6°. UN AMI INDULGENT ET FACILE. Venez, ô vous tous qui oubliez Dieu, qui violez sa loi, qui insultez à la vertu ; venez et voyez en moi le prodige de la clémence divine ; venez admirer, avec moi, cette miséricorde qui se plaît à éclater dans l'abîme de mes misères. Ô voies de Dieu dans le cœur de l'homme, que vous êtes admirables !... Oh ! il n'en est pas de Dieu comme des hommes ! Les hommes, ceux même qui se font gloire de paraître nos protecteurs, font acheter le pardon qu'on leur demande par des délais éternels, par des rebuts pénibles à l'amour propre, qui anéantissent presque tout le fruit d'une grâce, plutôt arrachée par l'importunité, qu'elle n'est accordée. Mais Dieu en agit bien autrement : avec quelle facilité il oublie nos fautes ! avec quelle indulgence il pardonne ! Quel autre que lui pardonne à l'instant ? Point de ces longs délais d'une année, ni d'un mois, ni d'un jour, ni d'une heure : si je veux être l'ami de mon Dieu, je le suis à l'instant : Si volo fieri amicus Dei, ecce nunc fio. Que le coupable repentant de ses fautes, se présente lui-même pour solliciter le pardon, à l'instant l'abîme se ferme et les cieux s'ouvrent... Quel autre que lui pardonne tout ? Point de bornes à sa clémence, ni pour le temps, ni pour le lieu, ni pour les personnes, ni pour les crimes : tout est effacé... Quel autre que lui pardonne sans retour ? Le péché est remis absolument et pour toujours ; il est anéanti, jamais rien ne le fera revivre... Quel autre que lui pardonne avec autant de grâce et de bonté ? Nulle froideur, nul ressentiment, nulle réserve de sa part ; je vois en lui tous les charmes de l'amitié la plus douce, tous les transports de l'affection la plus vive, et tous les excès de l'amour le plus tendre... Enfin quel autre que lui pardonne, après tant de parjures, après tant de promesses et de rechutes ? Ô miséricorde incompréhensible de mon Dieu, voici votre triomphe et votre gloire !... Et où trouvera-t-on jamais ici-bas un tribunal aussi facile ? Où trouvera-t-on, parmi les hommes, un ami aussi indulgent, après tant de trahisons et de perfidies ? Il n'appartient qu'au cœur d'un Dieu de faire éprouver au coupable les effets merveilleux de son excessive charité.
Ô mon Dieu, je suis ce coupable à qui vous avez pardonné tant de péchés, pour faire de lui le trophée de vos miséricordes, le monument de votre clémence, et le chef-d'œuvre de votre patience ; je vous rends grâce d'avoir manifesté une si étonnante bonté envers moi. Vous vous deviez à vous-même un si grand exemple pour consoler tous les pécheurs. Hélas ! quels châtiments n'ai-je pas mérités de votre justice ? Je vous ai oublié, ô vous qui m'avez fait, et à qui je dois tout ce que je suis : à l'ingratitude j'ai joint l'endurcissement ; j'ai méprisé vos grâces ; j'ai été insensible à vos promesses ; j'ai abusé de vos miséricordes ; j'ai contristé votre Esprit saint ; j'ai résisté à ses mouvements salutaires ; j'ai dit, dans mon cœur rebelle : « Non, je ne porterai point le joug du Seigneur ; non serviam » (Jerem. 2, 20) ; j'ai fui, quand vous me pour suiviez ; j'ai cherché des prétextes pour m'éloigner de vous ; j'ai craint de voir la vérité que je ne voulais pas suivre ; j'ai critiqué la vertu, la supportant impatiemment, parce qu'elle était ma condamnation ; j'ai eu honte de la pratiquer, et j'ai fait gloire d'être ingrat ; j'ai marché dans mes propres voies au gré de mes passions et de mon orgueil... Ô mon Dieu, que me resterait-il, à la vue de tant d'infidélités, sinon d'être saisi d'horreur pour moi-même ? Non, je ne pourrais me souffrir, si je ne savais que d'un incrédule, d'un impie, d'un blasphémateur même, vous pouvez faire un vase d'élection. Ô Père des miséricordes, que vous êtes bon ! La malice de l'homme ne peut égaler votre bonté paternelle. Il est donc vrai que vous avez encore des trésors de grâces et de patience pour moi, pauvre pécheur, qui ai tant de fois foulé aux pieds le sang de votre Fils. Vous ne vous êtes pas encore lassé de m'attendre, ô Dieu patient ! ô Dieu, qui craignez de punir trop tôt ! ô Dieu, qui ne pouvez vous résoudre à frapper ce vase d'argile, formé de vos mains ! Vous ne vous êtes pas non plus encore lassé de me pardonner, ô Dieu bon et facile, qui craignez qu'on ne vous ôte l'occasion de faire grâce ! Cette patience, qui flattait ma liberté, m'attendrit et me pénètre d'amour. Hélas ! serai-je donc toujours méchant, parce que vous êtes bon ? Est-ce parce que vous m'aimez tant, que je me croirais dispensé de vous aimer ? Non, non, Seigneur, la vue de votre patience m'anime, je ne puis plus me voir un seul moment contraire à celui qui me rend le bien pour le mal ; je déteste jusqu'aux moindres résistances ; je ne veux aucune réserve ; périsse tout ce qui retarde mon sacrifice. Ce n'est plus ce demain d'une âme lâche, qui fuit toujours sa conversion : aujourd'hui, aujourd'hui ; ce qui me reste de vie n'est pas trop long, pour pleurer tant d'années perdues ; Seigneur, que voulez-vous que je fasse ? Ô mon Dieu ! je ne veux plus vous résister ; je n'hésiterai plus ; je craindrai toujours plus de ne pas faire assez, que de faire trop. Cette œuvre est au-dessus de l'homme ; mais je puis tout en celui qui me fortifie ; et c'est parce que je suis indigne de tout, que vous prendrez plaisir à faire en moi les plus grandes choses.
CONCLUSION
Malheureux que je suis ! Ai-je donc perdu le sentiment et la raison, en perdant la grâce ! Rien ne me fait impression, ni crainte, ni amour. N'est-ce point que j'ai mis le comble à mes infidélités, et que le Seigneur m'abandonne ? Un ver de terre a osé s'élever contre le Créateur de l'univers, et il ne saurait se repentir de sa révolte !... J'ai méprisé, j'ai outragé mille fois celui qui a donné sa vie pour moi, et je n'ai point d'horreur d'une ingratitude si énorme !... Je suis suspendu, comme par un fil, au-dessus de l'abîme, je puis y tomber à l'instant, et je ne frémis pas !... Ah ! je ne faisais pas ces réflexions dans le temps que j'offensais mon Dieu. Ô insensé que j'étais !... Mais à cette heure, c'est de sang-froid que j'envisage ces vérités, et elles ne font nulle impression sur moi ! Ô inconcevable sécurité ! suis-je donc perdu sans ressource ?... Ô mon Dieu, ne suis-je plus votre créature ? ne vous appartiens-je pas toujours par le caractère sacré du baptême ? Vous avez dit : Je ne veux pas la mort de l'impie, mais qu'il se convertisse et qu'il vive (Ezech. 33, 11) ; faites plier vous-même mon esprit indomptable, montrez que vous êtes mon Dieu, et je tomberai au pied de vos autels. Ah ! loin que mes excès passés et mon insensibilité présente arrêtent votre main qui veut me guérir, quoi de plus digne de votre pitié qu'un misérable qui n'a pas pitié de lui-même ? Ô Dieu ! ne me refusez pas du moins la dernière de vos grâces, la dernière vertu des coupables, la grâce des remords...
Hé quoi ! ne serai-je point ébranlé ? échapperai-je aux derniers efforts de la divine bonté ? Ah ! puisque j'entends aujourd'hui sa voix (peut-être est-ce pour la dernière fois) je n'endurcirai plus mon cœur...
Ô mon âme, ne laisse pas échapper cette émotion salutaire, mets à profit ce moment de grâce, qui t'est donné encore, et qui ne te promet pas de revenir. Pourquoi différer encore ? Que gagnes-tu par tes délais ? ah ! dis plutôt en ce moment : Quoi ! ce jour, ce jour même peut être le dernier de mes jours ! Quoi ! cette nuit, qui bientôt va commencer à m'envelopper de ses ombres, cette nuit même peut devenir pour moi une nuit éternelle ! À cette heure même où j'irai me reposer dans les bras du sommeil, peut-être mon âme se réveillera tout à coup dans les mains du Dieu vivant !!! Mon Dieu ! mon âme frémit : elle succombe sous le poids de cette pensée ! Je me tourne vers vous, je prends la ferme résolution de commencer sur-le-champ la réforme de mon cœur : Nunc coepi, oui, mon Dieu, voilà que je veux commencer : je veux dire dès maintenant : J'ai péché ; peccavi. Je le dis ; et dès ce moment, je romps tous mes liens, je commence une vie nouvelle. Je vais me jeter aux pieds de votre ministre, lui faire l'aveu douloureux de mes crimes ; alors je vivrai de votre vie, selon vos promesses, et je ne me glorifierai plus désormais que dans vos éternelles miséricordes. Misericordias Domini in oeternum cantabo (Ps. 88, 1).
(Extrait de Manuel du Pénitent ou conduite pour la Contrition)
Reportez-vous à Première Disposition pour recevoir la grâce de la Justification : Acte de Foi, Troisième Motif de Contrition : La Bonté de Dieu (1/6), Troisième Motif de Contrition : La Bonté de Dieu (2/6), Troisième Motif de Contrition : La Bonté de Dieu (3/6), Troisième Motif de Contrition : La Bonté de Dieu (4/6), Troisième Motif de Contrition : La Bonté de Dieu (5/6), Conduite pour la Contrition, Premier Motif de Contrition : La Majesté de Dieu, Deuxième Motif de Contrition : La Justice de Dieu, Instruction sur la Contrition, Prière pour obtenir de Dieu miséricorde, Instruction sur la Grâce, De l'examen de conscience, par le R.-P. Jean-Joseph Surin, Cinq points dans l'examen général de la conscience, Trois temps pour l'examen particulier, Prière à Saint Louis de Gonzague pour demander la contrition, Bien choisir le sujet sur lequel on doit faire l’examen particulier, Combien l'examen de notre conscience est important, Méditation pour la Fête de Sainte Marie-Madeleine, Prière pour obtenir la persévérance dans le jeûne et la pénitence, Méditation sur la promptitude et la vivacité de la vraie pénitence, Méditation sur le souvenir des jours que l'on a passé dans l'oubli de Dieu et de ses devoirs, Méditation sur la miséricorde de Dieu, Méditation sur la pénitence du cœur, Psaumes de la Pénitence, Méditation sur la mort dans le péché, Méditation sur la confiance qu'un Chrétien doit avoir en la miséricorde de Dieu, Hymne du Carême, Méditation sur la réparation du péché, Méditation sur l'expiation du péché, Méditation sur la miséricorde de Dieu, Exercice pour la confession, Litanies de Sainte Marie-Madeleine, Méditation sur la promptitude et la vivacité de la vraie pénitence, Méditation sur la vraie pénitence, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur la confession, Réponse à quelques doutes touchant la Pénitence, par le R.-P. Jean-Joseph Surin, Qu'il est très-utile d'ajouter quelques pénitences à l'examen particulier, Les peines du Purgatoire conformes aux fautes commises La conversion renvoyée au soir de la vie conduit l'âme à la cruelle faim du Purgatoire, Troisième méditation de préparation à la mort : Que me présenteront le passé, le présent et l'avenir ?, Instruction sur la Prière, Explication du premier commandement de Dieu, Explication du deuxième commandement de Dieu, Explication du quatrième commandement de Dieu, et Explication du cinquième commandement de Dieu.
Ô mon Dieu, je suis ce coupable à qui vous avez pardonné tant de péchés, pour faire de lui le trophée de vos miséricordes, le monument de votre clémence, et le chef-d'œuvre de votre patience ; je vous rends grâce d'avoir manifesté une si étonnante bonté envers moi. Vous vous deviez à vous-même un si grand exemple pour consoler tous les pécheurs. Hélas ! quels châtiments n'ai-je pas mérités de votre justice ? Je vous ai oublié, ô vous qui m'avez fait, et à qui je dois tout ce que je suis : à l'ingratitude j'ai joint l'endurcissement ; j'ai méprisé vos grâces ; j'ai été insensible à vos promesses ; j'ai abusé de vos miséricordes ; j'ai contristé votre Esprit saint ; j'ai résisté à ses mouvements salutaires ; j'ai dit, dans mon cœur rebelle : « Non, je ne porterai point le joug du Seigneur ; non serviam » (Jerem. 2, 20) ; j'ai fui, quand vous me pour suiviez ; j'ai cherché des prétextes pour m'éloigner de vous ; j'ai craint de voir la vérité que je ne voulais pas suivre ; j'ai critiqué la vertu, la supportant impatiemment, parce qu'elle était ma condamnation ; j'ai eu honte de la pratiquer, et j'ai fait gloire d'être ingrat ; j'ai marché dans mes propres voies au gré de mes passions et de mon orgueil... Ô mon Dieu, que me resterait-il, à la vue de tant d'infidélités, sinon d'être saisi d'horreur pour moi-même ? Non, je ne pourrais me souffrir, si je ne savais que d'un incrédule, d'un impie, d'un blasphémateur même, vous pouvez faire un vase d'élection. Ô Père des miséricordes, que vous êtes bon ! La malice de l'homme ne peut égaler votre bonté paternelle. Il est donc vrai que vous avez encore des trésors de grâces et de patience pour moi, pauvre pécheur, qui ai tant de fois foulé aux pieds le sang de votre Fils. Vous ne vous êtes pas encore lassé de m'attendre, ô Dieu patient ! ô Dieu, qui craignez de punir trop tôt ! ô Dieu, qui ne pouvez vous résoudre à frapper ce vase d'argile, formé de vos mains ! Vous ne vous êtes pas non plus encore lassé de me pardonner, ô Dieu bon et facile, qui craignez qu'on ne vous ôte l'occasion de faire grâce ! Cette patience, qui flattait ma liberté, m'attendrit et me pénètre d'amour. Hélas ! serai-je donc toujours méchant, parce que vous êtes bon ? Est-ce parce que vous m'aimez tant, que je me croirais dispensé de vous aimer ? Non, non, Seigneur, la vue de votre patience m'anime, je ne puis plus me voir un seul moment contraire à celui qui me rend le bien pour le mal ; je déteste jusqu'aux moindres résistances ; je ne veux aucune réserve ; périsse tout ce qui retarde mon sacrifice. Ce n'est plus ce demain d'une âme lâche, qui fuit toujours sa conversion : aujourd'hui, aujourd'hui ; ce qui me reste de vie n'est pas trop long, pour pleurer tant d'années perdues ; Seigneur, que voulez-vous que je fasse ? Ô mon Dieu ! je ne veux plus vous résister ; je n'hésiterai plus ; je craindrai toujours plus de ne pas faire assez, que de faire trop. Cette œuvre est au-dessus de l'homme ; mais je puis tout en celui qui me fortifie ; et c'est parce que je suis indigne de tout, que vous prendrez plaisir à faire en moi les plus grandes choses.
CONCLUSION
Malheureux que je suis ! Ai-je donc perdu le sentiment et la raison, en perdant la grâce ! Rien ne me fait impression, ni crainte, ni amour. N'est-ce point que j'ai mis le comble à mes infidélités, et que le Seigneur m'abandonne ? Un ver de terre a osé s'élever contre le Créateur de l'univers, et il ne saurait se repentir de sa révolte !... J'ai méprisé, j'ai outragé mille fois celui qui a donné sa vie pour moi, et je n'ai point d'horreur d'une ingratitude si énorme !... Je suis suspendu, comme par un fil, au-dessus de l'abîme, je puis y tomber à l'instant, et je ne frémis pas !... Ah ! je ne faisais pas ces réflexions dans le temps que j'offensais mon Dieu. Ô insensé que j'étais !... Mais à cette heure, c'est de sang-froid que j'envisage ces vérités, et elles ne font nulle impression sur moi ! Ô inconcevable sécurité ! suis-je donc perdu sans ressource ?... Ô mon Dieu, ne suis-je plus votre créature ? ne vous appartiens-je pas toujours par le caractère sacré du baptême ? Vous avez dit : Je ne veux pas la mort de l'impie, mais qu'il se convertisse et qu'il vive (Ezech. 33, 11) ; faites plier vous-même mon esprit indomptable, montrez que vous êtes mon Dieu, et je tomberai au pied de vos autels. Ah ! loin que mes excès passés et mon insensibilité présente arrêtent votre main qui veut me guérir, quoi de plus digne de votre pitié qu'un misérable qui n'a pas pitié de lui-même ? Ô Dieu ! ne me refusez pas du moins la dernière de vos grâces, la dernière vertu des coupables, la grâce des remords...
Hé quoi ! ne serai-je point ébranlé ? échapperai-je aux derniers efforts de la divine bonté ? Ah ! puisque j'entends aujourd'hui sa voix (peut-être est-ce pour la dernière fois) je n'endurcirai plus mon cœur...
Ô mon âme, ne laisse pas échapper cette émotion salutaire, mets à profit ce moment de grâce, qui t'est donné encore, et qui ne te promet pas de revenir. Pourquoi différer encore ? Que gagnes-tu par tes délais ? ah ! dis plutôt en ce moment : Quoi ! ce jour, ce jour même peut être le dernier de mes jours ! Quoi ! cette nuit, qui bientôt va commencer à m'envelopper de ses ombres, cette nuit même peut devenir pour moi une nuit éternelle ! À cette heure même où j'irai me reposer dans les bras du sommeil, peut-être mon âme se réveillera tout à coup dans les mains du Dieu vivant !!! Mon Dieu ! mon âme frémit : elle succombe sous le poids de cette pensée ! Je me tourne vers vous, je prends la ferme résolution de commencer sur-le-champ la réforme de mon cœur : Nunc coepi, oui, mon Dieu, voilà que je veux commencer : je veux dire dès maintenant : J'ai péché ; peccavi. Je le dis ; et dès ce moment, je romps tous mes liens, je commence une vie nouvelle. Je vais me jeter aux pieds de votre ministre, lui faire l'aveu douloureux de mes crimes ; alors je vivrai de votre vie, selon vos promesses, et je ne me glorifierai plus désormais que dans vos éternelles miséricordes. Misericordias Domini in oeternum cantabo (Ps. 88, 1).
(Extrait de Manuel du Pénitent ou conduite pour la Contrition)
Reportez-vous à Première Disposition pour recevoir la grâce de la Justification : Acte de Foi, Troisième Motif de Contrition : La Bonté de Dieu (1/6), Troisième Motif de Contrition : La Bonté de Dieu (2/6), Troisième Motif de Contrition : La Bonté de Dieu (3/6), Troisième Motif de Contrition : La Bonté de Dieu (4/6), Troisième Motif de Contrition : La Bonté de Dieu (5/6), Conduite pour la Contrition, Premier Motif de Contrition : La Majesté de Dieu, Deuxième Motif de Contrition : La Justice de Dieu, Instruction sur la Contrition, Prière pour obtenir de Dieu miséricorde, Instruction sur la Grâce, De l'examen de conscience, par le R.-P. Jean-Joseph Surin, Cinq points dans l'examen général de la conscience, Trois temps pour l'examen particulier, Prière à Saint Louis de Gonzague pour demander la contrition, Bien choisir le sujet sur lequel on doit faire l’examen particulier, Combien l'examen de notre conscience est important, Méditation pour la Fête de Sainte Marie-Madeleine, Prière pour obtenir la persévérance dans le jeûne et la pénitence, Méditation sur la promptitude et la vivacité de la vraie pénitence, Méditation sur le souvenir des jours que l'on a passé dans l'oubli de Dieu et de ses devoirs, Méditation sur la miséricorde de Dieu, Méditation sur la pénitence du cœur, Psaumes de la Pénitence, Méditation sur la mort dans le péché, Méditation sur la confiance qu'un Chrétien doit avoir en la miséricorde de Dieu, Hymne du Carême, Méditation sur la réparation du péché, Méditation sur l'expiation du péché, Méditation sur la miséricorde de Dieu, Exercice pour la confession, Litanies de Sainte Marie-Madeleine, Méditation sur la promptitude et la vivacité de la vraie pénitence, Méditation sur la vraie pénitence, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur la confession, Réponse à quelques doutes touchant la Pénitence, par le R.-P. Jean-Joseph Surin, Qu'il est très-utile d'ajouter quelques pénitences à l'examen particulier, Les peines du Purgatoire conformes aux fautes commises La conversion renvoyée au soir de la vie conduit l'âme à la cruelle faim du Purgatoire, Troisième méditation de préparation à la mort : Que me présenteront le passé, le présent et l'avenir ?, Instruction sur la Prière, Explication du premier commandement de Dieu, Explication du deuxième commandement de Dieu, Explication du quatrième commandement de Dieu, et Explication du cinquième commandement de Dieu.