Akim est un jeune musulman qui se destine, avec son frère Youssef, à devenir imam. Tandis que la sœur d'un prêtre catholique de son quartier est assassinée par un voisin, ce prêtre décide de continuer à vivre auprès de la famille de l'assassin, car il sent que cela les aide à vivre. Interpellé par cet acte de charité, Akim s'engage dans un chemin de conversion au christianisme, qui va l'opposer à son frère et à l'ensemble de sa communauté. Le film met en évidence d'une part la déstabilisation de la famille d'Akim suite à sa conversion, d'autre part, les liens familiaux très forts de cette famille qui veut malgré tout conserver des liens avec lui. L'Apôtre rend hommage au prêtre catholique du village où habitait Cheyenne Carron à ses 19 ans. Celui-ci a perdu sa sœur, étranglée par le fils de ses voisins, des musulmans d'origine marocaine. Malgré cela, le prêtre a souhaité rester vivre auprès d'eux, car « sa présence les aidait à vivre ». Cette histoire a inspiré le début du film, dans lequel l'acte de charité du prêtre est à la base du processus de conversion du héros, Akim (Source Wikipédia).
*La difficulté pour un musulman de se convertir au christianisme.
*La réalisatrice oppose durant tout le film, la Bible (un dieu miséricordieux, la charité envers tous, aimer même nos persécuteurs1...) et le Coran (un dieu punitif, la charité uniquement envers les frères de la communauté, aimer uniquement ceux qui nous font du bien et être charitable avec un non-musulman uniquement si l'on veut le convertir...).
*Quand Akim est invité au baptême de la fille de son ami chrétien Fabien, il est appelé par le Christ "C'est comme un feu qui brûle à l'intérieur". Son ami chrétien avoue ne rien connaître de sa propre religion. Il est chrétien juste par l'étiquette collée sur son front, et a pourtant fait baptiser sa fille. Le baptême est malheureusement aujourd'hui devenu pour beaucoup une tradition et ne relève plus vraiment de la foi. Pourtant, ce trésor que de nombreux chrétiens ne savent plus toucher, Akim va le sentir en son cœur.
Fabien rit alors des questions posées par Akim qui imagine son ami rempli non seulement de ce qu'il a su entrevoir du christianisme, mais aussi de l'amour du Christ. La réalité est tout autre. Combien de personnes entendons-nous se dire catholiques, et ne connaissent pourtant pas les Dogmes de l’Église catholique ? Combien partent en pèlerinage et n'ont jamais lu une ligne de l'Évangile ? Combien ne connaissent ni n'aiment leur catéchisme ? On est proche de la religion-superstition. Combien vont à l'Église sans comprendre leur religion, sans s'intéresser, ou pour acheter Notre Seigneur et continuer leur vie loin de la parole du Christ ? "Le Seigneur votre Dieu est le Dieu des dieux et le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, vainqueur et redoutable, qui ne fait pas acception de personnes et ne se laisse pas corrompre par des présents" (Dt 10, 17). D'où vient le problème ? Où est la faille ? Dans notre éducation ? Dans une société permissive qui renverse les valeurs du christianisme et qui noie les hommes dans une pseudo-liberté, une paix éphémère ? Entre tout cela certainement. Nous laissons le Démon prendre nos âmes, et la contre-Église, le pouvoir, par notre ignorance volontaire et l'absence de toute conviction catholique.
Le Saint Curé d'Ars disait : La plus grande occupation des pères et mères doit être de travailler à sauver les âmes de leurs enfants ; ils n'ont point d'ouvrage qui doive passer avant celui-là. D'après les enseignements de la religion, les enfants sont un dépôt dont les parents ont la garde. Pères et mères, ils sont dans le péché et vous ne pleurez pas. Instruisez-les de ce qu'il faut faire pour gagner le ciel et éviter l'enfer. Faites-leur connaître, avec la grâce de Dieu, la fin pour laquelle ils sont sur la terre. Inspirez-leur un grand mépris des plaisirs et de toutes les choses du monde. Vous devez encore leur apprendre à sanctifier leur travail, c'est-à-dire à le faire, ni pour devenir riches, ni pour se faire estimer du monde, mais en vue de plaire à Dieu, qui nous le commande pour expier nos péchés (Le Saint Curé d'Ars et la famille).
Reportez-vous à La possession démoniaque chez les enfants est-elle possible ?
Heureusement, Fabien reconnaît les qualités du prêtre qui les a accompagnés pour le baptême. Les prêtres sont là pour nous accompagner spirituellement. Dans L'Apôtre, le Père Fauré (Yannick Guérin) se rendra disponible pour Akim, afin de répondre à ses questions et à ses inquiétudes suite à la révélation qu'il a eu du Christ :
- Sais-tu que Jésus nous a laissé une lettre pour tout nous expliquer ?
- Une lettre ? Une lettre d'amour ?
- Oui, Akim, une lettre d'amour.
Fayçal Safi, qui joue le rôle d'Akim, a improvisé plusieurs répliques, notamment durant la scène de dispute entre Akim et Youssef qui n'accepte pas qu'il se rende au baptême de la fille de Fabien : "Quand maman te ramenait des trucs du secours catholique, ça ne te dérangeait pas ?" témoignant de son propre vécu.
*Autre fait : un converti brûle de l'Amour du Christ, il touche ce trésor que beaucoup n'arrivent pas à atteindre alors qu'ils sont comme l'on dit catholiques pratiquants (une personne qui se dit catholique non pratiquant ne pratique rien d'autre que la religion du diable, c'est-à-dire, la foi sans l'application de la foi, la foi sans les œuvres, je crois mais je ne veux pas appliquer ; le diable croit mais refuse d'appliquer), alors qu'ils ont reçu une éducation catholique.
[Jésus] leur dit encore : "Un homme avait deux fils, dont le plus jeune dit à son père : "Mon père, donne-moi la part du bien qui me doit échoir." Ainsi, le père leur partagea son bien. Et peu de temps après, ce plus jeune fils ayant tout amassé, s'en alla dehors dans un pays éloigné, et il y dissipa son bien en vivant dans la débauche. Après qu'il eut tout dépensé, il survint une grande famine en ce pays-là ; et il commença à être dans l'indigence. Alors il s'en alla, et se mit au service d'un des habitants de ce pays-là, qui l'envoya dans ses possessions pour paître les pourceaux. Et il eût bien voulu se rassasier des carouges que les pourceaux mangeaient ; mais personne ne lui en donnait. Étant donc rentré en lui-même, il dit : Combien y a-t-il de gens aux gages de mon père, qui ont du pain en abondance ; et moi je meurs de faim ! Je me lèverai, et m'en irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ; traite-moi comme l'un de tes domestiques. Il partit donc, et vint vers son père. Et comme il était encore loin, son père le vit, et fut touché de compassion ; et courant à lui, il se jeta à son cou et le baisa. Et son fils lui dit : "Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils". Mais le père dit à ses serviteurs : "Apportez la plus belle robe et l'en revêtez ; et mettez-lui un anneau au doigt et des souliers aux pieds ; et amenez un veau gras et le tuez ; mangeons et réjouissons-nous ; parce que mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, mais il est retrouvé.
Et ils commencèrent à se réjouir. Cependant son fils aîné, qui était à la campagne revint ; et comme il approchait de la maison, il entendit les chants et les danses. Et il appela un des serviteurs, à qui il demanda ce que c'était. Et le serviteur lui dit : "Ton frère est de retour et ton père a tué un veau gras, parce qu'il l'a recouvré en bonne santé". Mais il se mit en colère, et ne voulut point entrer. Son père donc sortit, et le pria d'entrer. Mais il répondit à son père : "Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais contrevenu à ton commandement, et tu ne m'as jamais donné un chevreau pour me réjouir avec mes amis. Mais quand ton fils que voici, qui a mangé tout son bien avec des femmes débauchées, est revenu, tu as fait tuer un veau gras pour lui". Et son père lui dit : "Mon fils, tu es toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à toi. Mais il fallait bien faire un festin et se réjouir, parce que ton frère que voilà, était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé."
(Parabole du fils prodigue - Lc 15)
À l'inverse, le catholique non pratiquant, est-il vraiment catholique ? N'a-t-il de sa religion que l'étiquette comme Fabien ? Le Bon Dieu vomit les tièdes : Je connais tes actions, je sais que tu n'es ni froid ni brûlant - Mieux vaudrait que tu sois ou froid ou brûlant. Aussi, puisque tu es tiède - ni brûlant ni froid - je vais te vomir de ma bouche. (...) Eh bien sois fervent et convertis-toi (Apocalypse 3, 15-19). Ou bien : Celui qui dit "Je le connais", et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur : la vérité n'est pas en lui. Mais en celui qui garde sa parole (...) Celui qui déclare demeurer en lui doit, lui aussi, marcher comme Jésus lui-même a marché (1re épître de Jean 2, 4-6).
Ce film est un tourbillon d'émotions grâce notamment à un sublime et subtil jeu d'acteurs : Youssef, l'ouragan sensible, ce frère extrême, joué par Brahim Tekfa, nous a tenus dans une tension incroyable tout au long du film ; Fayçal Safi, émouvant et déchirant dans le rôle d'Akim ; Et un Fabien exceptionnel, tendrement gauche et attendrissant de naïveté !
Soyons des instruments dont Notre Seigneur Jésus-Christ aime se servir quand il le désire ; mais des instruments appuyés sur l'intelligence puisée dans la foi, et sur la vérité.
Cela nous amène à la question suivante : Comment convertir quand les hommes ne croient qu'en ce qu'il voient ? Quand toutes notions du surnaturel, de Loi naturelle, de Loi de Dieu, ont disparu ? Croiraient-ils s'ils étaient témoins d'un miracle ? Les pharisiens trop épris de leur pouvoir et de leur place avaient accusé et fait condamner Jésus alors qu'il avait guéri sous leurs yeux des malades, des paralytiques, redonné la vue à des aveugles, ressuscité des morts, et chassé les démons (1er pouvoir que Jésus confère à ses disciples). La vérité, c'est que l'homme est aujourd'hui bien trop attaché au Monde, et qu'il se réfère au Monde pour vivre et pour se comporter.
La religion catholique est la seule vraie, instituée par Dieu Lui-même. Elle ne vient pas des hommes, elle nous a été donnée par Dieu. Mais l'Ennemi de Dieu a réussi à effacer ces vérités révélées, en les dénaturant de siècles en siècles. C'est ainsi que l'on voit des peuples païens honorer la Sainte Vierge Marie, avant même sa naissance, parce que leur culte au démon a gardé un reste de la vraie religion.
Reportez-vous à La Communication de Satan avec l'homme, Histoire religieuse des deux cités, Satan veut déformer l'homme, afin d'effacer en lui l'image de Dieu.
Réplique typique du Diable, quand Akim sort brusquement de l'église en plein baptême de la fille de son ami, alors qu'il vient d'être touché par le Christ, un homme fume sur le porche en expliquant qu'il comprend qu'il ait eu un coup de chaud, car pour l'athéiste qu'il est lui-même, ce genre de cérémonie est un supplice.
On vous dira "Il ne faut pas voir le Diable partout !", mais malheureusement, il l'est ! Et l'on sait comme il se sert aisément de l'ignorance et de la faiblesse des hommes pour faire chuter ceux qui marchent vers le Christ.
Alors, demandons-nous aujourd'hui quelle part de notre âme avons-nous donnée au [Mon]de. Quelle part avons-nous donnée au Dé[mon] ?
[Jésus] leur dit encore : "Un homme avait deux fils, dont le plus jeune dit à son père : "Mon père, donne-moi la part du bien qui me doit échoir." Ainsi, le père leur partagea son bien. Et peu de temps après, ce plus jeune fils ayant tout amassé, s'en alla dehors dans un pays éloigné, et il y dissipa son bien en vivant dans la débauche. Après qu'il eut tout dépensé, il survint une grande famine en ce pays-là ; et il commença à être dans l'indigence. Alors il s'en alla, et se mit au service d'un des habitants de ce pays-là, qui l'envoya dans ses possessions pour paître les pourceaux. Et il eût bien voulu se rassasier des carouges que les pourceaux mangeaient ; mais personne ne lui en donnait. Étant donc rentré en lui-même, il dit : Combien y a-t-il de gens aux gages de mon père, qui ont du pain en abondance ; et moi je meurs de faim ! Je me lèverai, et m'en irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ; traite-moi comme l'un de tes domestiques. Il partit donc, et vint vers son père. Et comme il était encore loin, son père le vit, et fut touché de compassion ; et courant à lui, il se jeta à son cou et le baisa. Et son fils lui dit : "Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils". Mais le père dit à ses serviteurs : "Apportez la plus belle robe et l'en revêtez ; et mettez-lui un anneau au doigt et des souliers aux pieds ; et amenez un veau gras et le tuez ; mangeons et réjouissons-nous ; parce que mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, mais il est retrouvé.
Et ils commencèrent à se réjouir. Cependant son fils aîné, qui était à la campagne revint ; et comme il approchait de la maison, il entendit les chants et les danses. Et il appela un des serviteurs, à qui il demanda ce que c'était. Et le serviteur lui dit : "Ton frère est de retour et ton père a tué un veau gras, parce qu'il l'a recouvré en bonne santé". Mais il se mit en colère, et ne voulut point entrer. Son père donc sortit, et le pria d'entrer. Mais il répondit à son père : "Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais contrevenu à ton commandement, et tu ne m'as jamais donné un chevreau pour me réjouir avec mes amis. Mais quand ton fils que voici, qui a mangé tout son bien avec des femmes débauchées, est revenu, tu as fait tuer un veau gras pour lui". Et son père lui dit : "Mon fils, tu es toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à toi. Mais il fallait bien faire un festin et se réjouir, parce que ton frère que voilà, était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé."
(Parabole du fils prodigue - Lc 15)
À l'inverse, le catholique non pratiquant, est-il vraiment catholique ? N'a-t-il de sa religion que l'étiquette comme Fabien ? Le Bon Dieu vomit les tièdes : Je connais tes actions, je sais que tu n'es ni froid ni brûlant - Mieux vaudrait que tu sois ou froid ou brûlant. Aussi, puisque tu es tiède - ni brûlant ni froid - je vais te vomir de ma bouche. (...) Eh bien sois fervent et convertis-toi (Apocalypse 3, 15-19). Ou bien : Celui qui dit "Je le connais", et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur : la vérité n'est pas en lui. Mais en celui qui garde sa parole (...) Celui qui déclare demeurer en lui doit, lui aussi, marcher comme Jésus lui-même a marché (1re épître de Jean 2, 4-6).
Ce film est un tourbillon d'émotions grâce notamment à un sublime et subtil jeu d'acteurs : Youssef, l'ouragan sensible, ce frère extrême, joué par Brahim Tekfa, nous a tenus dans une tension incroyable tout au long du film ; Fayçal Safi, émouvant et déchirant dans le rôle d'Akim ; Et un Fabien exceptionnel, tendrement gauche et attendrissant de naïveté !
Soyons des instruments dont Notre Seigneur Jésus-Christ aime se servir quand il le désire ; mais des instruments appuyés sur l'intelligence puisée dans la foi, et sur la vérité.
Cela nous amène à la question suivante : Comment convertir quand les hommes ne croient qu'en ce qu'il voient ? Quand toutes notions du surnaturel, de Loi naturelle, de Loi de Dieu, ont disparu ? Croiraient-ils s'ils étaient témoins d'un miracle ? Les pharisiens trop épris de leur pouvoir et de leur place avaient accusé et fait condamner Jésus alors qu'il avait guéri sous leurs yeux des malades, des paralytiques, redonné la vue à des aveugles, ressuscité des morts, et chassé les démons (1er pouvoir que Jésus confère à ses disciples). La vérité, c'est que l'homme est aujourd'hui bien trop attaché au Monde, et qu'il se réfère au Monde pour vivre et pour se comporter.
La religion catholique est la seule vraie, instituée par Dieu Lui-même. Elle ne vient pas des hommes, elle nous a été donnée par Dieu. Mais l'Ennemi de Dieu a réussi à effacer ces vérités révélées, en les dénaturant de siècles en siècles. C'est ainsi que l'on voit des peuples païens honorer la Sainte Vierge Marie, avant même sa naissance, parce que leur culte au démon a gardé un reste de la vraie religion.
Reportez-vous à La Communication de Satan avec l'homme, Histoire religieuse des deux cités, Satan veut déformer l'homme, afin d'effacer en lui l'image de Dieu.
Réplique typique du Diable, quand Akim sort brusquement de l'église en plein baptême de la fille de son ami, alors qu'il vient d'être touché par le Christ, un homme fume sur le porche en expliquant qu'il comprend qu'il ait eu un coup de chaud, car pour l'athéiste qu'il est lui-même, ce genre de cérémonie est un supplice.
On vous dira "Il ne faut pas voir le Diable partout !", mais malheureusement, il l'est ! Et l'on sait comme il se sert aisément de l'ignorance et de la faiblesse des hommes pour faire chuter ceux qui marchent vers le Christ.
Alors, demandons-nous aujourd'hui quelle part de notre âme avons-nous donnée au [Mon]de. Quelle part avons-nous donnée au Dé[mon] ?
Si Jésus ne vient pas à nous (bien qu'Il nous ait certainement déjà appelés mille fois sans que nous soyons ouverts à ses appels), c'est à nous d'aller à lui, de le chercher et de lui dire Seigneur, entre dans ma vie, montre-moi tout ton amour. Un cœur sincère ne trouve jamais porte close : « Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l'on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe... » (Mt 7, 7)
1. Le Seigneur ne
nous demande pas d'être amis avec Ses ennemis, mais de prier pour leur
conversion afin qu'ils soient comptés parmi les enfants de Dieu.
L'APÔTRE - BANDE ANNONCE 1 - Un film de... par Che-Carr