lundi 18 octobre 2021

Le Dragon, persécuteur de l'Église


« Le Dragon, précipité en terre, se mit à poursuivre la femme et à la persécuter (Apocal., ch. XII, v. 13). » Quelle est donc cette femme, demanderons-nous ? C'est la femme par excellence ; Mère du Fils par excellence ; la femme dont il fut dit au Dragon lui-même, après sa victoire dans l'Éden : « J'établirai la guerre entre toi et la femme, entre ta race et la sienne ; elle t'écrasera la tête, et toi tu essayeras de lui déchirer le talon. Voulez-vous la connaître ? Prêtez l'oreille à la voix des siècles passés et des siècles présents : tous répètent le nom de Marie.
Mais comment Marie, dont le passage ici-bas s'est accompli en quelques années, d'une manière obscure aux yeux du monde, dans un coin obscur de la Palestine, peut-elle être l'objet d'une persécution aussi durable que les siècles, aussi étendue que le monde ? — Marie est la femme immortelle ! Quarante siècles avant sa naissance, elle vivait dans Ève ; et Satan le savait. Depuis dix-huit siècles, elle vit dans l'Église ; et Satan le sait encore.
Marie, en effet, vit dans l'Église, sa fille et sa ressemblance. Nous disons sa fille ; car le sang divin qui a enfanté l'Église est le sang de Marie. Aussi l'Apocalypse nous dit-elle que « le Dragon irrité contre la femme, alla faire la guerre à ses autres enfants qui gardent les commandements de Dieu, et qui demeurent fermes dans la confession de Jésus-Christ (Ibid., v. 17) » — Nous disons sa ressemblance : Comme Marie, l'Église est vierge et mère tout ensemble ; vierge, jamais l'erreur ne l'a souillée : mère, elle enfante autant de Christs, qu'elle enfante de chrétiens : Christianus alter Christus. Ainsi la femme, objet de la haine du Dragon, c'est l'Église, ou plutôt Marie, vivant dans l'Église.
Ce qui caractérise le plus cette haine, c'est l'implacabilité. Impuissance d'aimer, nécessité de haïr ; voilà, en effet, le mystère de la vie de Satan.
Cette haine satanique s'est incarnée dans l'humanité vivante. Elle a changé de nom avec les différentes époques ; elle s'est appelée le césarisme, la haine du christianisme, le sensualisme et le rationalisme. Aujourd'hui elle s'appelle d'un nom qui renferme tous les noms : c'est la Révolution, c'est-à-dire cette chose qui porte au cœur comme l'essence de sa vie, la haine de l'Église. « Mon idée, s'écrie-t-elle, est toujours la même ; mon idée, c'est Voltaire du haut de son piédestal ricanant sur les ruines du christianisme ; c'est l'humanité nouvelle, redisant, ou plutôt pratiquant la parole du maitre : écrasons l'infâme ; c'est moi-même enfin, étouffant dans mes bras mon éternelle ennemie, l'Église catholique. » La haine de l'Église, c'est le point de ralliement de toutes les opinions, de toutes les sectes, de toutes les écoles, de toutes les presses, de toutes les doctrines dites révolutionnaires. La haine de l'Église, c'est l'essence même de ce sombre génie qui ébranle aujourd'hui le monde et menace de le briser, c'est l'universelle protestation de Satan contre le Verbe et contre Marie.
Le défenseur de Marie et de sa postérité, dans laquelle elle vit, est toujours celui qui fut le défenseur de ses ancêtres. Lorsque Dieu le juge utile pour le salut de ses enfants, saint Michel « descend du ciel avec une longue chaîne (Apocal., ch. II), il lie le Dragon et le jette dans l'abîme, qu'il scelle sur lui afin qu'il ne séduise plus les nations. Lorsque le temps est accompli, il le délie de nouveau, pour un peu de temps, jusqu'au jour où il le jettera dans l'étang de soufre et de feu, où la bête et les faux prophètes seront tourmentés jour et nuit dans les siècles des siècles. »
Telle la mission que l'Église a toujours attribuée spécialement à saint Michel. On peut le constater par les prières de sa liturgie et par le témoignage des auteurs ecclésiastiques.
Écoutons en particulier Hugues de St-Victor, dans un sermon pour la fête du grand Archange. « Ayons une grande confiance dans saint Michel et ses Anges. Nous chantons dans la solennité de ce jour : La mer a été agitée, la terre a tremblé là où l'Archange Michel descendait du ciel. La mer : ce sont les démons ; la terre : ce sont les hommes de mal. Les démons sont représentés par la mer, parce que, comme elle, ils sont pleins d'amertume, gonflés et toujours en mouvement. Les méchants sont représentés par la terre, parce qu'ils méprisent les choses du ciel pour s'attacher à la boue. Mais là où Michel descend du ciel, la mer est agitée, la terre tremble ; car cet Archange met un frein aux tentations des démons et à la perversité des méchants pour délivrer les fidèles de Jésus-Christ. »
Bossuet constate l'universalité de cette croyance et l'appuie de sa grande autorité.
« Il ne faut point hésiter, dit-il, à reconnaître saint Michel pour défenseur de l'Église, comme il l'était de l'ancien peuple après le témoignage de saint Jean (Apocal., XII, 7), conforme à celui de Daniel (X, 13, 21 ; XII, 1). Les protestants, qui, par une grossière erreur, croient toujours ôter à Dieu tout ce qu'ils donnent à ses Saints et à ses Anges dans l'accomplissement de ses ouvrages, veulent que saint Michel soit dans l'Apocalypse Jésus-Christ même le prince des Anges, et apparemment dans Daniel le Verbe conçu éternellement dans le sein de Dieu ; mais ne prendront-ils jamais le droit esprit de l'Écriture ? Ne voient-ils pas que Daniel nous parle du prince des Grecs, du prince des Perses, c'est-à-dire sans difficulté, des Anges qui président par l'ordre de Dieu à ces nations ; et que saint Michel est appelé dans le même sens le prince de la synagogue, ou, comme l'Archange saint Gabriel l'explique à Daniel, Michel votre prince ? et ailleurs plus expressément : Michel, un grand prince, qui est établi pour les enfants de votre peuple ? Et que nous dit saint Gabriel de ce grand prince ? Michel, dit-il, un des premiers princes. Est-ce le Verbe de Dieu, égal à son Père, le créateur de tous les Anges, et le souverain de tous ces princes, qui est seulement un des premiers d'entre eux ? Est-ce là un caractère digne du Fils de Dieu ? Que si le Michel de Daniel n'est qu'un ange, celui de saint Jean, qui visiblement est le même dont Daniel a parlé, ne peut pas être autre chose. Si le Dragon et ses Anges combattent contre l'Église, il n'y a point à s'étonner que saint Michel et ses Anges la défendent (Préface sur l'Apocalypse). »
Telle a toujours été la croyance de l'Église. Aussi lorsque la persécution se fait sentir, lorsque la tempête menace d'engloutir la barque de Pierre, tous, matelots et passagers se tournent vers le glorieux Prince de la milice céleste.
Chaque année, au nom du pape, le cardinal vicaire convie le peuple romain au pied des autels de l'Archange. Voici en quels termes il le faisait il y a quelques années : « Si, d'un côté, les impies de notre temps ont osé mettre en honneur le prince des ténèbres dont ils se sont faits les fils et les imitateurs ; les fidèles se sont, de leur côté, attachés à relever la vénération et la confiance que l'Église catholique a toujours placées en l'Archange saint Michel, le premier vainqueur de l'esprit du maudit.
« Or, depuis que la lutte de la pensée rebelle au Très-Haut s'est ravivée, depuis que l'enfer a redoublé ses ténébreux efforts contre les soutiens des raisons divines, on a vu se répandre plus universelle et plus solennelle la préparation à la fête du saint Archange. Et cette préparation nous est ordonnée par le Saint-Père cette année (1868), car nous n'avons pas moins besoin qu'autrefois d'être protégés par le glorieux triomphateur des démons.
« L'invincible chef des légions angéliques veut voir et reconnaître ses braves soldats au pied de ses autels, comme il y vit jadis autour de sa bannière les Anges armés contre l'orgueilleux Lucifer. Pressons-nous confiants sous les ailes de saint Michel, et implorons ses grâces afin qu'il chasse Satan du monde comme autrefois il le chassa du ciel ! Nunc judicium est mundi, nunc princeps hujus mundi ejidietur foras. »
Cet appel du Pontife romain est fondé sur l'expérience des siècles. Mais énumérons, pour la gloire de l'Archange, quelques-unes de ses marques de protection.
Satan, après avoir vu tomber Babylone, centre primitif de son empire et du vieux monde, avait choisi Rome, centre d'un monde nouveau. De cette nouvelle Babylone, comme l'appelle saint Pierre, il régnait en maître sur l'univers, et dans son insolent orgueil il avait osé proposer à Jésus les royaumes de la terre, en échange des adorations que celui-ci voudrait lui rendre. Insensé qu'il était ! ces royaumes, il allait les perdre, et cette capitale, d'où il allait être expulsé, allait devenir la métropole de l'Église.
Quand le batelier de Génézareth, conduit par son Ange, fit son entrée dans Rome, l'enfer tout entier frémit de rage et ramassa toute sa puissance pour tenter un suprême effort. Saint Pierre venait avec le don des miracles. Satan résolut d'opposer aux œuvres de Dieu le prestige des siennes, au vrai surnaturel un surnaturel faux, les apparences du miracle au miracle lui-même. Comme autrefois il avait opposé ses magiciens à Moïse, il opposa Simon, surnommé le magicien, à saint Pierre. Jamais peut-être la puissance de Satan ne se montra aussi grande. Les livres des écrivains contemporains sont remplis du récit des prodiges vraiment incroyables par lesquels il séduisait les multitudes. On le saluait déjà comme un dieu, lorsque, à la prière de l'apôtre, l'Archange le précipita du haut des airs où il s'était élevé soutenu par les démons. L'enfer était vaincu.
Ce qu'il n'avait pu faire par ses prodiges, Satan l'essaya par la force. Alors commença une guerre telle que n'en ont jamais enregistré les annales de l'humanité. elle dura 250 ans. Dire tout ce qu'il y eut de cruauté et de rage de la part des suppôts de Satan ; de tortures endurées, de sang répandu de la part des victimes, n'est pas possible. On put croire un instant que l'Église allait être noyée dans le sang chrétien. Mais il entrait dans les desseins de Dieu de cimenter l'édifice de son Église avec le sang des martyrs ; Satan, sans le savoir, faisait l'œuvre de Dieu ; et dans le temps qu'il se préparait à chanter victoire sur les ruines du christianisme, saint Michel s'en allait chercher un guerrier encore païen, Constantin, lui donnait la croix pour étendard et le conduisait à Rome après une brillante victoire (tous les témoignages historiques s'accordent à dire que ce fut un Ange qui apparut à Constantin. Nous l'avons vu dans le chapitre précédent. Deux cités privilégiées en ce monde par-dessus toutes les autres ont été providentiellement destinées dans le temps à être le centre du mouvement religieux qui ralentit jusqu'aux rivages de l'éternité. Le sceau de l'élection divine, les miracles, les ont marquées toutes deux. Jérusalem vit à l'approche du peuple choisi, précurseur du soleil de justice, s'arrêter sur ses murailles à la parole de Josué, le soleil matériel de notre monde physique. À vingt siècles de distance, une croix apparut lumineuse et rayonnante, dans les splendeurs du ciel, aux yeux d'un conquérant qui devait incliner la majesté séculaire de la Rome païenne devant l'immortalité de la Rome chrétienne. Telle est la prise de possession souveraine de ces deux cités élues.). Satan était vaincu au cœur même de sa citadelle. Dans le même temps, ses temples s'écroulaient, ses adorateurs l'abandonnaient, sa civilisation corrompue et corruptrice disparaissait sous les ruines de son empire.
Saint Michel était victorieux. Écoutons plutôt Bossuet, commentant le chapitre XIIe de l'Apocalypse :
« Il y eut alors un grand combat dans le ciel... Comme le démon prévoyait qu'il lui restait peu de temps, et que les Gentils, qui se convertissaient en foule, lui feraient bientôt perdre l'empire romain, il fait ses derniers efforts contre l'Église ; les Anges de leur côté, combattent avec plus de force. — Michel et ses Anges, le Dragon avec ses Anges : chaque troupe avait son chef. — Michel, un grand prince qui est le défenseur de votre peuple. On voit donc ici que saint Michel est le défenseur de l'Église, comme il l'était de la Synagogue.
« Ceux-ci furent les plus faibles, et leur place ne se trouva plus dans le ciel. Cette chute leur arriva lorsque Galère Maximien, qui était le premier auteur de la persécution, fut contraint lui-même au lit de la mort, par une horrible maladie où l'impression de la vengeance divine paraissait toute manifeste, de faire un édit pour donner la paix à l'Église, l'an 311 de Notre-Seigneur ; et que cet édit fut appuyé par Constantin, qui croissait tous les jours en puissance.
« Et j'entendis une grande voix dans le ciel. C'était un chant d'actions de grâces des saints pour la victoire remportée sur l'idolâtrie, et la paix donnée à l'Église par Constantin. — L'accusateur de nos frères, qui les accusait... devant... Dieu :  on peut entendre ici les calomnies que le démon inspirait aux païens contre les fidèles ; mais ce mot, devant... Dieu, nous renvoie à ce qui se passa en la personne de Job, lorsqu'il fut livré à Satan, qui se vantait de venir à bout de sa constance. Ainsi, pour éprouver la patience de son Église, Dieu permettait aux démons de lui susciter des persécuteurs.
« Malheur à la terre et à la mer ! Malheur à tout l'univers et à tous les hommes ! Et la cause de ce malheur de toute la terre, c'est, poursuit saint Jean, que le diable y est descendu plein d'une grande colère contre l'Église, qu'il va persécuter avec une nouvelle fureur.
« Sachant qu'il lui reste peu de temps : ce qu'il jugeait aisément par les conversions qui se multipliaient, par les acclamations même des Gentils à l'honneur des chrétiens et de leur Dieu ; et enfin parce que Constantin, si favorable à l'Église, s'avançait manifestement à la souveraine puissance plus que tous les autres empereurs qui étaient alors. Saint Jean nous déclare ici très expressément que cette implacable colère, qui fait faire au démon les derniers efforts contre l'Église, est un malheur de tout l'univers ; et plus encore des persécuteurs que de l'Église persécutée : car, encore qu'elle ait beaucoup à souffrir, à cause que le démon déchargera sur elle cette grande colère dont il est plein, ceux dans lesquels il opère, et dont il fait des instruments de sa fureur, sont dans un état sans comparaison plus déplorable. »
Chassé de Rome, Satan n'a cessé de rôder jour et nuit autour des remparts de cette vielle éternelle afin de la surprendre, et de la faire de nouveau sa capitale. C'est pour cela que dans sa haine infatigable, tantôt par les hérésies, tantôt par les schismes, toujours par les scandales, il s'est efforcé d'enrôler sous sa bannière des multitudes révoltées et de les conduire à l'assaut de l'Église. (...)
Jamais ce rôle de défenseur de l'Église n'a été plus évident que dans les luttes contre l'Islamisme. (...) Jamais lutte n'a été plus longue et plus terrible ; elle dure depuis l'an 600, et elle a fait couler plus de sang qu'aucune autre. Nulle part, l'Église n'a éprouvé plus de résistance pour la conversion des âmes et la diffusion des bienfaisantes lumières de la foi. Bien des fois même, elle a vu son existence en péril ; mais l'Archange est chaque fois venu d'une manière visible lui apporter le secours de sa défense.
Il n'entre pas dans notre plan de montrer dans un tableau d'ensemble ce qu'il a fait à chaque époque, comment il a lié et délié tour à tour le Dragon infernal, quels ennemis celui-ci a suscités à l'Église aux différents âges de son existence, et comment saint Michel en a triomphé. Il suffit d'étudier l'histoire, pour constater que toujours, partout, et sous toutes les formes, Satan multiplie ses attaques. Nous dirons dans les chapitres suivants quelles sortes de secours particuliers le grand Archange apporte toujours à l'Église.
Mais avant, constatons que, parfois, ce secours a semblé se faire attendre. C'est que, ici comme partout, nous devons voir le doigt de Dieu. À l'Église, il faut des héros, des martyrs ; il faut des âmes illustres, illustres animas ; il faut des hommes généreux qui se fassent briser, immoler pour la justice, interfecti propter justitiam. Or, c'est la guerre qui fait les héros. La paix énerve les courages et amollit les cœurs ; c'est la plainte que faisait entendre saint Cyprien, au milieu de la paix dont l'Église jouissait de son temps. Mais la guerre secoue la torpeur des peuples, relève les âmes, retrempe les caractères. Voilà le secret de la vie de l'Église, toujours jeune et toujours belle : la souffrance est le sang qui porte la vie dans tous ses membres. Semblable au géant de la fable qui, chaque fois qu'il touche la terre, prend de nouvelles forces, l'Église, après chaque persécution, se relève toujours plus forte, plus brillante et plus radieuse.
Oui, Ô Église de Jésus-Christ, vous vivez et vous vivrez jusqu'à la fin des siècles, sans que les portes de l'enfer puissent jamais prévaloir contre vous ! Que les impies se réjouissent, qu'ils frappent à coups redoublés le roc inébranlable, qu'ils annoncent avec grand éclat sa ruine prochaine ! Les insensés ! ils accomplissent, sans le savoir, la promesse du divin fondateur. Mais leur tâche finie, ils se briseront, comme leurs devanciers, contre l'épée du glorieux vainqueur de Satan et contre la pierre qu'ils essayent de renverser.

(Saint Michel Archange, Protecteur de l’Église et de la France, Sa lutte avec Lucifer dans le passé, le présent et l'avenir, ses apparitions et son culte, Abbé Eugène Soyer, 1879)


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