mercredi 28 décembre 2016

Satan veut déformer l'homme, afin d'effacer en lui l'image de Dieu, et le façonner à sa propre image



Extrait de "Traité du Saint-Esprit" de Mgr Gaume :


Élie fait périr les prêtres de Baal (Gustave Doré)
Dans la Cité du bien, le but final du sacrifice, comme de toutes les pratiques religieuses, est de réparer ou de perfectionner dans l'âme l'image de Dieu, afin que, rendue semblable à son créateur, elle entre au moment de la mort en possession des félicités éternelles. Dépouiller l'âme de sa beauté native en la dépouillant de sa sainteté, c'est-à-dire effacer en elle jusqu'aux derniers vestiges de ressemblance avec Dieu, afin qu'au sortir de la vie elle devienne la victime éternelle de son corrupteur : tel est le but diamétralement contraire du Roi de la Cité du mal.

Avec la même tyrannie qu'il exige l'effusion du sang, il exige la profanation des âmes. Notre plume se refuse à décrire les hécatombes morales, accomplies par ses ordres sur tous les points du globe, ainsi que les circonstances révoltantes dont le prince des ténèbres les entoure. Ignominies et infamies : ces deux mots résument son culte public ou secret.

Ignominies. Voyez-vous Satan, maître de ces âmes immortelles, vivantes images du Verbe incarné, les forçant de se prosterner devant lui, non sous la figure d'un Séraphin, resplendissant de lumière et de beauté ; mais sous la figure de tout ce qu'il y a de plus laid et de plus repoussant dans la nature ? Crocodile, taureau, chien, loup, bouc, serpent, animaux amphibies, animaux de terre et de mer, sous toutes ces formes il demande des hommages, et il les obtient. Cette longue galerie de monstruosités ne lui suffit pas. Afin d'entraîner l'homme dans des ignominies plus profondes, il en invente une nouvelle.

Sous son inspiration, l'Orient et l'Occident, l'Égypte, la Grèce, Rome, tous les lieux où le genre humain respire, ont vu les villes et les campagnes, les temples et les habitations particulières, se peupler de figures monstrueuses, inconnues dans la nature. Êtres hideux, moitié femmes, et moitié poissons, moitié hommes et moitié chiens, femmes à la chevelure de serpents, hommes aux pieds de bouc, femmes à la tête de taureau, hommes à la tête de loup, serpents à la tête d'homme ou d'épervier, Magots et Bouddhas, ayant pour tête un pain de sucre, pour bouche un rictus épouvantable courant d'une oreille à l'autre, pour ventre un tonneau, tous dans des attitudes, ridicules, menaçantes ou cyniques : c'est à ces dieux, incarnation multiforme et long ricanement de l'Esprit malin, que l'homme tremblant devra offrir son encens et demander des faveurs.

Infamies : À quel prix l'encens sera-t-il reçu ? À quelles conditions les faveurs accordées ? qu'on le demande aux mystères de Gérés, à Eleusis ; de la bonne déesse, à Rome ; de Bacchus, en Étrurie ; de Vénus, à Corinthe ; d'Astarté, en Phénicie ; de Mendès en Égypte ; du temple de Gnide, de Delphes, de Claros, de Dodone, et de certains autres que nous nous abstenons de nommer : en un mot, qu'on le demande à tous les sanctuaires ténébreux, où, comme le tigre qui attend sa proie, Satan nuit et jour attend l'innocence, la pudeur, la vertu, et l'immole sans pitié, avec des raffinements d'infamie que le chrétien ne soupçonne plus et que le païen lui-même n'aurait jamais inventés (Clem. Alexand., Exhortat, ad Graec. ; et Euseb., Praep. evang., lib. IV, c, xvi. — M. de Mirville, Pneumatologie, etc., T. III ; deuxième Mémoire, p. 346 et suiv.).

Ce que Satan faisait chez tous les peuples païens, il le fit chez les Gnostiques, leurs héritiers : il le fait encore, quant au fond, parmi les sectaires modernes, soumis plus directement à son empire. Écoutons le récit de ce qui se passe, depuis longtemps, en Amérique, la terre classique des esprits frappeurs et des grands médiums. Dans le mois de septembre, lorsqu'on a recueilli les récoltes, les méthodistes ont l'habitude de tenir des réunions nocturnes, qui durent pendant toute une semaine. Une annonce est faite dans les journaux, afin que chaque fidèle soit dûment prévenu et puisse profiter des grâces, que L'Esprit- Saint prodigue dans ces circonstances. On choisit un vaste emplacement au milieu des forêts ; le meeting a lieu en plein air et dans le silence de la nuit. On voit arriver les sectaires par toutes les voies et sur tous les véhicules imaginables ; hommes, femmes, enfants, tous accourent au rendez-vous.
Le lieu du meeting est ordinairement en forme d'ovale. À une extrémité on construit l'estrade pour les prédicants ; ils sont toujours en nombre. Cette espèce ne manque malheureusement pas en Amérique. De chaque côté, en forme de fer à cheval, on dresse des tentes, et l'on place derrière les voitures et les chevaux. Tout autour, sur des poteaux, sont des lampes ou des torches qui jettent une lueur blafarde. Le centre est vide. C'est là que se tient le peuple pendant le meeting. Vers neuf ou dix heures du soir, au signal donné, les ministres montent sur l'estrade ; le peuple accourt, se tient debout ou assis sur l'herbe.
Un ministre commence quelques prières, puis déclame un petit speech : c'est le préambule. Plusieurs autres se succèdent et cherchent à échauffer l'enthousiasme. Bientôt la scène s'anime et prend un étrange aspect. Un des ministres entonne d'une voix lente et grave un chant populaire (c’est le carmen, usité dans toutes les évocations) ; la foule accompagne sur tous les tons : puis, le ministre grossit la voix et va toujours crescendo, en accompagnant son chant des gestes les plus excentriques. La Sybille n'était pas plus tourmentée, sur son trépied. On chante, on déclame tour à tour, et l'enthousiasme augmente.
Cela dure des heures entières ; l'excitation finit par arriver à un point dont il est impossible de donner l'idée. Entre autres exclamations qu'on entend retentir, citons celle-ci : Dans la Nouvelle Jérusalem, nous aurons du café sans argent et du vieux vin. Alléluia !
Bientôt toute cette foule qui remplit l'enceinte se mêle, se heurte, le tout au milieu des cris, des danses, des gémissements et des éclats de rire. L'esprit vient! l'esprit vient ! Oui, il vient en effet ; mais ce doit être un esprit infernal, avoir ces contorsions, à entendre ces hurlements. C'est alors un pêle-mêle, un tohu-bohu digne de petites-maisons. Les hommes se frappent la poitrine, se balancent comme des magots chinois, ou exécutent des évolutions comme des derviches. Les femmes se roulent par terre, les cheveux épars. Les jeunes filles se sentent soulever dans les airs et sont en effet transportées par une force surnaturelle.
Cependant les ministres, qui semblent livrés à la même folie, continuent de chanter et de se démener comme des possédés : c'est une confusion complète, un chaos au loin la pudeur, la morale, tout est pur pour ces énergumènes. Dieu pardonne tout. Honte et infamie sur les chefs aveugles d'un peuple aveugle !... Les étoiles du firmament répandent une douce clarté sur cet affreux tableau ; parfois le vent mugit dans la forêt, et les torches font apparaître les hommes comme des ombres. La nuit se passe de la sorte. Le matin, toute cette foule est étendue inerte, épuisée, harassée. Le jour est donné au repos, et la nuit suivante on recommence (Histoire d'un meeting de 1863, Extraits des journaux américains). Voilà ce qui se fait dans la secte puritaine des méthodistes. Qui oserait raconter ce qui a lieu chez les Mormons ?

Nous sommes donc en droit de le répéter : Poursuivre le Verbe incarné dans l'homme son frère et son image ; le poursuivre en singeant, pour le perdre, tous les moyens divinement établis pour le sauver ; le poursuivre sans relâche et sur tous les points du globe ; le poursuivre d'une haine qui va jusqu'au meurtre du corps et de l'âme : telle est Tunique occupation du Roi de la Cité du mal.
S'il n'atteint pas toujours ce dernier résultat, toujours il y tend : quand il ne lui est pas donné de détruire l'image du Verbe, il la défigure. À défaut d'une victoire complète, il ambitionne un succès partiel. Ce lumineux principe de la philosophie chrétienne, nous conduit en présence d'un fait très-remarquable, jusqu'ici peu remarqué en lui-même, et nullement étudié dans sa cause. Nous voulons parler de la tendance générale de l'homme à se défigurer. Nous dirions universelle, si un seul peuple, que nous nommerons bientôt, ne faisait exception. Avant de nous occuper de la cause, constatons le phénomène.

La manie de se défigurer ou de se déformer physiquement se rencontre partout. Inutile d'ajouter qu'elle est particulière à l'homme ; quel qu'il soit, l'animal en est exempt. Si nous parcourons les différentes parties du globe, nous trouvons à toutes les époques et sur une vaste échelle, les déformations suivantes ; déformation des pieds, parla compression ; déformation des jambes et des cuisses, par des ligatures ; déformation de la taille, par le corsage ; déformation de la poitrine et des bras, par le tatouage ; autre déformation de la poitrine, des bras, des jambes et du dos, par de hideuses excroissances de chair, provenant d'incisions faites au moyen de coquillages ; déformation des ongles, par la coloration ; déformation des doigts, par l'amputation de la première phalange.
Déformation du menton, par l'épilation ; déformation de la bouche, par le percement de la lèvre inférieure ; déformation des joues, par le percement et par la coloration ; déformation du nez, par l'aplatissement de l'une ou de l'autre extrémité, par le percement de la cloison, avec suspension d'une large plaque de métal, ou l'allongement exagéré, provenant d'une compression verticale des parois ; déformation des oreilles, au moyen de pendants qui les allongent jusqu'à l'épaule (« Aux jours de fête, les femmes du l'Île de Pâques mettent leurs pendants d'oreilles. Elles commencent de bonne heure à se percer le lobe de l'oreille avec un morceau de bois pointu ; peu à peu elles font entrer ce bois plus avant, et le trou s'agrandit. Ensuite elles y introduisent un petit rouleau d'écorce, lequel, faisant l'office de ressort, se détend et dilate de plus en pins l'ouverture. Au bout de quelque temps, le lobe de l'oreille est devenu une mince courroie qui retombe sur l'épaule comme un ruban. Les jours de fête, on y introduit un énorme rouleau d'écorce : cela est d'une grâce parfaite ! » — Aussi parfaite que le chignon moderne. Annales de la Prop. de la Foi, II.) ; déformation des yeux, par la coloration ou par la pression de l'os frontal, qui les fait sortir de leur orbite ; déformation du front par des caractères obscènes, gravés en rouge avec le bois de sandal ; déformation du crâne, sous l'action de compressions variées qui lui font prendre tour à tour la forme conique, pointue, bombée, ronde, trilobée, aplatie, carrée ; déformation générale par le fard, par les cosmétiques et par les modes ridicules : voilà le phénomène (pour les autorités et le nom des peuples, voir l'ouvrage du docteur-médecin L. A. Gosse, de Genève, intitulé : Essai sur les déformations artificielles du crâne, Paris, 1855 ; Annales de la Propagation de la Foi, n. 98, p. 75).

Quel esprit suggère à l'homme qu'il n'est pas bien, tel que Dieu l'a fait ? D'où lui vient cette impérieuse manie de déformer, dans sa personne, l'ouvrage du Créateur ? Donner pour cause la jalousie des uns, la coquetterie des autres, ce n'est pas résoudre la difficulté : c'est la reculer. Il s'agit de savoir quel principe inspire cette jalousie brutale, cette coquetterie repoussante ; pourquoi l'une et l'autre procèdent par la déformation, c'est-à-dire en sens inverse de la beauté, et comment elles se trouvent sur tous les points du globe .

Si l'on veut ne pas se payer de mots et avoir le secret de l'énigme, il faut se rappeler deux choses également certaines : la première, que l'homme a été fait, dans son corps et dans son âme, à l'image du Verbe incarné ; la seconde, que le but de tous les efforts de Satan, est de faire disparaître de l'homme l'image du Verbe incarné, afin de le former à la sienne. Ces deux vérités incontestables conduisent logiquement à la conclusion suivante : La tendance générale de l'homme à se défigurer, est l'effet d'une manœuvre satanique. Plusieurs faits, dont le sens n'est pas équivoque, viennent confirmer cette conclusion.

1° Certains peuples reconnaissent positivement dans ces déformations l'influence de leurs dieux. « Quant aux femmes australiennes, écrit un missionnaire, c'est moins le goût de la parure que l'idée d'un sacrifice religieux, qui les porte à se mutiler. Lorsqu'elles sont encore en bas âge, on leur lie le bout du petit doigt de la main gauche, avec des fils de toile d'araignée ; la circulation du sang se trouvant ainsi interrompue, on arrache au bout de quelques jours la première phalange, qu'on dédie au serpent boa, aux poissons ou aux kanguroos (Annales, etc., n. 98, p. 75). »
Il en est de même de la déformation frontale par la coloration. Son caractère d'obscénité révoltante accuse une autre cause, que la jalousie de l'homme ou la coquetterie de la femme.

2° La partie du corps le plus universellement et le plus profondément déformée, c'est le cerveau. D'où vient cette préférence ? Au point de vue de l'action démoniaque, il est facile d'en comprendre le motif. Le cerveau est le principal instrument de l'âme. L'altérer, c'est altérer tout l'homme. Or, cette déformation a pour résultat d'entraver le développement des facultés intellectuelles, de favoriser les passions brutales et de dégrader l'homme au niveau de la bête (Gosse, p. 149, 150. — Sur plusieurs points de la France et de l'Europe, la déformation frontale a lieu encore aujourd'hui. ibid).

3° Parmi tous les peuples, un seul peuple, mêlé à tous les peuples, échappe à cette tendance, c'est le peuple juif. Investi d'une mission providentielle, dont la lettre de créance est son identité, il faut qu'il soit éternellement reconnu pour juif, et Satan n'a pas la permission de le défigurer. « Comme exempte de la déformation, je citerai cette petite nation juive, qui a joué un rôle si remarquable dans l'humanité, et dont le type s'est conservé pur, dès les temps les plus reculés (Gosse, p. 16). »

4° Plus les nations se trouvent étrangères à l'influence du christianisme ou du Saint-Esprit, plus la tendance à la déformation est générale ; au contraire, plus elles sont chrétiennes, plus elle diminue. « En parlant des habitants de la Colombie, M. Duflot de Mofras fait remarquer que là où le catholicisme s'est introduit, la déformation a cessé (Gosse, p. 9). » Elle disparaît complètement chez les vrais catholiques, les saints, les prêtres, les religieux et les religieuses.

Déformer l'homme, afin d'effacer en lui l'image de Dieu, ce n'est pas assez : nous avons ajouté qu'à tout prix, Satan veut le faire à la sienne. Ici encore vient s'ajouter un nouveau trait au parallélisme constant, que nous avons observé.

Dans la Cité du bien, l'image de Dieu la plus éloquente et la plus populaire, c'est le crucifix. Donc le crucifix est l'image obligée de l'homme ici-bas. Mortification universelle de la chair et des sens, empire absolu de l'âme sur le corps, dévouement sans bornes, détachement des choses temporelles, résignation, douceur, humilité, aspiration constante vers les réalités de la vie future : n'est-ce pas là tout l'homme voyageur ? Et voilà le crucifix. De là, cette définition de la vie, donnée par le concile de Trente : La vie chrétienne est une pénitence continuelle, vita christiana, perpétua poenitentia.

Par ses images, le Roi de la Cité du mal définit aussi la vie ; mais il la définit à sa manière. Pas une des innombrables statues, sous lesquelles il se présente aux hommages des hommes, qui ne soit un appel à certaine passion. Plusieurs fois nous avons visité les galeries de Florence, les musées de Rome et de Naples, les ruines dé Pompéi et d'Herculanum. Nous avons vu les dieux de l'Océanie ; d'autres ont vu, pour nous, les temples du Thibet, les pagodes de l'Inde et de la Chine. Or, les milliers d'images, emblèmes, statues, antiques et modernes, qui encombrent ces lieux, si différents d'âge et de destination, répètent, chacun à sa manière, le mot séduisant qui perdit l'homme au paradis terrestre : Jouis ; c'est-à-dire, oublie tes destinées, oublie le but de la vie, adore ton corps, méprise ton âme, dégrade-toi, déforme-toi ; que l'image du crucifix s'efface de ton front, de tes pensées et de tes actes, afin que tu sois l'image de celui que tu adores, la Bête.






Lire "Traité du Saint Esprit" (Tome 1, Tome II).



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