Je l'ai rappelé dans le bref commentaire du texte de saint Paul aux Romains, Dieu, pour authentifier ses œuvres, les a comme signées, en laissant en chacune d'elles des traces de ses perfections invisibles. Les preuves que je vais développer ici aideront le lecteur à observer, pour quelques-uns, peut-être, à découvrir, ces traces de Dieu.
Observer des traces est à la portée de tout le monde. Ainsi, dans la vie courante, les empreintes laissées sur le sable fin de quelque plage déserte ou sur un tapis de neige, sont des signes que tout le monde peut voir et qui parlent. D'elles-mêmes, ces traces permettent d'affirmer qu'un homme ou un animal est passé par là. De plus, si l'on prend la peine de les observer de plus près, on peut même déterminer la nature de celui qui les a laissées. Les empreintes d'un oiseau ou d'un chien ne sont pas celles d'un homme et, quand il s'agit de ce dernier, on peut même savoir s'il était chaussé ou s'il allait nu-pieds. N'est-ce pas ainsi que raisonnent habituellement les gens sensés ?
Qui d'entre nous, apercevant quelques graffiti dans une caverne qu'il croyait inexplorée, n'acquiert, sur-le-champ, la certitude que quelqu'un l'a déjà visitée et qu'il y a laissé ces graffiti pour signaler son passage à ceux qui la visiteraient après lui ? De la même manière, s'il nous arrivait de découvrir, en quelque lieu que ce soit, deux simples pierres juxtaposées avec, entre elles, un peu de cendres, il ne nous viendrait pas à l'esprit de penser au hasard, ou à quelque animal qui les aurait posées là. Devant ce foyer éteint, qui manifeste le passage d'un être intelligent, le bon sens nous assure, tout naturellement, qu'un homme est passé là avant nous, ce foyer étant indubitablement la trace qu'il a laissée de son passage.
Après ces quelques explications, rappelons-nous une vérité qui, pour être évidente, n'en demeure pas moins oubliée de nos jours. Je veux parler de la notion d'ordre.
Il y a ordre, quand tout est bien à sa place, c'est-à-dire quand tout concourt à atteindre le but que l'on se propose d'atteindre. L'ordre exige donc, de toute nécessité :
— et une intelligence
— et une volonté.
Une intelligence, pour penser le but à atteindre et les moyens à prendre pour atteindre ce but.
Une volonté, pour disposer toutes choses comme l'a prévu l'intelligence en vue du but à atteindre.
Le hasard, qui ne produit de fait que du désordre, ne nécessite aucune intelligence.
Voici un exemple facile à comprendre :
Il permettra de mieux saisir cette double évidence. Imaginons une table recouverte d'une importante collection de timbres-poste de tous pays, parfaitement triés et classés en petites piles distinctes, suivant leur origine et la série auxquelles ils appartiennent. Le collectionneur, qui a passé des heures à faire ce tri, est sorti pour se détendre. Afin que personne ne brouille son classement, il a interdit l'entrée de la pièce où il a laissé sa collection.
Au retour de sa promenade, il trouve toutes les piles renversées et une grande partie des timbres en désordre sur le parquet.
— « Qui a fait cela ? »
— « Personne ! »
Le hasard pourrait-il expliquer ce désordre ? Parfaitement ! Et notre collectionneur doit se rendre à l'évidence. Avant de sortir, il avait bien poussé la fenêtre de la pièce, mais sans la fermer. Une tempête s'est levée, un grand vent a soufflé, ouvrant la fenêtre, renversant les piles et emportant les timbres qui sont retombés pêle-mêle sur le parquet de la pièce. Le désordre, qui ne requiert aucune intelligence, peut très bien s'expliquer par une cause aveugle, le hasard d'un coup de vent.
Découragé, notre collectionneur laisse ses timbres à terre et, après avoir fermé la fenêtre, s'en va faire une nouvelle promenade. La collection, il la reclassera plus tard ; à présent il a besoin de se changer les idées.
À son retour, après une absence de plusieurs heures, il retrouve toute sa collection sur la table et dans un ordre parfait. Tous les timbres sont à nouveau empilés, bien ordonnés, suivant leur pays d'origine et la série à laquelle ils appartiennent.
— « Qui donc m'a fait cette bonne surprise », demande-t-il, avec un large sourire ?
— « Le vent », répond un plaisantin. « Ce matin, vous aviez oublié de fermer la fenêtre de gauche et, cet après-midi, c'est celle de droite qui est restée ouverte. Et c'est encore le vent qui les a emportés, mais cette fois en sens inverse. Et voilà comment ils ont été remis en ordre ! »
Cette explication est-elle acceptable ?
Bien sûr que non, et aucun homme sensé ne pourra jamais l'admettre. Ah ! si les timbres, qui avaient été laissés en désordre sur la partie droite de la pièce, avaient été retrouvés en désordre sur le côté gauche, on aurait pu attribuer au hasard d'un coup de vent ce nouveau déplacement. Le vent, qui les avait emportés en désordre de gauche à droite, aurait très bien pu les emporter à nouveau et les déposer, toujours en désordre, de droite à gauche.
Mais lorsque des timbres qui étaient en désordre sont retrouvés en ordre, c'est que quelqu'un d'intelligent les a de nouveau classés. En effet, il faut nécessairement une intelligence pour reconnaître les séries et les pays auxquels chaque timbre appartient, et il faut aussi une volonté pour les regrouper sans les mélanger, c'est-à-dire pour les remettre en ordre.
Et toujours, en quelque domaine que ce soit, l'ordre qu'on y constate, c'est-à-dire l'arrangement des choses en vue d'obtenir une fin, prouve l'existence, et d'une intelligence qui a prévu la fin recherchée et le moyen pour l'atteindre, et d'une volonté pour exécuter le tout.
Une simple brouette, une modeste marmite, un foyer rudimentaire, tout ce qui représente un ordre quelconque, témoigne, répétons-le une fois encore, et de l'existence d'une intelligence qui a pensé la fin et les moyens pour atteindre cette fin, et d'une volonté qui a mis en place les moyens choisis.
Seuls les « imbéciles », au sens étymologique du terme, pourraient admettre que l'ordre puisse être le résultat du hasard. Un être intelligent ne l'admettra jamais ; il sait que, de fait, le hasard ne produit que du désordre.
Dieu s'est plu à laisser dans ses œuvres les traces de son action créatrice. Il les a laissées à notre intention, pour que nous les découvrions et que, par elles, nous arrivions à Le connaître Lui-même. Entreprenons cette découverte.
« Des preuves, excessivement fortes, d'un principe intelligent et bienfaisant nous entourent de toutes parts ; elles nous font voir, à travers la nature, l'influence d'un Être, d'un créateur et d'un Maître éternel. » (Lord Kelvin, physicien. Cité par les Drs Murat dans « Les grands témoignages de Dieu dans la nature »)
Extrait de Oui, c'est évident, Dieu existe vraiment, Père Noël Barbara, Ed. Fort dans la Foi.
Reportez-vous à Preuves classiques de l'existence de Dieu, Connaissance de l'existence de Dieu et Y a-t-il un Dieu qui s'occupe de nous ?.
vendredi 16 juillet 2021
Autres preuves de l'existence de Dieu : Les traces de son action dans la Création
mercredi 14 juillet 2021
Preuves classiques de l'existence de Dieu
Elles sont multiples. La plus simple — qui ferait croire à l'évidence de l'existence de Dieu, tant cette preuve est courante et familière — c'est celle qui découle d'un principe premier : « Tout ce qui est et qui n'est pas par soi, est nécessairement par un autre. » Comme tous les principes premiers, celui-ci est évident et ne nécessite aucune démonstrations ; le moins doué des hommes, s'il est normal, en saisit aussitôt la vérité.
Or, point n'est besoin d'avoir fait de longues études pour se rendre compte que rien, absolument rien de tout ce qui existe, n'existe par soi. La conclusion qui s'impose alors tout naturellement à l'esprit qui réfléchit, c'est que tout ce qui existe, existe par un autre. Cet autre, — autre que tous ceux que nous voyons, qui, eux, n'existent pas par soi — les hommes l'appellent Dieu. Par Dieu, ils entendent donc l'Être qui existe par soi, qui a créé et qui fait exister tout ce qui est sans être par soi.
Une autre preuve, qui demande à peine un peu plus de réflexion, c'est la preuve par la contingence des êtres. La voici après quelques explications indispensables.
La philosophie du sens commun enseigne qu'il y a deux sortes d'êtres, l'Être nécessaire et l'être contingent.
L'Être nécessaire, c'est celui qui n'a besoin de rien ni de personne, aussi bien pour exister que pour agir. Son existence, il la tient de lui-même ; aussi possède-t-il l'être en plénitude. De plus, pour agir, l'Être nécessaire ne dépend de rien ni de personne.
L'être contingent, au contraire, est un être totalement dépendant, aussi bien pour être que pour agir. L'être qu'il possède et qui le fait exister, lui a été communiqué ; et pour agir, il est encore dépendant et a besoin du concours d'autres êtres.
Malheureusement, alors que nous avons l'expérience des êtres contingents, puisque tous les êtres qui nous entourent sont, comme nous, des êtres contingents, nous n'avons aucune expérience de l'Être nécessaire. De là provient la difficulté que certains esprits éprouvent à l'admettre. « Et lui, d'où vient-il ? » nous objectent-ils.
Cette difficulté n'est qu'apparente. Elle provient, comme je viens de le dire, du fait que nous n'avons aucune expérience de l'Être nécessaire. Nous ne pouvons que le concevoir intellectuellement. Son existence et sa raison d'être ne sont découvertes que par notre intelligence.
Après ces explications, voici le raisonnement que l'on fait en partant de la contingence des êtres.
Tous les êtres connus, tous sans exception, sont des êtres contingents ; des êtres qui ont dépendu d'autres êtres pour exister et qui, pour agir, dépendent encore d'autres êtres.
Or, il n'est pas possible de remonter à l'infini dans une série d'êtres qui dépendent les uns des autres. De toute nécessité, il faut quitter la lignée des êtres contingents (qui dépendent les uns des autres) et admettre à leur origine un Être nécessaire. Celui-ci, possédant l'être par lui-même, et le possédant en plénitude, pourra l'avoir transmis à ceux qui ne l'avaient pas et ainsi expliquer et leur existence et leur activité. Cet Être nécessaire, c'est Dieu.
Pour aider les personnes qui ne seraient pas habituées à saisir un raisonnement abstrait, et qui ne comprendraient pas la raison pour laquelle elles doivent nécessairement quitter la série des êtres contingents et admettre à l'origine un Être nécessaire, voici une simple comparaison aussi fantastique qu'imagée.
Dans une foire aux attractions, quelque part en Russie, la curiosité qui attire les visiteurs est en plein air, dans un champ.
Il s'agit d'un lustre suspendu à une chaîne dont on ne voit pas l'extrémité. Le charlatan athée, qui présente cette curiosité, prétend avoir résolu le problème de l'Être nécessaire, figuré par le crochet fixe qui soutient généralement les lustres, en allongeant indéfiniment la chaîne à laquelle il a suspendu le sien.
Du fait, on ne voit pas le bout de la chaîne qui se perd dans un nuage, que d'aucuns pensent artificiel.
— « Où donc ces diables ont-ils pu accrocher leur chaîne ? » se demandent intrigués les visiteurs crédules. Et le présentateur de répondre :
— Nulle part ! Nous avons résolu le problème du crochet en allongeant indéfiniment la chaîne ! »
Cette réponse ne peut contenter que les badauds des foires, pas les personnes sensées. Ces dernières, même si elles ne comprennent pas encore l'astuce, savent qu'il y en a une. En effet, qu'est-ce qui retient le lustre suspendu ?
— La chaîne.
— Non ! Ce n'est pas la chaîne, c'est son premier maillon, celui du bas. Et la preuve que c'est bien lui qui soutient le lustre ? Coupez-le, et le lustre tombera. C'est donc bien lui qui le retient.
— Mais le premier maillon est, lui-même, retenu par le second, qui l'est par le troisième et ainsi de suite jusqu'à l'extrémité que l'on n'aperçoit pas.
— Et le dernier maillon, tout en haut, par quoi est-il retenu ?
— ...
N'en doutons pas ! Le dernier maillon est nécessairement retenu par quelque point fixe qui, tenu lui-même par ailleurs, explique la suspension de tous les maillons de la chaîne et du lustre.
Jamais on ne réussira à supprimer l'Être nécessaire, même en multipliant à l'infini les êtres contingents. Croire cette suppression possible équivaudrait à croire que l'on pourrait peindre sans peindre, à condition d'allonger indéfiniment le manche du pinceau, ou que l'on pourrait faire rouler un train sans locomotive à condition d'augmenter indéfiniment le nombre des wagons. Oui, répétons-le et soyons-en bien persuadés, la multiplication des êtres contingents ne peut que retarder la découverte de l'Être nécessaire, mais, en aucune façon, elle ne peut le supprimer.
Par le seul fait que les êtres contingents existent, ils affirment l'existence d'un Être nécessaire, sans lequel ils n'existeraient pas non plus. Eh bien, c'est par une réflexion semblable, souvent faite inconsciemment, que les hommes sont arrivés tout normalement à la connaissance de l'existence de Dieu.
Qui n'a pas entendu, par exemple, le dialogue suivant, aussi simple que probant :
— « D'où viennent les poules ?
— Des œufs.
— Et la première poule ?
— Du premier œuf.
— Non, puisqu'il n'y avait pas de poule pour le pondre !
— Alors ?
— Alors ? Nigaud, la première poule vient de Dieu, l'Être nécessaire. »
Extrait de Oui, c'est évident, Dieu existe vraiment, Père Noël Barbara, Ed. Fort dans la Foi.
Reportez-vous à Autres preuves de l'existence de Dieu : Les traces de son action dans la Création, Connaissance de l'existence de Dieu et Y a-t-il un Dieu qui s'occupe de nous ?.
lundi 12 juillet 2021
Connaissance de l'existence de Dieu
Puisque ce pur Esprit échappe à toute expérience sensible, à moins qu'il ne prenne lui-même l'initiative de se manifester, nous ne pouvons découvrir son existence que par induction. Partant des choses connues, mais qui postulent nécessairement l'existence d'un Créateur, nous affirmons l'existence de ce dernier puisque ses œuvres sont là pour l'attester. « Dieu existe vraiment » sera forcément la conclusion d'un raisonnement rigoureux.
Par contre, puisque personne ne peut donner ce qu'il n'a pas, en constatant l'existence de créatures intelligentes et libres, nous conclurons avec certitude que Dieu doit a fortiori être intelligent et libre, et même qu'il doit l'être souverainement.
Il ressort de ceci qu'un dialogue est possible entre Dieu et les créatures intelligentes et libres que nous sommes. Ce dialogue, s'il s'établit, sera comme une contre-épreuve de la justesse du raisonnement qui nous aura conduits à l'affirmation de l'existence de Dieu.
Dernière remarque avant d'aborder les preuves de l'existence de Dieu :
Pour quelle raison les sans-Dieu font-ils tant d'efforts et déploient-ils tant de zèle pour convaincre les croyants de l'inexistence de Dieu ?
C'est pour se convaincre eux-mêmes de cette absurdité. car enfin, si ces impies étaient vraiment convaincus de la non-existence de Dieu, se livreraient-ils à une telle propagande anti-Dieu ? Ils se contenteraient tout au plus de le dire, voire de hausser les épaules et de rire au spectacle que donnent ces « attardés » en s'obstinant dans une foi chimérique à leurs yeux ; mais jamais ils ne déploieraient de tels efforts s'ils étaient vraiment convaincus que Dieu n'existe pas ! Y a-t-il des groupements organisés pour prouver, par exemple, qu'il n'y a pas de pétrole sur la lune ? Les gens sensés, honnêtes et surtout désintéressés savent que l'on ne prouve pas le néant. Aussi, en constatant l'acharnement que mettent les athées à essayer de prouver que Dieu n'existe pas, on est en droit de penser que tous leurs efforts ne tendent qu'à s'encourager eux-mêmes dans leur incertitude, justement quant à l'inexistence de Dieu.
Sans aucun doute, Dieu les gêne, et ils voudraient se persuader qu'il n'existe pas. Mais comment y arriver quand, tout autour de soi, des gens sensés et, parmi eux, de vrais savants continuent à croire et à proclamer son existence ?
Nous devons le savoir et nous ne devons pas craindre de le dire, les sans-Dieu n'ont aucune certitude de leur négation et ils le savent bien. Or, en manifestant leur foi, les croyants réveillent l'incertitude des sans-Dieu, leur rappellent qu'ils n'ont aucune assurance quant à l'au-delà, et leur donnent ainsi mauvaise conscience. Oui ! Soyons-en bien persuadés, tous les efforts des athées pour prouver que Dieu n'existe pas n'ont pas d'autre raison que l'incertitude qui les torture. Aussi est-il bon de le souligner, ces efforts prouvent, à leur manière, l'évidence de cette existence qu'ils nient sans cesse et, qu'à leur grand regret, ils n'arrivent pas à supprimer ! Nous pouvons l'affirmer sans aucune hésitation : c'est parce que le doute les torture que les sans-Dieu déploient tout leur zèle. Ils veulent se persuader, par leurs déclarations et leurs blasphèmes, que Dieu n'existe pas. Voltaire, lui aussi, a fait l'impossible pour se convaincre du néant de l'au-delà, et l'on connaît la phrase qui résume sa déception après tant d'efforts : « L'univers m'embarrasse, mais je ne puis songer que cette horloge marche et n'ait point d'horloger. »
Mais, penseront certains, que faites-vous de l'athéisme scientifique des marxistes ?
Je me contente de plaindre les colporteurs de cette imbécilité. Ce qualificatif pompeux d'athéisme scientifique n'est qu'un slogan publicitaire doublé d'un mensonge éhonté, qui réussit fort bien auprès des naïfs et des sots.
« Mentez ! Mentez toujours ! disait l'impie Voltaire, il en restera bien quelque chose ! » Les marxistes ne l'ignorent pas et ils s'en servent auprès des simples et des étourdis.
Les personnes sensées savent aussi qu'on ne peut en aucune manière prouver le néant. Il ne peut donc pas exister d'athéisme scientifique.
Mais ce que les personnes qui réfléchissent comprennent aussi, c'est que s'il n'y a pas d'athéisme scientifique, il peut y avoir un procédé d'apparence scientifique qui produise des athées en série. C'est en cela, dans sa manière de faire des athées, que l'athéisme marxiste se donne une apparence scientifique. Car, il me faut le souligner, ce n'est pas par quelque preuve savante que les tenants de ce système auraient développée que cet athéisme serait scientifique, — l'athéisme marxiste est tout aussi stupide, prétentieux et menteur que ses devanciers —, mais c'est par la manière de faire des athées que l'athéisme pervers des marxistes se donne une apparence scientifique. En fait, il est tout simplement diabolique, car il est particulièrement fourbe et menteur (le diable « est menteur et père du mensonge » Jn VIII, 44). Je m'explique.
S'étant rendu compte que l'existence de Dieu s'impose à tout esprit normal qui raisonne sainement, les marxistes ont compris que, pour faire des athées en série, il fallait tout simplement, mais nécessairement, empêcher le bon fonctionnement des intelligences. Comment arriver à cette fin contre nature ? Par l'enseignement obligatoire d'une fausse philosophie.
Laquelle choisir ?
Surtout pas le thomisme, pas la philosophie du sens commun !
L'idéalisme était tout indiqué. Ce système aberrant, que contredisent toutes les sciences expérimentales sans aucune exception, qui nie l'objectivité de nos connaissances intellectuelles, s'y prêtait à merveille. Les marxistes l'adoptèrent. Et comme dans tous nos pays autrefois chrétiens, le ministère de l'Instruction publique est entre les mains des marxistes ou de leurs alliés socialistes, il leur a été facile d'imposer à toutes les générations montantes cette fausse philosophie qui détraque « scientifiquement » les intelligences, les empêche de raisonner sainement et en fait inévitablement des athées.
Pour les intelligences ainsi détraquées, il n'y a plus de raisonnement possible puisqu'il n'y a plus ni vérité objective d'aucune sorte, ni certitude. C'est ce qui explique du reste que, dans nos sociétés modernes où ces élucubrations ont été imposées et ont faussé la plupart des esprits, on ne parle plus de vérité, mais de sincérité ; c'est aussi ce qui permet à chacun d'avoir SA vérité. Voilà tout le secret de l'athéisme marxiste.
Le lecteur l'aura compris. Cet athéisme ne consiste pas en quelque objection scientifique, mise au point par les marxistes et jamais réfutée par les croyants, pas du tout. Comme tous les athéismes, le marxisme consiste uniquement en une négation gratuite. S'il se maintient, c'est seulement par l'enseignement d'une fausse philosophie, que toutes les sciences expérimentales (même celles qui sont enseignées en Russie) contredisent et réprouvent absolument, mais qui est imposée abusivement et malhonnêtement par des gouvernements impies, avec la complicité d'un épiscopat muet qui laisse faire.
Pendant la guerre de 1940, il m'est arrivé de discuter avec un professeur de philosophie idéaliste, qui appartenait au même régiment que moi. Ce malheureux n'était sûr de rien, même pas de sa propre existence. Voilà l'athéisme marxiste, un athéisme antiscientifique, que des menteurs appellent pompeusement athéisme scientifique.
Extrait de Oui, c'est évident, Dieu existe vraiment, Père Noël Barbara, Ed. Fort dans la Foi.
Reportez-vous à Preuves classiques de l'existence de Dieu, et Y a-t-il un Dieu qui s'occupe de nous ?.
mardi 1 mai 2018
Y a-t-il un Dieu qui s'occupe de nous ?

(...)
Voltaire n'était certes pas dévot, et son témoignage n'est pas suspect. Un jour il avait été invité à présider l'un de ces petits soupers philosophiques, si fort à la mode dans le dernier siècle, et d'où sont sortis les livres et les pamphlets les plus infâmes contre tout ce qui est saint et respectable. On y buvait force Champagne, on y accumulait en riant blasphème sur blasphème, obscénités sur obscénités. Le vieux Voltaire, patriarche de toute cette bande, n'était pas ce jour-là de belle humeur. On s'en aperçut, et on voulut le dérider par des pointes et des lardons contre le bon DIEU, cet ennemi personnel de tous les esprits forts. Les sarcasmes se croisaient : celui-ci déplorait l'aveuglement des hommes qui s'obstinent à croire en l'existence d'un DIEU impossible ; celui-là s'irritait contre les chrétiens, ces fanatiques, ces superstitieux, ces misérables, ces ennemis de la raison humaine... On discutait, on riait, on criait ; chacun prouvait à son tour par des raisonnements magnifiques qu'il n'y avait pas, qu'il ne pouvait pas y avoir de DIEU.
Le vieux héros de la fête souriait parfois par politesse, mais il ne prenait point de part à la bataille. La maîtresse du logis, frappée de son attitude, l'interpella directement et lui demanda ce qu'il pensait de cette grosse question.
Voltaire se leva, et montrant du doigt la pendule qui venait de sonner l'heure, il répondit par ces deux vers :
Pour ma part, plus j'y songe et moins je puis penser
Que cette horloge marche et n'ait point d'horloger.
J'ignore si les convives furent convaincus, mais je suis bien sûr qu'à cette repartie, aussi simple que piquante, on ne put rien répondre qui eût le sens commun.
La pendule qui a si bien inspiré Voltaire me rappelle un charmant trait de la vie de Fénelon, cet admirable archevêque de Cambrai, qui avait un esprit aussi brillant et plus solide mille fois que Voltaire et toute sa troupe, et dont le noble cœur était aussi pur que son intelligence était brillante. Il se promenait un soir avec son jeune neveu, confié pour quelque temps à ses soins paternels.
Le ciel étoilé étincelait de mille feux ; l'horizon était encore doré par les derniers reflets du soleil couchant. Tout dans la nature respirait le calme, la grandeur et la majesté. L'enfant demanda à Fénelon quelle heure il était. Celui-ci tira sa montre ; elle indiquait huit heures.
« Ô la belle montre, mon oncle ! dit le jeune enfant. Voulez-vous me permettre de la regarder ? » Le bon archevêque la lui remit, et comme l'enfant l'examinait dans tous les sens :
« Chose bien singulière ! mon cher Louis, dit froidement Fénelon, cette montre s'est faite toute seule.
— Toute seule ! répéta l'enfant en regardant son oncle avec un sourire.
— Oui, toute seule. C'est un voyageur qui l'a trouvée dans je ne sais quel désert, et il est certain qu'elle s'est faite toute seule.
— C'est impossible, dit le jeune Louis ; vous vous moquez de moi.
— Non, mon enfant, je ne me moque pas de vous. Que voyez-vous d'impossible en ce que j'ai dit ?
— Mais, mon oncle, jamais une montre n'a pu se faire toute seule !
— Et pourquoi donc ?
— Parce qu'il faut tant de précision dans l'arrangement de ces mille petites roues qui composent le mouvement et font marcher également les aiguilles, que non seulement il faut de l'intelligence pour organiser tout cela, mais qu'il y a peu d'hommes qui y réussissent, malgré leurs soins. Que cela se fasse tout seul, c'est absolument impossible ; jamais je ne croirai cela. On vous a trompé, mon oncle. »
Fénelon embrassa l'enfant, et lui montrant le beau ciel qui brillait au-dessus de leurs têtes :
« Que dire donc, mon cher Louis, de ceux qui prétendent que toutes ces merveilles se sont faites toutes seules, se conservent toutes seules, et qu'il n'y a pas de DIEU ?
— Est-ce qu'il y a des hommes assez bêtes et assez mauvais pour dire cela ? demanda Louis.
— Oui, cher enfant, il y en a qui le disent, en petit nombre, DIEU merci ! mais y en a-t-il qui le croient ? C'est ce que je ne saurais affirmer, tant il faut avoir fait violence à sa raison, à son cœur, à ses instincts, à son bon sens, pour tenir un pareil langage. S'il est évident qu'une montre ne peut se faire toute seule, combien cela n'est-il pas plus évident pour l'homme lui-même qui fait les montres ! Il y a eu un premier homme, car il y a un commencement à tout, et l'histoire du genre humain atteste universellement ce commencement. II faut bien que quelqu'un ait fait le premier homme.
« C'est cet Être qui a fait tous les êtres, et qui n'a lui-même été fait par personne, que nous appelons DIEU. Il est infini, car rien ne borne son être ; il est éternel, c'est-à-dire infini en durée, sans commencement et sans fin ; tout-puissant, juste, bon, saint, parfait, et infini en toutes ses perfections. Il est partout et indivisible, et nul ne peut sonder ses merveilles. C'est en lui que nous vivons, que nous nous mouvons, que nous existons. Il est notre premier principe et notre fin dernière ; et le bonheur, en ce monde et en l'autre, consiste à le connaître, à le servir et à l'aimer. »
Telle est la belle leçon que l'illustre archevêque de Cambrai donnait à son jeune neveu ; c'est à nous aussi qu'il la donne, cher lecteur : elle nous montre une fois de plus combien ridicules sont les étourdis qui osent dire qu'il n'y a pas de DIEU. Un œuf, une poule, une montre, suffisent pour les arrêter tout court.
(...)
Quand il s'agit de ces impies frivoles qui se glorifient de leur indigence intellectuelle, et affichent leur incrédulité dans un langage de plaisanteries insolentes et ridicules, il faut bien se garder de traiter sérieusement l'athéisme, c'est-à-dire la négation de l'existence de DIEU ; ce serait leur donner une importance qu'ils n'ont point. Écrire de gros livres pour les réfuter, c'est les exposer à se prendre au sérieux et à leur faire croire qu'ils croient ce qu'ils disent. Le mépris et le ridicule, administrés à forte dose, suffisent pour dégonfler ces ballons vides.
Tous les raisonnements les plus savants ne valent pas, à leur égard, la fine réponse qu'une femme d'esprit fit un jour à un des incrédules les plus hardis du dernier siècle. Dans le salon de cette dame, celui-ci avait impudemment nié l'existence de DIEU, sans arriver à gagner personne à son sentiment. On lui avait même témoigné une juste indignation. Dépité, il se leva, et d'un ton aigre et suffisant : « Pardonnez mon erreur, mesdames, dit-il ; je n'imaginais pas que, dans une maison où l'esprit se dispute aux grâces, j'aurais seul l'honneur de ne pas croire en DIEU.
— Vous n'êtes pas seul, monsieur, repartit la dame du logis ; mes chevaux, mon chien, mon chat ont aussi cet honneur ; seulement ces pauvres bêtes ont le bon esprit de ne pas s'en vanter. »
Parmi les impies du dernier siècle, il n'en fut peut-être pas de plus cynique qu'un certain baron d'Holbach, qui faisait hautement profession de ne croire ni en DIEU ni en la Providence. Il exposait un jour ses folles pensées à un abbé fort spirituel. Celui-ci le laissa parler, et lui répondit par cette petite histoire : « Un jour, dit-il, un homme prit devant moi six dés dans un cornet, et paria qu'il allait amener rafle de six. Il l'amena du premier coup. Je dis : Cette chance est possible. Il l'amena une seconde fois ; je dis la même chose. Il remit les dés dans le cornet, trois, quatre, cinq fois ; et toujours rafle de six. Parbleu ! m'écriai-je, les dés sont pipés ; et ils l'étaient.
« Monsieur le baron, ajouta l'abbé, quand je vois un ordre invariable régler toute la nature, et les astres se mouvoir dans le même sens depuis le commencement des siècles ; quand je vois les saisons se succéder, les plantes, les animaux, l'homme même se reproduire d'après les mêmes lois ; quand je réfléchis aux mille bouleversements qui pourraient et devraient détruire cet ordre à chaque instant, je ne puis m'empêcher, malgré tous vos beaux raisonnements, de m'écrier à mon tour : Certes, la nature est pipée. Vous qui, pour rien au monde, n'admettriez qu'un joueur amenât par hasard cent fois de suite la rafle de six, comment pouvez-vous attribuer au hasard cet ordre merveilleux, évident, et infiniment grand et compliqué ? Monsieur le baron, il y a un DIEU et une Providence ; un DIEU qui fait tout, et une Providence qui conserve tout ; et, vous aurez beau dire, le monde est pipé. »
C'est le même raisonnement sans réplique qu'employait un jour l'empereur Napoléon 1er, dans une discussion religieuse qu'il avait entamée avec des savants esprits forts. L'empereur les embarrassait souvent, dans leur incrédulité, par la netteté, la vigueur originale de ses arguments : « Je regarde, disait-il, cet univers si vaste, si complexe, et qui cependant fonctionne avec plus d'ordre que vos meilleures machines, et je me dis que cet ordre ne peut pas être l'effet du hasard. Il doit provenir d'une intelligence supérieure et toute-puissante. Cherchez, aidez-vous de vos amis les mathématiciens et les philosophes ; je vous défie de trouver à ce problème une solution raisonnable en dehors de l'existence de DIEU et de la divine Providence. »
On est quelquefois tenté, en voyant l'impunité des méchants, de douter de la Providence divine, ou au moins de murmurer contre elle. On oublie ce que nous disions tout à l'heure, que DIEU est le bon DIEU ; qu'il est notre Père miséricordieux et aimant ; plus que cela encore, qu'il est l'amour infini, et que son cœur divin nous est toujours ouvert. À cause de cela, DIEU est patient ; il accorde souvent de longues années aux pécheurs pour leur faciliter le repentir. Il pourrait frapper de suite ; mais il aime, et il ne veut point la mort, mais la conversion et la vie de l'ingrat qui l'offense. Combien d'impies ont dû à cette miséricordieuse patience du bon DIEU leur retour à la Religion, et leur salut éternel !
J'ai connu une vieille femme qui, après avoir mené une vie détestable depuis sa première jeunesse jusqu'à l'âge le plus avancé, eut le bonheur d'être ramenée au Seigneur par une grande affliction, à l'âge de quatre-vingt-neuf ans. Elle vécut une année dans le repentir et dans la ferveur, communiant chaque dimanche, s'épuisant pour ainsi dire en reconnaissance, et ranimant ses forces éteintes pour regagner le temps perdu. Je sais un autre vieillard qui dut aussi son salut aux longues années que DIEU lui accorda, malgré l'abus qu'il en faisait ; après soixante-dix-neuf années d'interruption, il remplit saintement ses devoirs de chrétien. Des faits de cette nature se présentent chaque jour. Malheur à l'homme qui ne veut pas de l'amour et de la patience de DIEU ! il ne connaîtra que sa justice.
DIEU est si bon, qu'il daigne souvent garder le silence vis-à-vis de certains malheureux qui sont assez insensés pour braver directement sa colère. Le célèbre académicien La Harpe, autrefois ami de Voltaire, et qui depuis était devenu chrétien, raconte un trait de cette audace sacrilège :
« Un misérable, dit-il, osa, pendant les plus mauvais jours de la Révolution, monter dans la chaire de l'église Saint-Roch, à Paris ; et, prenant DIEU à partie à la face de ses autels, nia son existence en vomissant contre lui mille imprécations furieuses, le défia de se venger, et conclut, puisque ce DIEU ne le foudroyait pas, qu'il était évident qu'il n'y avait pas de DIEU. »
La Harpe ajoute ces réflexions sensées :
« Ce malheureux s'imaginait que DIEU était engagé d'honneur à répondre à son appel. On eût dit que DIEU ne pouvait le frapper que dans la chaire de Saint-Roch, et que s'il perdait une si belle occasion, il ne la retrouverait plus. Vous qui vous étonnez peut-être que DIEU ne frappe pas immédiatement ceux qui l'outragent, méditez cette profonde et sublime parole de saint Augustin : DIEU est patient, parce qu'il est éternel. Il est bon que Celui dont la main frappe sans remède et frappe pour l'éternité, ne soit pas pressé de frapper. » La Harpe avait de bonnes raisons pour parler ainsi. Si DIEU l'avait frappé lui-même dans sa jeunesse, lorsqu'il blasphémait ouvertement Celui qu'il adora plus tard, il n'aurait pas eu le temps du repentir, et n'aurait pu réparer ses égarements.
Parfois cependant la Providence divine se manifeste d'une manière redoutable à l'occasion de ces blasphèmes.
Le bon DIEU donne de temps en temps au monde comme des échantillons de sa justice. En 1849, deux démagogues de la pire espèce sortaient de Toulouse, où ils venaient de traiter à leur manière, dans un club, les affaires du pays. Aussi avancés en religion qu'en politique, les deux drôles charmaient les loisirs du chemin en blasphémant contre DIEU. Il pleuvait à verse et le tonnerre grondait...
« Je me moque pas mal de toi, crie l'un d'eux en levant les yeux au ciel. Je n'ai peur ni de toi ni de ton tonnerre ; venge-toi, si tu le peux. » Au moment où il achevait ces mots, la foudre éclate, le renverse et l'étend sur la route, privé de sentiment. Son compagnon épouvanté se jette à genoux, et demande miséricorde. La terreur dans l'âme, il prend sur ses épaules le blasphémateur puni et le dépose dans la première maison qu'il rencontre. Celui-ci reprit ses sens deux ou trois heures après, et, plein de repentir, remercia de ce terrible avertissement le DIEU juste et bon qui l'avait frappé, mais pour le guérir.
L'année suivante, au printemps de 1850, un trait de Providence plus redoutable encore remplit d'une terreur salutaire une petite ville du département de l'Eure. Un dimanche, pendant la grand'messe, une bande d'ivrognes étaient attablés chez un cabaretier voisin de l'église. Les cloches sonnèrent, comme d'usage, au moment de l'élévation. Leur son excita la fureur d'un de ces hommes, qui se mit à vomir un torrent d'injures contre DIEU, contre le Saint-Sacrement, contre la Sainte-Vierge, contre les prêtres, etc. Le cabaretier et sa femme voulaient en vain arrêter ces imprécations. « Bah ! bah ! s'écria-t-il, votre DIEU, c'est une farce ! je ne le crains pas. Qu'il m'empêche donc, s'il le peut, d'avaler ce verre de vin. » — Et au moment où il portait le verre à ses lèvres, il chancelle et tombe raide mort sur le carreau. Cette fois-là DIEU avait accepté le défi.
Il accepta aussi, quoique avec un long délai, le défi que lui avait porté le détestable Voltaire. Vingt ans avant sa mort, jour pour jour, l'incrédule avait écrit ces paroles à l'un de ses complices : Dans vingt ans L'INFÂME aura beau jeu ! On sait que par l'infâme il entendait Notre-Seigneur. Quelle épouvantable prophétie !
Si la justice de DIEU se manifeste ainsi de temps en temps pour confirmer notre foi, sa bonté paternelle, sa douce Providence éclate bien plus souvent encore. Tous ceux qui s'occupent de bonnes œuvres en font journellement l'expérience.
Chacun sait combien les hommes sont disposés à adopter comme vraies toutes les doctrines qui les flattent. (Mgr de Ségur, Grosses vérités)
Lire "Oui, c'est évident, Dieu existe vraiment" du R.P. Noël Barbara.
Reportez-vous à Connaissance de l'existence de Dieu, Preuves classiques de l'existence de Dieu, Autres preuves de l'existence de Dieu : Les traces de son action dans la Création, Méditation sur la Providence, Jésus crucifié est le Livre des Élus, Méditation sur la présence de Dieu, La terre se couvrit de ronces et d'épines, Seconde création du Saint-Esprit : Notre Seigneur Jésus-Christ, Les efforts incessants de Satan pour se reformer une Cité, Le retour du règne de Satan par la négation du dogme de l'Incarnation, Satan veut déformer l'homme, afin d'effacer en lui l'image de Dieu, Histoire religieuse des deux cités, Le Saint-Esprit dans le Nouveau Testament, première création : La Sainte Vierge Marie, La communication de Satan avec l'homme, Les princes de la Cité du Mal, Le Roi de la Cité du Mal, La religion a été et sera toujours l'âme de la société, La puissance des démons réglée par la sagesse divine, Culte de la pierre, de l'arbre, de la source : traditions et origines magiques de ces dieux, Mission du Saint-Esprit, Le Saint-Esprit dans l'Ancien Testament, promis et figuré, Par quelles armes battre le Tentateur ?, Et le Dragon persécuta la femme qui enfanta le fils, Quand les dieux du paganisme avouent qu'ils ne sont que des démons, Traité de l'Enfer de Sainte Françoise Romaine, Découvertes sur le Tilma de la Vierge de Guadalupe, L'existence du surnaturel et du surhumain, Les pièges du Diable, Inimitiés entre les enfants de Marie et les esclaves du Diable, En union de prière face aux forces démoniaques et aux actes de sorcellerie, Les Anges, princes et gouverneurs de la grande Cité du bien, Résultats du spiritisme : la folie et le suicide - Dernier obstacle à l'envahissement satanique : la papauté, et Message de Notre-Dame de la Salette.
