Voici une liste de vidéos qui pourront vous accompagner spirituellement (vous amener du moins à une réflexion sur la foi ou sur la vie dans l’Église, mais surtout à chercher Jésus-Christ, le cinéma n'étant jamais fidèle à la vérité), et qui nous l'espérons, vous ferons mettre au rebut vos films d'horreur et autres navets !
Abraham
Jésus de Nazareth
Un beau film selon nous retraçant la vie de Jésus. Mais surtout, un très bon film pour ceux qui débutent dans la foi catholique (les commençants), pour ceux qui n'ont pas encore lu le Nouveau Testament, et une invitation à le découvrir et à le lire. Il s'agit à l'origine d'une mini-série italo-britannique de plus de six heures réalisée en 1977. "Jésus de Nazareth" de Franco Zeffirelli est une référence. Le choix des acteurs est parfait ! Non seulement leur jeu est indiscutable, mais leur ressemblance avec les protagonistes de l’Évangile comme l'on peut se les imaginer ajoute une crédibilité de plus à cette réalisation. Une déception cependant : le fait que la Passion ait été traitée si succinctement. La Passion est le sommet de notre foi, chaque messe est le renouvellement non sanglant de la mort de Notre Seigneur Jésus-Christ, du Saint Sacrifice sur la croix, pour l'expiation de nos péchés (fin propitiatoire de la Sainte messe). Il est donc fort dommage que le point le plus important n'ait pas été développé. Également, nous condamnons le passage dénigrant les compétences et le travail de Joseph, lorsqu'un client se plaint de sa commande. Saint Joseph étant un charpentier reconnu pour la qualité de ses ouvrages. Reportez-vous à cet article sur l'escalier de Santa Fe. Enfin, nous condamnons le fait que le film montre Judas comme un simple naïf, lui qui nous est présenté par les Saintes Écritures comme un voleur, traître, apostat, en qui le diable était entré, qui a péché contre le Saint-Esprit en refusant d'une part la vérité connue (jusqu'à l'heure de sa trahison, il a été témoin des miracles éclatants du Fils de Dieu), puis en ne croyant pas en la miséricorde du bon Dieu (Judas s'est pendu après avoir trahi Notre Seigneur Jésus-Christ).
Il était une fois Jésus
Ce film d'animation est une merveille anglo-russe réalisée par Derek Hayes et Stanislav Sokolov, utilisant avec réalisme la technique de pâte à modeler à laquelle des séquences d'animation traditionnelle ont été ajoutées avec brio pour raconter l'histoire de Jésus. Pour visionner Il était une fois Jésus, c'est ici !
Jésus au plus près de l’Évangile selon Saint Luc
Nous sommes partagés pour ce film réalisé à partir de l’Évangile de Jésus-Christ selon Saint Luc, car le jeu et le charisme des acteurs de "Jésus de Nazareth" de Franco Zeffirelli manque ici cruellement. Cependant, l'intérêt se situe dans la fidélité du récit. Certes, vous ne trouverez pas là une grande réalisation, mais nous vous recommandons malgré cela de prendre le temps de découvrir cette adaptation de l’Évangile selon Saint Luc.
La passion du Christ
Une merveille d'esthétisme ! Sorti en 2004, La passion du Christ est un film américain écrit, produit et réalisé par Mel Gibson, retraçant les dernières heures de la vie de Jésus de Nazareth. Entièrement tourné dans les langues parlées en Judée au premier siècle (Araméen, Hébreu et Latin), cette réalisation est un chef-d’œuvre cinématographique, mais précisons, qui n'est pas sans fautes historiques ! Mel Gibson nous montre avec justesse les 12 dernières heures de Notre Seigneur. Les scènes que vous ne reconnaîtrez pas ne sont par contre pas tirées de la Sainte Écriture, mais inspirées des visions de Catherine Emmerich (visions sur la vie privée du Christ qui n'ont pas été reconnues infaillibles par l’Église). La violence décriée par la critique est réellement celle dont a été victime Notre Seigneur Jésus-Christ lors de la Passion, et cela est bien attesté par l'analyse du Saint Suaire de Turin (ex : la flagellation - Voir ce billet). Le face à face entre Satan et La Sainte Vierge Marie lors de la Passion fixe avec force l'inimitié annoncée dans la Genèse : "Je mettrai des inimitiés entre toi et la femme, et ta race et la sienne ; elle-même t'écrasera la tête, et tu mettras des embûches à son talon." (Gn 3, 15). Voir les commentaires dans le magazine Sodalitium n°56 (octobre 2004). Reportez-vous également à Inimitiés entre les enfants de Marie et les esclaves du diable. Pour visionner le film, cliquez ici.
CRISTEROS
La guerre des Cristeros (également connue sous le nom de Cristiada) désigne le soulèvement de paysans mexicains, catholiques, contre le gouvernement, profondément anticatholique, de 1926 à 1929. L'élection de Plutarco Elías Calles en 1924 met fin à la trêve entre le gouvernement et l'Église. Le nouveau président est athée, et fait en effet appliquer strictement les mesures anticléricales, et ce sur l'ensemble du territoire ; il fait voter d'autres lois de laïcisation : en 1926, la Loi pour la réforme du Code pénal prévoit des peines spécifiques pour les prêtres et les religieux qui contreviendraient aux articles de la Constitution de 1917 déjà cités. Par exemple, le port de l'habit clérical peut être puni d'une amende de 500 pesos ; un prêtre qui critique le gouvernement peut être condamné à cinq ans de prison ; puis expulsion des prêtres étrangers, assassinat de ceux qui refusent ces lois... La rébellion éclate d'abord de façon locale et spontanée avant de se transformer en soulèvement plus important à l'appel de la Ligue le 1er janvier 1927. À son apogée, au printemps 1929, le mouvement compte 50 000 combattants : 25 000 sont placées sous le commandement du général Gorostieta, 25 000 constituent des bandes éparses. Il apparaît plus important dans le Centre et l'Ouest du pays. Pour des raisons militaires, politiques et économiques, l’État mexicain décide alors d'en finir en concluant un accord diplomatique avec l’Église grâce à l'entremise de l'ambassadeur américain Dwight Whitney Morrow : ce sont les arreglos du 21 juin 1929. Les cristeros doivent alors se démobiliser et déposer les armes. Le nom de Cristeros est d'abord un sobriquet donné aux insurgés par les soldats fédéraux mais les combattants se l'approprient rapidement. Il reprend leur cri de ralliement : « Viva Cristo Rey ! ». (Source Wikipédia)
Un film historique bouleversant. Nous suivons les magnifiques conversions du Général Gorostieta et du jeune José Luis Sanchez, et sommes amenés à nous poser la question du martyre. Où en est notre foi ? Demandons l'intercession du Bienheureux José Luis Sanchez et des martyrs de la guerre des Cristeros ! Vive le Christ Roi !
Pour en savoir plus sur la guerre des Cristeros, écoutez cette conférence ! Reportez-vous à Quas primas du Pape Pie XI. Et Voir le film ici !
Histoire d'une âme (Pièce de théâtre sur Sainte Thérèse de Lisieux)
Dans ce monologue qui retrace la vie de Thérèse, Eva Hernandez s'est merveilleusement saisie (ou peut-être a-t-elle été saisie par Thérèse) de l'Histoire d'une âme, de notre petite sœur du Ciel. Humour et poésie sont au rendez-vous. Retrouvez ici les archives du Carmel de Lisieux.
Le chant de Bernadette
Il s'agit d'une adaptation par George Seaton d'un récit romancé de l'histoire de Bernadette, dû à Franz Werfel. Publié en 1942, le roman avait eu un très grand succès, restant plus d'un an sur la liste des best-sellers du New York Times, occupant la première place durant 13 semaines. Le film évoque la vie de Bernadette Soubirous depuis son enfance à Lourdes, où, en 1858, elle fut témoin des apparitions de la Vierge, jusqu'à sa mort en 1879, à Nevers où elle avait rejoint la congrégation des Sœurs de la Charité (Source Wikipédia).
Un film que nous avons trouvé très émouvant, même si les extrapolations dans le récit de la vie de Bernadette sont parfois gênantes et nous éloignent des faits réels. Mais il exploite avec efficacité pour l'époque les temps de rencontre entre Bernadette et la Sainte Vierge Marie. Nous n'avons par contre pas été émus par le jeu de Jennifer Jones qui interprète Bernadette. Rôle qui avait été fait pour qu'elle obtienne l'oscar.
Bernadette Soubirous (1988)
Ce film est plus centré sur le personnage qu'était Bernadette Soubirous. Il dépeint parfaitement le caractère et la simplicité de la jeune fille, cette jeune fille humble à qui Marie a dit : Je ne vous promets pas d'être heureuse dans ce monde, mais dans l'autre. La suite de ce film est intitulée : La passion de Bernadette.
Le Sorcier du Ciel, Le Saint Curé d'Ars
Ce film français réalisé par Marcel Blistène en 1949, dresse un portrait touchant de Jean-Marie-Baptiste Vianney, plus connu sous le nom du Saint Curé d'Ars, homme d'humilité qui a consacré sa vie à Dieu avec le plus grand amour et qui a combattu le Démon. Georges Rollin, l'acteur choisi pour incarner le Saint Curé d'Ars, semble ici le ressusciter ! L'image est extrêmement abîmée, mais en dehors de cela, le film lui ne vieillit pas. Il est bien dommage que celui-ci n'ait pas été restauré. Voir également cette autre version qui complète celle ci-dessous (les montages diffèrent).
Saint Antoine de Padoue
Un film extraordinaire sur Saint Antoine de Padoue ! L'humour de Giulietto, son acolyte et ami - qui l'accompagnera dans son chemin jusqu'à Dieu - fait contrepoids aux tourments du saint et apporte une certaine fraîcheur à cette réalisation. Visionnez le film !. Voir également ce film muet de 1931.
Padre Pio
Film quelque peu romancé, très bien interprété et très réussi de la vie de Padre Pio, inspiré des écrits d'Emanuele Brunatto. La bande-son porte l'émotion, du jeune Francesco au vieil homme malade que deviendra Padre Pio.
L'île
Ce film de Pavel Lounguine (russe) est magnifique ! Farfelu, émouvant, drôle, fort... "L'île" (film orthodoxe), c'est l'histoire d'un homme qui se retire après avoir tiré sur l'un des siens sous l'ordre des nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Il deviendra saint, recherchant toujours à racheter sa faute, meurtri par ce geste terrible, par sa trahison. Les gens viendront à lui pour être sauvés. Et là aussi, ce moine sait bien comment fonctionne le Démon, et il a une manière bien à lui de le combattre. On ne peut s'empêcher de penser à ce que Jésus disait à ses disciples : Alors les disciples s'approchèrent de Jésus, et lui dirent en particulier : Pourquoi n'avons-nous pu chasser ce démon ? C'est à cause de votre incrédulité, leur dit Jésus. Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne : Transporte-toi d'ici là, et elle se transporterait ; rien ne vous serait impossible. (Mt 17, 20-21)
Reportez-vous à Ex Quo Nono, Lettre du Pape Pie X sur la question du retour des Églises à l'unité catholique. Voir aussi la version HDR.
La Bible (série)
Cette toute jeune série née en 2014 vogue entre merveilles et déceptions. Explications : Tout l'Ancien Testament est sublime (malgré quelques libertés et l'éloignement du symbolisme religieux) ! Rares ont été les adaptations si bien réussies. Nous nous heurtons malheureusement à une grande déception en ce qui concerne le Nouveau Testament. En effet, ce dernier nous propose des images et des scènes splendides, suivies souvent de scènes bâclées. Celles de Jésus marchant sur les eaux et de la Pentecôte (nous déplorons l'absence de la Sainte Vierge Marie...) par exemple sont à couper le souffle, en opposition à d'autres beaucoup moins abouties ou clairement gnangnan. Nous ne retrouvons que peu de similitudes avec les protagonistes du Nouveau Testament, sauf pour Étienne et Paul qui est sans aucun doute le personnage le plus abouti et le plus fidèle aux écritures. La scène de la passion est terrible, et c'est ainsi qu'elle doit être. Nous déplorons un peu l'exagération du jeu de Jésus et un Pierre moins impulsif que l'était celui sur qui le Christ a fondé son Église, bien que l'acteur soit parfait pour le rôle. Un personnage pas assez « tranché » donc, ce qui est aussi le cas pour Judas. Une version cinéma a été montée, mais les scènes où Satan apparait ont été retirées suite à une polémique concernant la ressemblance de l'acteur avec Barack Obama (Le Diable est certainement passé par là pour effacer sa trace... encore). Une version cinéma peu intéressante donc selon nous. Visionner les épisodes ! Écouter la Bande originale !
Le narcisse noir
Ce film est intrigant parce qu'il montre d'une manière assez - il faut le dire - angoissante et efficace l'influence du Diable et comment celui-ci fait tomber les hommes. Nous entrons dans l'intimité de la vie de sœurs qui seront missionnées pour établir un nouveau couvent dans un palais servant autrefois de harem. Palais qui nous le découvrirons est démoniaque. Notre seul regret est que l'action du Malin dans le film n'est vue qu'à travers le comportement des sœurs, sans que l'histoire ne nomme clairement l'origine démoniaque de ces troubles. On la suppose seulement.
Synopsis : Sur les contreforts de l’Himalaya, une congrégation de nonnes s’établit dans un ancien harem avec l’intention de transformer le lieu en dispensaire. Dean, un agent anglais, est chargé de les aider à construire l’école qui servira à éduquer les enfants de la région, mais il se heurte rapidement à la sœur Clodagh qui trouve ses manières incorrectes. Au sein de la communauté, la solitude pèse de plus en plus sur les cœurs, et les tensions s’exacerbent…
Dialogues des Carmélites
Tiré de l'œuvre de Georges Bernanos, ce film montre comment l'Église a été persécutée durant la Révolution française (encore une œuvre du Diable) et nous invite à pénétrer dans le couvent et dans la vie des Carmélites. "Dialogues des Carmélites" est troublant. Il est question du martyre, et on ne peut rester de marbre quand l'Amour de Dieu vous a pris. Écoutez aussi ce sermon !
Synopsis : Durant la Révolution française, le clergé est persécuté. C'est la période de la Terreur. Dans un carmel à Compiègne, la vie des religieuses bascule.
Les trois messes basses (Lettres de mon moulin)
Lettres de mon moulin est un recueil de nouvelles d'Alphonse Daudet. Quatre de ces Lettres ont été adaptées par Marcel Pagnol en 1954, dont L'Élixir du révérend père Gaucher, Les Trois Messes basses (à conseiller à votre curé s'il lui arrive de "manger" la messe de temps en temps - Attention aux erreurs théologiques concernant le Purgatoire) et Le Curé de Cucugnan. Ces trois nouvelles nous montrent avec humour les conséquences du péché. Mais cela ne doit pas nous éloigner de la réalité de la damnation : Beaucoup d'appelés, mais peu d'élus !
Journal d'un curé de campagne
Journal d'un curé de campagne est une adaptation du roman du même nom écrit par Georges Bernanos. Le combat spirituel est un thème que Bernanos sait traiter avec subtilité dans "Journal d'un curé de campagne", Grand prix du roman de l'Académie française en 1936. Résumé : Un jeune prêtre vient d’être nommé curé d’Ambricourt, dans le nord de la France. Sa foi, sincère et profonde, son enthousiasme se heurtent rapidement à l’indifférence, à la lâcheté de ses paroissiens. Son désespoir, ses doutes, sa foi, ses tourments, c’est sur un cahier d’écolier qu’il va les confesser. Lire. Reportez-vous aussi à Sous le soleil de Satan de Georges Bernanos.
François et le chemin du soleil
Cette coproduction italienne, britannique et américaine de Franco Zeffirelli sortie en 1972 s'inspire de la vie et de l'œuvre de François d'Assise. Un très beau film, mais très romancé et donc peu fidèle à la vie de Saint François. Ce qui n'enlève rien à sa beauté et à la qualité des plans. Malgré de nombreux clichés, l'esthétisme, la bande son et l'humour vous feront passer un formidable moment.
Les modernistes ont dénaturé le message de Saint François d'Assise à qui Notre-Seigneur Jésus-Christ avait promis la place laissée vacante par Lucifer dans le Ciel. Un Saint, dévot à Saint Michel Archange, qui avait retrouvé l'innocence qu'avaient Adam et Eve avant le péché originel (c'est pour cette raison que Saint François pouvait parler et prêcher aux animaux) ; un Saint très important donc pour lequel nous devons entretenir une grande dévotion. Reportez-vous à Comment saint François commandait aux animaux et en était obéi, Auspicato concessum du Pape Léon XIII, sur le Tiers-Ordre de Saint François d'Assise et Litanies de Saint François d'Assise. Voir également ce film intitulé "Saint François d'Assise", romancé, exagéré dans le comportement que montre François avant sa conversion, mais ayant davantage de scènes fidèles à la vie du Saint. Plus réaliste encore, Les 11 Fioretti de Saint François d'Assise, qui ne manquent ni d'humour ni de cette joie qui habitait les frères franciscains.
Monsieur Vincent (Film sur la vie de Saint Vincent de Paul)
Don Bosco, Une vie pour les jeunes
La vie de Saint Charbel
Apparitions à Fatima
La Passion d'Anne Catherine Emmerich
Saint Jean de la Croix
La passion d'Augustine
Ce film montre remarquablement les conséquences du concile Vatican II (ce n'était certainement pas l'intention de la réalisatrice), à savoir la Révolution dans l’Église, résultat d'une foi tiède du peuple de Dieu, résultat de la désobéissance à Dieu, résultat de l'absence de l'amour de la prière et de la liturgie, résultat de l'absence de la crainte de Dieu, résultat de l'absence de l'amour de Dieu, ici remplacé par l'amour déraisonnable de la musique. Cette révolution pernicieusement en marche avant le concile a préparé son accomplissement au détriment de la foi et des vocations religieuses, dans le but de glorifier le monde, dans la recherche des gloires humaines, à l'heure où celles et ceux qui ont fait vœu de fidélité à Dieu tournent le dos au Christ, à l'heure où la véritable Église catholique est éclipsée. La confusion s'empare de l’Église. Mieux vaut perdre sa réputation, mieux vaut perdre les murs que de perdre l'amour du Christ. Et que sert à l'homme de gagner le monde entier, s'il perd son âme ? Ou que donnera l'homme en échange de son âme ? (Matth. 17, 26)
La fille des marais (Sainte Maria Goretti)
Film dramatique italien réalisé par Augusto Genina à voir ici !
Reportez-vous à La sainte amitié qui amena Jean Bosco séminariste, à la perfection chrétienne, "L'Apôtre" de Cheyenne Carron et Lettre encyclique de Pie XII sur le cinéma, la radio et la télévision.