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vendredi 21 août 2015

Litanie de Saint Pie X



Le Pape Pie X (1835-1914), successeur du Pape Léon XIII


Seigneur, ayez pitié de nous.
Ô Christ, ayez pitié de nous.
Seigneur, ayez pitié de nous.

Ô Christ, écoutez-nous.
Ô Christ, exaucez-nous.

Père Céleste qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Fils Rédempteur du monde qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Esprit Saint qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Trinité Sainte qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous.

Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous.
Saint Joseph, Patron de l’Église universelle, priez pour nous.

Saint Pie X, modèle pour les prêtres, priez pour nous.
Saint Pie X, évêque sage, priez pour nous.
Saint-Pie X, humble cardinal-patriarche, priez pour nous.
Saint Pie X, Pape de paix, priez pour nous.
Saint Pie X, modèle de zèle pour les enseignants, priez pour nous.
Saint-Pie X, consacré aux pauvres, priez pour nous.
Saint-Pie X, consolateur des malades, priez pour nous.
Saint-Pie X, amant de la pauvreté, priez pour nous.
Saint-Pie X, humble de cœur, priez pour nous.
Saint Pie X, plein de bonté, priez pour nous.
Saint-Pie X, fidèle au devoir, priez pour nous.
Saint Pie X, héroïque dans la pratique des vertus, priez pour nous.
Saint-Pie X, rempli de l'esprit de sacrifice de soi, priez pour nous.
Saint-Pie X, soumis à la volonté de Dieu, priez pour nous.
Saint-Pie X, confiant en la Providence Divine, priez pour nous.
Saint Pie X, qui désiriez restaurer toutes choses dans le Christ, priez pour nous.
Saint Pie X, qui avez amené des petits enfants à la table du Seigneur, priez pour nous.
Saint Pie X, qui avez conseillé à tous la communion fréquente et quotidienne, priez pour nous.
Saint Pie X, qui nous avez demandé de connaître et d'aimer la sainte liturgie, priez pour nous.
Saint Pie X, qui avez cherché partout la diffusion de la doctrine chrétienne, priez pour nous.
Saint Pie X, qui avez réformé la musique de l’Église, priez pour nous.
Saint Pie X, qui vous êtes opposé avec courage et fermeté au modernisme, priez pour nous.
Saint Pie X, qui avez combattu les ennemis de l’Église, priez pour nous.
Saint Pie X, qui nous avez enseigné la valeur de l'action Catholique, priez pour nous.
Saint Pie X, qui avez consacré les fidèles à l'apostolat des laïcs, priez pour nous.
Saint Pie X, qui teniez à être connu comme un pasteur des pauvres âmes, priez pour nous.
Saint Pie X, qui répondez aux prières de ceux qui crient vers vous, priez pour nous.
Saint Pie X, que le Seigneur a gratifié du don de prophétie, priez pour nous.
Saint Pie X, qui avez fait de nombreux miracles, priez pour nous.
Saint Pie X, qui lisiez dans les cœurs, priez pour nous.
Très Saint Père, priez pour nous.

Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, pardonnez-nous, Seigneur.
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, exaucez-nous, Seigneur.
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, ayez pitié de nous, Seigneur.


V/ Priez pour nous, Saint Pie X,
R/ Afin que nous soyons rendus dignes des promesses de Notre Seigneur Jésus-Christ.


PRIONS

Dieu Tout-puissant, pour défendre la Foi Catholique, et fonder toutes choses dans le Christ, Vous avez comblé le Pape Saint Pie X de Sagesse Divine et de courage apostolique. Permettez Seigneur que, dociles à ses instructions et à ses exemples, nous obtenions l'éternelle récompense. Par Jésus, le Christ, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l'unité du Saint-Esprit, pour les siècles des siècles. Ainsi soit-il.


***



SERMENT ANTI-MODERNISTE


Motu proprio Sacrorum antistitum


1er septembre 1910, promulgué par le pape Saint Pie X



Moi, N..., j'embrasse et reçois fermement toutes et chacune des vérités qui ont été définies, affirmées et déclarées par le magistère infaillible de l’Église, principalement les chapitres de doctrine qui sont directement opposés aux erreurs de ce temps.

- Et d'abord, je professe que Dieu, principe et fin de toutes choses, peut être certainement connu, et par conséquent aussi, démontré à la lumière naturelle de la raison "par ce qui a été fait" Rm 1,20, c'est-à-dire par les œuvres visibles de la création, comme la cause par les effets.

- Deuxièmement, j'admets et je reconnais les preuves extérieures de la Révélation, c'est-à-dire les faits divins, particulièrement les miracles et les prophéties comme des signes très certains de l'origine divine de la religion chrétienne et je tiens qu'ils sont tout à fait adaptés à l'intelligence de tous les temps et de tous les hommes, même ceux d'aujourd'hui.

- Troisièmement, je crois aussi fermement que l’Église, gardienne et maîtresse de la Parole révélée, a été instituée immédiatement et directement par le Christ en personne, vrai et historique, lorsqu'il vivait parmi nous, et qu'elle a été bâtie sur Pierre, chef de la hiérarchie apostolique, et sur ses successeurs pour les siècles.

- Quatrièmement, je reçois sincèrement la doctrine de la foi transmise des apôtres jusqu'à nous toujours dans le même sens et dans la même interprétation par les pères orthodoxes ; pour cette raison, je rejette absolument l'invention hérétique de l'évolution des dogmes, qui passeraient d'un sens à l'autre, différent de celui que l’Église a d'abord professé. Je condamne également toute erreur qui substitue au dépôt divin révélé, confié à l’Épouse du Christ, pour qu'elle garde fidèlement, une invention philosophique ou une création de la conscience humaine, formée peu à peu par l'effort humain et qu'un progrès indéfini perfectionnerait à l'avenir.

- Cinquièmement, je tiens très certainement et professe sincèrement que la foi n'est pas un sentiment religieux aveugle qui émerge des ténèbres du subconscient sous la pression du cœur et l'inclination de la volonté moralement informée, mais qu'elle est un véritable assentiment de l'intelligence à la vérité reçue du dehors, de l'écoute, par lequel nous croyons vrai, à cause de l'autorité de Dieu souverainement véridique, ce qui a été dit, attesté et révélé par le Dieu personnel, notre Créateur et notre Seigneur.

Je me soumets aussi, avec la révérence voulue, et j'adhère de tout mon cœur à toutes les condamnations, déclarations, prescriptions, qui se trouvent dans l'encyclique Pascendi (3475-3500) et dans le décret Lamentabili (3401- 3466), notamment sur ce qu'on appelle l'histoire des dogmes.

De même, je réprouve l'erreur de ceux qui affirment que la foi proposée par l’Église peut être en contradiction avec l'histoire, et que les dogmes catholiques, au sens où on les comprend aujourd'hui, ne peuvent être mis d'accord avec une connaissance plus exacte des origines de la religion chrétienne.

Je condamne et rejette aussi l'opinion de ceux qui disent que le chrétien savant revêt une double personnalité, celle du croyant et celle de l'historien, comme s'il était permis à l'historien de tenir ce qui contredit la foi du croyant, ou de poser des prémices d'où il suivra que les dogmes sont faux ou douteux, pourvu que ces dogmes ne soient pas niés directement.

Je réprouve également la manière de juger et d'interpréter l’Écriture sainte qui, dédaignant la tradition de l’Église, l'analogie de la foi et les règles du Siège apostolique, s'attache aux inventions des rationalistes et adopte la critique textuelle comme unique et souveraine règle, avec autant de dérèglement que de témérité.

Je rejette en outre l'opinion de ceux qui tiennent que le professeur des disciplines historico-théologiques ou l'auteur écrivant sur ces questions doivent d'abord mettre de côté toute opinion préconçue, à propos, soit de l'origine surnaturelle de la tradition catholique, soit de l'aide promise par Dieu pour la conservation éternelle de chacune des vérités révélées ; ensuite, que les écrits de chacun des Pères sont à interpréter uniquement par les principes scientifiques, indépendamment de toute autorité sacrée, avec la liberté critique en usage dans l'étude de n'importe quel document profane.

Enfin, d'une manière générale, je professe n'avoir absolument rien de commun avec l'erreur des modernistes qui tiennent qu'il n'y a rien de divin dans la tradition sacrée, ou, bien pis, qui admettent le divin dans un sens panthéiste, si bien qu'il ne reste plus qu'un fait pur et simple, à mettre au même niveau que les faits de l'histoire : les hommes par leurs efforts, leur habileté, leur génie continuant, à travers les âges, l'enseignement inauguré par le Christ et ses apôtres.

Enfin, je garde très fermement et je garderai jusqu'à mon dernier soupir la foi des Pères sur le charisme certain de la vérité qui est, qui a été et qui sera toujours "dans la succession de l'épiscopat depuis les apôtres", non pas pour qu'on tienne ce qu'il semble meilleur et plus adapté à la culture de chaque âge de pouvoir tenir, mais pour que "jamais on ne croie autre chose, ni qu'on ne comprenne autrement la vérité absolue et immuable prêchée depuis le commencement par les apôtres".

Toutes ces choses, je promets de les observer fidèlement, entièrement et sincèrement, et de les garder inviolablement, sans jamais m'en écarter ni en enseignant ni de quelque manière que ce soit dans ma parole et dans mes écrits. J'en fais le serment ; je le jure. Qu'ainsi Dieu me soit en aide et ces saints Évangiles.

(Ce serment a été supprimé en 1967)



***



Le Grand Catéchisme de Saint Pie X


 Extrait

Nous savons que Jésus-Christ est vraiment le Messie et le Rédempteur promis, parce qu’en Lui s’est accompli tout ce qu’annonçaient les prophètes et tout ce que représentaient les figures de l’Ancien Testament.

L’offense faite à Dieu par le péché était, à un certain point de vue, infinie, et il fallait pour la réparer une personne d’un mérite infini.

Jésus voulut tant souffrir pour satisfaire plus abondamment à la divine Justice, pour nous montrer encore plus son amour et pour nous inspirer une plus grande horreur du péché.

Jésus-Christ est mort pour le salut de tous et tous ne sont pas sauvés parce que tous ne veulent pas le reconnaître, tous n’observent pas sa loi, tous ne se servent pas des moyens de sanctification qu’il nous a laissés.

Pour être sauvés, il ne suffit pas que Jésus-Christ soit mort pour nous ; il est nécessaire qu’à chacun de nous soient appliqués le fruit et les mérites de sa passion et de sa mort, application qui se fait surtout par les sacrements que Jésus-Christ lui-même a institués dans ce but. Et comme beaucoup ou ne reçoivent pas les sacrements ou les reçoivent mal, ils rendent inutile pour eux la mort de Jésus-Christ.

Le cinquième article du Credo (Est descendu aux enfers, et le troisième jour est ressuscité d’entre les morts) nous enseigne que l’âme de Jésus-Christ, une fois séparée de son corps, alla dans les Limbes, et que, le troisième jour, elle s’unit de nouveau à son corps pour n’en être jamais plus séparée.

On entend ici par enfers les Limbes, c’est-à-dire le lieu où étaient les âmes des justes en attendant la Rédemption de Jésus-Christ.

Les âmes des justes ne furent pas introduites dans le paradis avant la mort de Jésus-Christ, parce que le paradis avait été fermé par le péché d’Adam et qu’il convenait que Jésus-Christ, dont la mort le rouvrait, fût le premier à y entrer.

Jésus-Christ voulut retarder sa résurrection jusqu’au troisième jour pour manifester avec évidence qu’il était vraiment mort.

Jésus-Christ après sa résurrection resta quarante jours sur la terre avant de monter au ciel, pour prouver par diverses apparitions qu’il était vraiment ressuscité, et pour instruire toujours davantage et confirmer les Apôtres dans les vérités de la foi.

Le septième article du Credo (D’où il viendra juger les vivants et les morts) nous enseigne qu’à la fin du monde Jésus-Christ, plein de gloire et de majesté, viendra du ciel pour juger tous les hommes, bons et mauvais, et pour donner à chacun la récompense ou le châtiment qu’il aura mérité.

Au jugement général, la gloire de Dieu sera manifestée parce que tous connaîtront avec quelle justice Dieu gouverne le monde, bien que parfois maintenant on voie les bons dans l’affliction et les méchants dans la prospérité.

Au jugement général, la confusion des méchants sera très grande, surtout pour ceux qui opprimèrent les justes et pour ceux qui cherchèrent pendant leur vie à être estimés des hommes vertueux et bons, parce qu’ils verront manifestés à tout le monde les péchés qu’ils commirent, même les plus secrets.

Il ne suffit pas pour être sauvé d’être un membre quelconque de l’Église catholique, il faut en être un membre vivant.

Les membres vivants de l’Église sont tous les justes et eux seuls, c’est-à-dire ceux qui sont actuellement en état de grâce.

Tous les justes de l’Ancien Testament se sont sauvés en vertu de la foi qu’ils avaient au Christ à venir et par cette foi, ils appartenaient déjà spirituellement à l’Église.

Celui qui, se trouvant hors de l’Église sans qu’il y ait de sa faute ou de bonne foi, aurait reçu le Baptême ou en aurait le désir au moins implicite ; qui chercherait en outre sincèrement la vérité et accomplirait de son mieux la volonté de Dieu, bien que séparé du corps de l’Église, serait uni à son âme et par suite dans la voie du salut.

Celui qui, tout en étant membre de l’Église catholique, n’en mettrait pas en pratique les enseignements, serait un membre mort de l’Église et, par suite, ne serait pas sauvé, parce que pour le salut d’un adulte il faut non seulement le Baptême et la foi, mais encore les œuvres conformes à la foi.

L’Église catholique est tant persécutée parce que son divin Fondateur fut aussi persécuté et parce qu’elle réprouve les vices, combat les passions et condamne toutes les injustices et toutes les erreurs.

Le premier commandement (Tu n’auras pas d’autre Dieu) nous défend l’idolâtrie, la superstition, le sacrilège, l’hérésie et tout autre pêché contre la religion.

On appelle idolâtrie le fait de rendre à quelque créature, par exemple à une statue, à une image, à un homme, le culte suprême d’adoration qui n’est dû qu’à Dieu seul.

On appelle superstition toute dévotion contraire à la doctrine et à l’usage de l’Église, comme aussi le fait d’attribuer à une action ou à une chose quelconque une vertu surnaturelle qu’elle n’a pas.

Le sacrilège est la profanation d’un lieu, d’une personne ou d’une chose consacrée à Dieu et destinée à son culte.

L’hérésie est une erreur coupable de l’intelligence par laquelle on nie avec obstination quelque vérité de la foi.

Le premier commandement nous défend encore d’avoir commerce avec le démon et de nous agréger aux sectes antichrétiennes.

Celui qui recourrait au démon ou l’invoquerait commettrait un péché énorme, parce que le démon est le plus pervers des ennemis de Dieu et de l’homme.

Toutes les pratiques du spiritisme sont défendues, parce qu’elles sont superstitieuses et que souvent elles ne sont pas exemptes d’intervention diabolique : aussi ont-elles été justement interdites par l’Église.

Pour faire une bonne Communion, trois choses sont nécessaires :
1. être en état de grâce ;
2. être à jeun depuis minuit jusqu’au moment de la Communion ;
3. savoir ce qu’on va recevoir et s’approcher de la sainte Communion avec dévotion.

Être en état de grâce, c’est avoir la conscience pure de tout péché mortel.

Savoir ce qu’on va recevoir, veut dire : connaître ce qu’enseigne la Doctrine chrétienne au sujet de ce sacrement et le croire fermement.

Communier avec dévotion, c’est s’approcher de la sainte Communion avec humilité et modestie, dans sa personne comme dans ses habits, et faire la préparation avant la sainte Communion et l’action de grâces après.

La préparation avant la Communion consiste à s’arrêter quelques instants à considérer qui nous allons recevoir et qui nous sommes ; et à faire des actes de foi, d’espérance, de charité, de contrition, d’adoration, d’humilité et de désir de recevoir Jésus-Christ.

L’action de grâces après la Communion consiste à rester dans le recueillement, honorant la présence du Seigneur en nous et renouvelant les actes de foi, d’espérance, de charité, d’adoration, de remerciement, d’offrande et de demande, demandant surtout les grâces qui nous sont le plus nécessaires à nous et à ceux pour lesquels nous sommes obligés de prier.

Le jour de la Communion, on doit se tenir le plus possible dans le recueillement, s’occuper à des œuvres de piété et remplir avec un plus grand soin les devoirs de son état.

Après la sainte Communion, Jésus-Christ reste en nous par sa grâce aussi longtemps que nous ne péchons pas mortellement ; et par sa présence réelle il reste tant que les espèces sacramentelles ne sont pas consommées.

Au moment de recevoir la sainte Communion, il faut être à genoux, tenir la tête médiocrement levée, les yeux modestement tournés vers la sainte Hostie, la bouche suffisamment ouverte et la langue un peu avancée sur la lèvre inférieure.
Nous devons faire en sorte d’avaler la sainte Hostie le plus tôt possible, et nous abstenir de cracher pendant quelque temps. Si la sainte Hostie s’attachait au palais, il faudrait la détacher avec la langue, et jamais avec le doigt.



Lire le Grand Catéchisme de Saint Pie X.




Les modernistes sont les pires ennemis de l’Église, et le modernisme l’égout collecteur de toutes les hérésies
. (Saint Pie X)




Prière de Saint Pie X à l’Immaculée Conception


Vierge très Sainte, qui avez plu au Seigneur et êtes devenue sa Mère, Vierge Immaculée dans votre corps, dans votre âme, dans votre foi, et dans votre amour, de grâce, regardez avec bienveillance les malheureux qui implorent votre puissante protection.
Le serpent infernal, contre lequel fut jetée la première malédiction, continue, hélas! à combattre et à tenter les pauvres fils d’Eve.
Ô Vous, notre Mère bénie, notre Reine et notre Avocate, vous qui avez écrasé la tête de l’ennemi dès le premier instant de votre Conception, accueillez nos prières, et, nous vous en conjurons, unis en un seul cœur, présentez-les devant le Trône de Dieu, afin que nous ne nous laissions jamais prendre aux embûches qui nous sont tendues, mais que nous arrivions tous au port du salut, et qu’au milieu de tant de périls, l’Église et la société chrétienne chantent encore une fois l’hymne de la délivrance, de la victoire et de la paix. Ainsi soit-il.







Lire
"Pie X" du R.P. Jérôme DAL GAL.



Écoutez ces conférences :
Le règne du Christ Roi, seul solution pour la France, ce sermon pour la Saint Pie X et ce sermon à écouter jusqu'au bout pour bien comprendre.



Voir "L’Église assiégée" (vidéo audio).



Lire cet article : Mgr Lefebvre refuse de détruire l’Église avec Paul VI et cet article en hommage au dernier vrai Pape, Pie XII.





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