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| Le Cauchemar (Johann Heinrich Füssli) |
Certaines femmes naïves et incrédules (nous ne parlons pas ici de celles qui ont pactisé et qui invoquent le démon par malice, ni de ces pauvres femmes qui par maléfice sont abusées sexuellement et d'une manière surnaturelle par le démon), malgré plusieurs avertissements, se laissent séduire par le démon qui les visite la nuit. Il prend des apparences séductrices, et face à « ce beau jeune homme au visage d'ange », ces femmes plus éprises de la terre que du Ciel, se laissent approcher et toucher par celui qui fera leur damnation et qui les torturera éternellement en enfer.
Elles en viennent à l'appeler « Mon démon », comme nous dirions « Mon bon ange », et avec l'affection qu'une femme porte à son époux.
Il est bien triste de constater que ce lavage de cerveau opéré dans nos sociétés, dès la plus petite enfance, par une propagande de la Bête, pour minimiser le mal, et en faire un bien, puisqu'il n'y a plus de mal, ni de bons ou de méchants, mais des bons méchants et des méchants bons, a complètement réformé les mentalités pour rendre acceptable et même louable la révolte de Lucifer. Finalement, les monstres sont gentils et Lucifer est à plaindre.
Ces femmes s'adonnant au péché et au démon peinent à enfanter, vivent des fausses couches à répétition, ou expulsent de leur corps un enfant mort-né présentant des difformités que l'on peut dire signées par les esprits de ténèbres.
Ces femmes sont bien souvent entourées de sorcières (qu'elles ne nomment pas ainsi bien sûr) dont elles ne voient pas la malice (ou plutôt ne veulent pas voir) ni le pouvoir destructeur, et dont la simple présence est toxique.
« Parfois sous les yeux des maris, des démons incubes qu'ils ne prenaient pas pour des démons, mais pour des hommes, ont fait ces choses avec leurs épouses. Eux ont saisi leurs armes et ont voulu les transpercer, mais instantanément le démon a disparu se rendant invisible. »
« On peut dire que les démons incubes ne veulent pas seulement infecter ces femmes (...) offertes à eux par des sages-femmes ; mais qu'ils essaient de toute leur force par des sorcières entremetteuses et prostituées de séduire toutes les jeunes filles les plus dévotes (pieuses) de telle ville et de tel district. Cela en effet, l'expérience, maîtresse de vie, nous l'a enseigné : dans la ville de Ratisbonne, certaines sorcières brûlées nous ont affirmé avant la sentence finale, que leur “maître” leur avait enjoint de travailler de toutes leurs forces à débaucher des vierges et des veuves pieuses. » (Le Marteau des Sorcières, par Henry Institoris et Jacques Sprenger, Inquisiteurs)
Pendant que les catholiques dorment, Satan et ses suppôts travaillent...
« La cérémonie s'accomplissait au cœur de la ville de Nantes, en présence de la population tout entière remplissant les abords et les nefs de la cathédrale, sous les yeux de Brictius, son évêque, et de Gaufred, évêque de Chartres. La malheureuse femme qui en avait réclamé le bénéfice s'était laissée séduire et fasciner par un jeune militaire de mâle et angélique beauté. Mais bientôt elle avait reconnu, et, promptement, la douleur lui avait fait sentir la formidable nature de son vainqueur. Terrifiée, brisée par le démon à figure humaine qui se riait de l'épuisement de ses forces et de ses tardifs remords, elle se désolait en vain. Le monstre angélique la poursuivait de ses plus implacables assiduités jusque dans la chambre conjugale, vexabat incredibili libidine, se faisant un jeu malin d'échapper aux regards du mari. Une lamentable et longue expérience apprenait enfin à cette femme imprudente ce qu'il y a de dégoûts et d'horreurs dans les amours d'un démon. Hélas ! le jour où sa faiblesse la plongea dans cet abîme, la pauvrette avait cru se rendre aux vœux et aux soupirs d'un merveilleux adolescent que ses charmes avaient enivré de tendresse. Que de larmes brûlantes et de tourments lui coûtait un moment d'erreur! Cependant, informée qu'elle fut un certain jour du passage de Bernard , elle se sentit la force de courir vers le saint, malgré les prévoyantes et terribles menaces de son persécuteur. Dieu, qui marquait par des grâces miraculeuses les pas de cet apôtre, voulut bien suspendre l'effet des paroles de colère et de mort de celui dont l'amour même était pour elle un enfer. L'homme apostolique écouta cette malheureuse humblement prosternée ; puis, mêlant à quelques consolations immédiates ses instructions pieuses, il lança ses anathèmes contre l'Esprit qui avait feint de s'embraser de feux si contraires à sa haineuse et homicide nature. Il défendit ensuite à cet Esprit de s'approcher de toute autre femme ; et, la prière de ce saint et profond docteur s'unissant à celle de toute l'assemblée des fidèles, Dieu délivra celle que les tortures de ce bourreau à visage d'ange avait réduite à trahir de sa propre bouche les mystères de son ignominie (Voir la citation de ce même fait dans le commentaire du livre de Tobie, par Serrarius, que le célèbre cardinal Baronius appelle la lumière de l'Église d'Allemagne, t. XII. Collect. Migne, Script, sac. curs. 1839, p. 686-742) !
Une nombreuse assemblée de fidèles put voir une fois de plus, sous la crosse de ses évêques, combien il est difficile à qui s'est imprudemment livré de se reprendre, et surtout de se soustraire à l'ascendant de « ces démons, qui se complaisent à favoriser la volupté sensuelle (Saint Grégoire de Nazianze, Père de l'Église, Oratio XXIV, 10. — Lire l'histoire que rapporte le grave de Lancre d'un démon qui séduisit une fille de qualité en prenant la forme d'un gentilhomme dont elle s'était éprise. Car « il recognut aisément que cette fille, esprise et combattue d'amour, serait bientost abattue », etc. — P. 219, Inconstance. — La jeune fille cède, ainsi qu'il l'avait prévu ; cependant le gentilhomme, dont le démon avait usurpé la ressemblance, et qu'elle sommait de tenir parole et de réparer sa faute en l'épousant, démontra, par témoins, son absence longtemps avant et longtemps après le premier jour de cette union clandestine, suivie d'un commerce secret et assidu de plusieurs mois. La pauvre jeune fille reconnaît alors et enfin quel est celui qui l'a trompée ! Elle se repent, entre dans un couvent, vit et meurt en sainte. — Inconst., liv. III, p. 219. — Analogue dans Binsfeld, De Conf., p. 234, etc. Dieu voulut souvent, par les phénomènes de l'incube, si bien connu de nos pères, épouvanter, étouffer la débauche lorsqu'elle n'était encore que naissante dans le cœur, et la punir lorsqu'elle passait dans les actes, en l'utilisant quelquefois au profit des âmes qui n'avaient point abandonné tout honneur. L'étude de ce sujet nous initie au secret des tortures que les personnes qui se livrent sciemment ou non à ce honteux commerce ont généralement à souffrir dès ce monde, et dans leur âme et dans leur chair ; mais je laisse à d'autres le soin d'envisager la question par cet endroit.) ». » (Extrait de Les hauts phénomènes de la magie)
Elles en viennent à l'appeler « Mon démon », comme nous dirions « Mon bon ange », et avec l'affection qu'une femme porte à son époux.
Il est bien triste de constater que ce lavage de cerveau opéré dans nos sociétés, dès la plus petite enfance, par une propagande de la Bête, pour minimiser le mal, et en faire un bien, puisqu'il n'y a plus de mal, ni de bons ou de méchants, mais des bons méchants et des méchants bons, a complètement réformé les mentalités pour rendre acceptable et même louable la révolte de Lucifer. Finalement, les monstres sont gentils et Lucifer est à plaindre.
Ces femmes s'adonnant au péché et au démon peinent à enfanter, vivent des fausses couches à répétition, ou expulsent de leur corps un enfant mort-né présentant des difformités que l'on peut dire signées par les esprits de ténèbres.
Ces femmes sont bien souvent entourées de sorcières (qu'elles ne nomment pas ainsi bien sûr) dont elles ne voient pas la malice (ou plutôt ne veulent pas voir) ni le pouvoir destructeur, et dont la simple présence est toxique.
« Parfois sous les yeux des maris, des démons incubes qu'ils ne prenaient pas pour des démons, mais pour des hommes, ont fait ces choses avec leurs épouses. Eux ont saisi leurs armes et ont voulu les transpercer, mais instantanément le démon a disparu se rendant invisible. »
« On peut dire que les démons incubes ne veulent pas seulement infecter ces femmes (...) offertes à eux par des sages-femmes ; mais qu'ils essaient de toute leur force par des sorcières entremetteuses et prostituées de séduire toutes les jeunes filles les plus dévotes (pieuses) de telle ville et de tel district. Cela en effet, l'expérience, maîtresse de vie, nous l'a enseigné : dans la ville de Ratisbonne, certaines sorcières brûlées nous ont affirmé avant la sentence finale, que leur “maître” leur avait enjoint de travailler de toutes leurs forces à débaucher des vierges et des veuves pieuses. » (Le Marteau des Sorcières, par Henry Institoris et Jacques Sprenger, Inquisiteurs)
Pendant que les catholiques dorment, Satan et ses suppôts travaillent...
« La cérémonie s'accomplissait au cœur de la ville de Nantes, en présence de la population tout entière remplissant les abords et les nefs de la cathédrale, sous les yeux de Brictius, son évêque, et de Gaufred, évêque de Chartres. La malheureuse femme qui en avait réclamé le bénéfice s'était laissée séduire et fasciner par un jeune militaire de mâle et angélique beauté. Mais bientôt elle avait reconnu, et, promptement, la douleur lui avait fait sentir la formidable nature de son vainqueur. Terrifiée, brisée par le démon à figure humaine qui se riait de l'épuisement de ses forces et de ses tardifs remords, elle se désolait en vain. Le monstre angélique la poursuivait de ses plus implacables assiduités jusque dans la chambre conjugale, vexabat incredibili libidine, se faisant un jeu malin d'échapper aux regards du mari. Une lamentable et longue expérience apprenait enfin à cette femme imprudente ce qu'il y a de dégoûts et d'horreurs dans les amours d'un démon. Hélas ! le jour où sa faiblesse la plongea dans cet abîme, la pauvrette avait cru se rendre aux vœux et aux soupirs d'un merveilleux adolescent que ses charmes avaient enivré de tendresse. Que de larmes brûlantes et de tourments lui coûtait un moment d'erreur! Cependant, informée qu'elle fut un certain jour du passage de Bernard , elle se sentit la force de courir vers le saint, malgré les prévoyantes et terribles menaces de son persécuteur. Dieu, qui marquait par des grâces miraculeuses les pas de cet apôtre, voulut bien suspendre l'effet des paroles de colère et de mort de celui dont l'amour même était pour elle un enfer. L'homme apostolique écouta cette malheureuse humblement prosternée ; puis, mêlant à quelques consolations immédiates ses instructions pieuses, il lança ses anathèmes contre l'Esprit qui avait feint de s'embraser de feux si contraires à sa haineuse et homicide nature. Il défendit ensuite à cet Esprit de s'approcher de toute autre femme ; et, la prière de ce saint et profond docteur s'unissant à celle de toute l'assemblée des fidèles, Dieu délivra celle que les tortures de ce bourreau à visage d'ange avait réduite à trahir de sa propre bouche les mystères de son ignominie (Voir la citation de ce même fait dans le commentaire du livre de Tobie, par Serrarius, que le célèbre cardinal Baronius appelle la lumière de l'Église d'Allemagne, t. XII. Collect. Migne, Script, sac. curs. 1839, p. 686-742) !
Une nombreuse assemblée de fidèles put voir une fois de plus, sous la crosse de ses évêques, combien il est difficile à qui s'est imprudemment livré de se reprendre, et surtout de se soustraire à l'ascendant de « ces démons, qui se complaisent à favoriser la volupté sensuelle (Saint Grégoire de Nazianze, Père de l'Église, Oratio XXIV, 10. — Lire l'histoire que rapporte le grave de Lancre d'un démon qui séduisit une fille de qualité en prenant la forme d'un gentilhomme dont elle s'était éprise. Car « il recognut aisément que cette fille, esprise et combattue d'amour, serait bientost abattue », etc. — P. 219, Inconstance. — La jeune fille cède, ainsi qu'il l'avait prévu ; cependant le gentilhomme, dont le démon avait usurpé la ressemblance, et qu'elle sommait de tenir parole et de réparer sa faute en l'épousant, démontra, par témoins, son absence longtemps avant et longtemps après le premier jour de cette union clandestine, suivie d'un commerce secret et assidu de plusieurs mois. La pauvre jeune fille reconnaît alors et enfin quel est celui qui l'a trompée ! Elle se repent, entre dans un couvent, vit et meurt en sainte. — Inconst., liv. III, p. 219. — Analogue dans Binsfeld, De Conf., p. 234, etc. Dieu voulut souvent, par les phénomènes de l'incube, si bien connu de nos pères, épouvanter, étouffer la débauche lorsqu'elle n'était encore que naissante dans le cœur, et la punir lorsqu'elle passait dans les actes, en l'utilisant quelquefois au profit des âmes qui n'avaient point abandonné tout honneur. L'étude de ce sujet nous initie au secret des tortures que les personnes qui se livrent sciemment ou non à ce honteux commerce ont généralement à souffrir dès ce monde, et dans leur âme et dans leur chair ; mais je laisse à d'autres le soin d'envisager la question par cet endroit.) ». » (Extrait de Les hauts phénomènes de la magie)
PRIÈRE POUR CHASSER LES ESPRITS INCUBES ET SUCCUBES
PARFOIS APPELÉS « MARIS ET FEMMES DE NUIT »
Par l'intercession et le soutien de saint Raphaël Archange, de mon Ange gardien, de l'Immaculée Vierge Marie, mère de Jésus, de saint Benoît et de saint Joseph, par le Précieux Sang de Jésus dont je me recouvre, je prends position pour le combat contre les forces démoniaques, les esprits incubes et succubes dits « maris de nuit » et « femmes de nuit », ainsi que Satan qui m'oppresse.
Au Nom de Jésus de Nazareth, moi (dire son nom...) fille (ou fils) d'Abraham, enfant de Dieu par la grâce du baptême, enfant de Marie par la Volonté de Jésus, je vous conteste tout droit sur moi démon Asmodée, esprit de Jézabel et de Mamy Wata. Je dénonce tout contrat, tout mariage occulte qui me lierait à vous. Par la Puissance de libération du Sang de Jésus, je divorce d'avec vous, je me délie, je romps définitivement toute relation avec vous. Je n'aime pas, je rejette toute action ou tout contact que vous m'imposez sur mes parties sexuelles en rêve ou à l'état de veille.
Au Nom de Jésus, je prends autorité sur vous esprits impurs qui violez mon intimité sexuelle, bloquez mon mariage, me rendez stérile ou perturbez l'intimité de mon couple. Je repousse toutes les pratiques impures que vous m'imposez : prostitution, adultère, alcoolisme, idolâtrie de l'argent.
Par le Christ qui « s'est fait malédiction pour moi sur la Croix » (Ga 3, 13), je brise toute consécration occulte, tout maléfice ou envoûtement qui pèse sur moi, tout lien ou oppression satanique. Asmodée, esprit de la reine Jézabel, esprit de "Mamy Wata" ou de Dalila ou tout autre esprit incube ou succube (dire si possible le nom des "divinités" ou « vaudou auxquels on a été consacré »), que le Sang de l'Agneau de Dieu vous remplisse d'effroi et vous éloigne de moi ! Et que son Sang casse toute emprise que vous exercez sur moi !
Jésus de Nazareth vous chasse et vous commande, et en son Nom, moi aussi je vous commande : allez vous-en au pied de la Croix de Jésus afin qu'Il dispose de vous comme Il le veut et ne revenez plus m'oppresser dans mes parties intimes, dans mon corps et dans ma vie, car au Nom de Jésus, vous êtes vaincus. Vous n'avez plus aucun pouvoir sur moi. Jésus m'a sauvé et m'a donné la victoire sur vous.
Que l'Esprit Saint, l'esprit de bénédiction et de puissance tombe sur moi ! Que le Sang de Jésus-Christ me garde dans la liberté des enfants de Dieu ! Amen ! (*)
(Libéré des esprits impurs, J. Pliya)
* [Nos propres péchés d'incroyance et d'idolâtrie ouvrent en nous des portes aux esprits mauvais, nous lient et bloquent notre vie spirituelle. Renoncez de nouveau à Satan pour retrouver votre liberté.]
Lire Le Livre de Tobie, et Miracles et Sabbats, Journal du Vénérable Père Maunoir.
Reportez-vous à Litanies de Saint Raphaël Archange, Summis desiderantes affectibus, Bulle apostolique du Pape Innocent VIII, contre l'hérésie des sorcières, Exorcisme de Saint François de Sales pour les époux dont la fécondité du mariage est entravée par le démon ou par des maléfices, Transmission de la sorcellerie, Saint Philippe Benizi, invoqué pour préserver les enfants des maléfices, Vie de Saint Cyprien et Sainte Justine, Martyrs à Nicomédie, et Exorcisme de Saint Cyprien contre les maléfices, Satan veut déformer l'homme, afin d'effacer en lui l'image de Dieu, et le façonner à sa propre image, Comment Satan a égaré l’humanité dans ses voies, après lui avoir fait perdre la connaissance du vrai Dieu : magie naturelle, magie noire, idolâtrie, divination, mystères et sociétés secrètes, État religieux et moral de l'univers au temps de l'établissement du Christianisme, Les efforts incessants de Satan pour se reformer une Cité, Prière pour casser toute magie et affaiblir les forces sataniques, Neuvaine de protection contre les attaques de magie, Culte de la pierre, de l'arbre, et de la source : traditions et origines magiques de ces dieux (1/4), L'existence du surnaturel et du surhumain, Neuvaine à l'Archange Raphaël, Lecture du livre de Tobie (12, 7-15) : S'il est bon de tenir cachés les secrets des rois, c'est un honneur que de faire connaître et proclamer les œuvres de Dieu, Méditation pour le 3 Septembre, Saint Raphaël conduisant le jeune Tobie, Saint Raphaël, Modèle de l'Ange gardien préposé à la garde de chaque homme, Dévotion aux Saints Anges : Avoir une grande dévotion à saint Michel, à saint Gabriel, à saint Raphaël, et aux autres quatre Anges qui sont auprès du trône de Dieu, Résultats du spiritisme : la folie et le suicide - Dernier obstacle à l'envahissement satanique : la papauté, La terre se couvrit de ronces et d'épines, et La communication de Satan avec l'homme, un dogme de foi aussi certain que l'Incarnation.