisant célébrer en leur honneur ; en y pratiquant quelque mortification intérieure ou extérieure ; en y faisant quelque œuvre de charité spirituelle ou corporelle ; en visitant quelque Église ou Chapelle dédiée à Dieu sous leur invocation ; en pensant à leurs bontés et en s'entretenant avec eux. Nous avons dit que l'Ange Gardien de la Mère des Anges lui apparut visiblement à même temps que Saint Joseph ; mais depuis ce temps-là, il conversait familièrement avec elle, comme un bon ami avec son ami, pour me servir de l'expression de l'Écriture lorsqu'elle parle des bontés de Dieu envers Moïse. Plusieurs personnes en ont reçu de grands secours, et en ont même été guéries miraculeusement. Je connais une Dame de Bordeaux, qui étant fort malade, et ayant fait écrire à la Mère des Anges de prier son saint Ange Gardien pour elle ; au même temps que la Mère l'eut fait, elle vit son bon Ange qui donnait sa bénédiction pour cette Dame, dont elle se trouva guérie, comme on l'a connu manifestement par le rapport du jour et de l'heure.



Reportez-vous à Des exercices de piété, par le R.-P. Jean-Joseph Surin : Quels exercices de piété prescrivez-vous à l'honneur des Anges ?Sermon du Saint Curé d'Ars pour la Fête des Saints Anges Gardiens : Les anges de ces petits enfants voient sans cesse la face de mon Père céleste, De l'amour du Père Surin pour l'humilité, dans l'union avec Notre-Seigneur Jésus-Christ, De l'amour étonnant du Père Surin pour l'abjection, dans l'union avec Notre-Seigneur Jésus-Christ, Histoire de la possession des Ursulines de Loudun, et des peines du Père Surin (1/4), Les possessions démoniaques sont rares uniquement pour ceux qui ne combattent pas le démon, De l'Amour du Père Surin pour tout ce que Notre-Seigneur a aimé, et premièrement de sa grande dévotion à la très-sainte Vierge, Chapelet en l'honneur du Saint Ange Gardien, Chapelet du Saint Ange gardien, Méditation pour le 7 Septembre, en l'honneur des Dominations, Méditation pour le 6 Septembre, en l'honneur des Trônes, Méditation pour le 5 Septembre, en l'honneur des Chérubins, Méditation pour le 4 Septembre, en l'honneur des Séraphins, Méditation pour le 3 Septembre, Saint Raphaël conduisant le jeune Tobie, Méditation pour le 2 septembre, Sur les Saints Anges Gardiens, Méditation pour le 1er septembre, Les Saints Anges Gardiens, Consécration à tous les Saints Anges, Prières à tous les Saints Anges, Oraison aux neuf Chœurs des saints Anges, Travailler à la conversion des âmes et à leur soulagement dans les flammes du Purgatoire, en l'honneur des saints Anges, Pratiquer quelque vertu, ou s'abstenir de quelque vice en l'honneur des Saints Anges, Avoir une grande confiance en la protection des saints Anges, et recourir à eux en tous ses besoins corporels et spirituels, Autres pratiques pour honorer plus spécialement les saints Anges, et célébrer les fêtes avec tous les respects possibles, Faire des neuvaines en l'honneur des neuf Chœurs des Anges, Converser intérieurement avec les saints Anges, Avoir une grande dévotion à saint Michel, à saint Gabriel, à saint Raphaël, et aux autres quatre Anges qui sont auprès du trône de Dieu, Méditation pour la Fête de Saint Raphaël Archange, Méditation pour la Fête de Saint Michel et de tous les saints Anges, Méditation pour la Fête des Saints Anges Gardiens, Jésus crucifié est le Livre des Élus, La réalité des apparitions angéliques, Avoir une dévotion singulière aux Anges, Archanges et Principautés, Honorer principalement les Puissances, les Vertus et les Dominations, Avoir de profonds respects, et des amours extraordinaires pour les Trônes, les Chérubins et les Séraphins, La protection des saints Anges contre les démons, particulièrement au sujet de leurs différentes tentations, Litanies de l'Ange Gardien, Et Michel et ses anges combattaient contre le Dragon, La puissance des démons réglée par la sagesse divine, Neuvaine à Saint Michel, Discernement des esprits : ce qu'on entend par esprits, combien on en compte et comment ils se forment, Tous les hommes sont assistés des Saints Anges, Les Saints Anges nous assistent dans les choses temporelles, Les perfections admirables de ces sublimes intelligences, Les Saints Anges font tout ce qui peut se faire pour le bien des hommes, Litanie aux Saints Anges Gardiens, Discernement des esprits, Litanie de Saint Michel Archange, Puissance de Saint Michel au jugement dernier, Chapelet à Saint Michel Archange, Les Anges, princes et gouverneurs de la grande cité du bien, Neuvaine à l'Archange Raphaël, Secours de Saint Michel à l'heure de la mort, Litanie de Saint Gabriel Archange et Litanie de Saint Raphaël Archange.