Extrait de "Esprit du Curé d'Ars, M. Vianney dans ses catéchismes, ses homélies et sa conversation" (1864) :
Oh ! que c'est beau, mes enfants ! Le Père est notre Créateur, le Fils est notre Rédempteur, et le Saint-Esprit notre Conducteur...
L'homme n'est rien par lui-même, mais il est beaucoup avec l'Esprit-Saint. L'homme est tout terrestre et tout animal ; il n'y a que l'Esprit-Saint qui puisse élever son âme et le porter en haut. Pourquoi les saints étaient-ils si détachés de la terre ? Parce qu'ils se laissaient conduire par le Saint-Esprit. Ceux qui sont conduits par le Saint-Esprit ont des idées justes. Voilà pourquoi il y a tant d'ignorants qui en savent plus long que les savants. Quand on est conduit par un Dieu de force et de lumière, on ne peut pas se tromper.
L'Esprit-Saint est une lumière et une force. C'est lui qui nous fait distinguer le vrai du faux et le bien du mal. Comme ces lunettes qui grossissent les objets, le Saint-Esprit nous fait voir le bien et le mal en grand. Avec le Saint-Esprit, on voit tout en grand : on voit la grandeur des moindres actions faites pour Dieu, et la grandeur des moindres fautes. Comme un horloger avec ses lunettes distingue les plus petits rouages d'une montre, avec les lumières du Saint-Esprit, nous distinguons tous les détails de notre pauvre vie. Alors les moindres imperfections paraissent très-grosses ; les moindres péchés font horreur. C'est pourquoi la très-sainte Vierge n'a jamais péché. L'Esprit-Saint lui faisait comprendre la laideur du mal. Elle frémissait d'épouvante à la moindre faute.
Ceux qui ont l'Esprit-Saint ne peuvent pas se sentir, tellement ils connaissent leur pauvre misère. Les orgueilleux sont ceux qui n'ont point l'Esprit-Saint.
Les gens du monde n'ont pas l'Esprit-Saint, ou, s'ils l'ont, ils ne l'ont qu'en passant ; il ne s'arrête pas chez eux ; le bruit du monde le fait partir. Un chrétien qui est conduit par l'Esprit-Saint n'a pas de peine à laisser les biens de ce monde pour courir après les biens du ciel. Il sait faire la différence. L'œil du monde ne voit pas plus loin que la vie, comme le mien ne voit pas plus loin que ce mur, quand la porte de l'église est fermée. L'œil du chrétien voit jusqu'au font de l'éternité. Pour l'homme qui se laisse conduire par l'Esprit-Saint, il semble qu'il n'y a point de monde ; pour le monde, il semble qu'il n'y a point de Dieu... Il s'agit donc de savoir qui nous conduit. Si ce n'est pas le Saint-Esprit, nous avons beau faire, il n'y a point de substance ni de saveur dans tout ce que nous faisons. Si c'est le Saint-Esprit, il y a une douceur moelleuse... c'est à mourir de plaisir !
Ceux qui se laissent conduire par le Saint-Esprit éprouvent toute sorte de bonheur au-dedans d'eux-mêmes tandis que les mauvais chrétiens se roulent sur les épines et les cailloux.
Une âme qui a le Saint-Esprit ne s'ennuie jamais en la présence de Dieu : il sort de son cœur une transpiration d'amour.
Sans le Saint-Esprit nous sommes comme une pierre du chemin... Prenez dans une main une éponge imbibée d'au, et dans l'autre un petit caillou ; pressez-les également. Il ne sortira rien du caillou, et de l'éponge vous ferez sortir de l'eau en abondance. L'éponge, c'est l'âme remplie du Saint-Esprit, et le caillou, c'est le cœur froid et dur où le Saint-Esprit n'habite pas.
Une âme qui possède le Saint-Esprit goûte une saveur dans la prière qui fait qu'elle trouve le temps toujours trop court : elle ne perd jamais la sainte présence de Dieu. Son cœur, devant notre bon Sauveur, au saint sacrement de l'autel, est un raisin sous le pressoir.
C'est le Saint-Esprit qui forme les pensées dans le cœur des justes et qui engendre les paroles... Ceux qui ont le Saint-Esprit ne produisent rien de mauvais : tous les fruits du Saint-Esprit sont bons.
Sans le Saint-Esprit tout est froid : aussi lorsqu'on sent que la ferveur se perd, il faut vite faire une neuvaine au Saint-Esprit pour demander la foi et l'amour... Voyez, lorsqu'on a fait une retraite ou un jubilé, on est plein de bons désirs : ces bons désirs sont le souffle de l'Esprit-Saint qui a passé sur notre âme et qui a tout renouvelé, comme ce vent chaud qui fond la glace et qui ramène le printemps... Vous qui n'êtes pas cependant de grands saints, vous avez bien des moments où vous goûtez les douceurs de la prière et de la présence de Dieu : ce sont des visites du Saint-Esprit. Quand on a le Saint-Esprit, le cœur se dilate, se baigne dans l'amour divin. Le poisson ne se plaint jamais d'avoir trop d'eau : de même le bon chrétien ne se plaint jamais d'être trop longtemps avec le bon Dieu. Il y en a qui trouvent la religion ennuyeuse, c'est qu'ils n'ont pas le Saint-Esprit.
Si l'on disait aux damnés : Pourquoi êtes-vous en enfer ? ils répondraient : Pour avoir résisté au Saint-Esprit. Et si l'on disait aux saints : Pourquoi êtes-vous au ciel ? ils répondraient : Pour avoir écouté le Saint-Esprit... Quand il nous vient de bonnes pensées, c'est le Saint-Esprit qui nous visite.
Le Saint-Esprit est une force. C'est le Saint-Esprit qui soutenait saint Siméon sur sa colonne ; c'est lui qui soutenait les martyrs. Sans le Saint-Esprit, les martyrs seraient tombés comme la feuille des arbres. Quand on allumait contre eux les bûchers, le Saint-Esprit éteignait la chaleur du feu par la chaleur de l'amour divin.
Le bon Dieu, en nous envoyant le Saint-Esprit, a fait à notre égard comme un grand roi qui chargerait son ministre de conduire un des ses sujets, disant : « Vous accompagnerez cet homme partout, et vous me le ramènerez sain et sauf. » Que c'est beau, mes enfants, d'être accompagné par le Saint-Esprit ! C'est un bon guide que celui-là... Et dire qu'il y en a qui ne veulent pas le suivre !...
Le Saint-Esprit est comme un homme qui aurait une voiture avec un bon cheval, et qui voudrait nous mener à Paris. Nous n'aurions qu'à dire oui, et à monter dedans... C'est bien une belle affaire que de dire oui !... Eh bien ! le Saint-Esprit veut nous mener au ciel ; nous n'avons qu'à dire oui, et à nous laisser conduire.
Le Saint-Esprit est comme un jardinier qui travaille notre âme... Le Saint-Esprit est notre domestique...
Voilà un fusil : bon ! Vous le chargez... mais il faut quelqu'un pour y mettre le feu et pour le faire partir... De même, il y a en nous de quoi faire le bien... C'est le Saint-Esprit qui met le feu, et les bonnes œuvres partent.
Le Saint-Esprit repose dans les âmes justes comme la colombe dans son nid. Il couve les bons désirs dans une âme pure, comme la colombe couve ses petits.
L'Esprit-Saint nous conduit comme une mère conduit son enfant de deux ans par la main... comme une personne qui y voit conduit un aveugle.
Les sacrements que Notre-Seigneur a institués ne nous auraient pas sauvés sans le Saint-Esprit. La mort même de Notre-Seigneur nous aurait été inutile sans lui. C'est pourquoi Notre-Seigneur a dit à ses apôtres : « Il vous est utile que je m'en aille, car si je ne m'en allais pas, le Consolateur ne viendrait pas... » Il fallait que la descente du Saint-Esprit vint faire fructifier cette moisson de grâces. C'est comme pour un grain de blé ; vous le jetez en terre : bon ! mais il faut le soleil et la pluie pour le faire lever et monter en épi.
Il faudrait dire chaque matin : « Mon Dieu, envoyez-moi votre Esprit qui me fasse connaître ce que je suis et ce que vous êtes (Noverim te, noverim me ! Que je vous connaisse et que je me connaisse ! disait saint Augustin). »
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L'homme n'est rien par lui-même, mais il est beaucoup avec l'Esprit-Saint. L'homme est tout terrestre et tout animal ; il n'y a que l'Esprit-Saint qui puisse élever son âme et le porter en haut. Pourquoi les saints étaient-ils si détachés de la terre ? Parce qu'ils se laissaient conduire par le Saint-Esprit. Ceux qui sont conduits par le Saint-Esprit ont des idées justes. Voilà pourquoi il y a tant d'ignorants qui en savent plus long que les savants. Quand on est conduit par un Dieu de force et de lumière, on ne peut pas se tromper.
L'Esprit-Saint est une lumière et une force. C'est lui qui nous fait distinguer le vrai du faux et le bien du mal. Comme ces lunettes qui grossissent les objets, le Saint-Esprit nous fait voir le bien et le mal en grand. Avec le Saint-Esprit, on voit tout en grand : on voit la grandeur des moindres actions faites pour Dieu, et la grandeur des moindres fautes. Comme un horloger avec ses lunettes distingue les plus petits rouages d'une montre, avec les lumières du Saint-Esprit, nous distinguons tous les détails de notre pauvre vie. Alors les moindres imperfections paraissent très-grosses ; les moindres péchés font horreur. C'est pourquoi la très-sainte Vierge n'a jamais péché. L'Esprit-Saint lui faisait comprendre la laideur du mal. Elle frémissait d'épouvante à la moindre faute.
Ceux qui ont l'Esprit-Saint ne peuvent pas se sentir, tellement ils connaissent leur pauvre misère. Les orgueilleux sont ceux qui n'ont point l'Esprit-Saint.
Les gens du monde n'ont pas l'Esprit-Saint, ou, s'ils l'ont, ils ne l'ont qu'en passant ; il ne s'arrête pas chez eux ; le bruit du monde le fait partir. Un chrétien qui est conduit par l'Esprit-Saint n'a pas de peine à laisser les biens de ce monde pour courir après les biens du ciel. Il sait faire la différence. L'œil du monde ne voit pas plus loin que la vie, comme le mien ne voit pas plus loin que ce mur, quand la porte de l'église est fermée. L'œil du chrétien voit jusqu'au font de l'éternité. Pour l'homme qui se laisse conduire par l'Esprit-Saint, il semble qu'il n'y a point de monde ; pour le monde, il semble qu'il n'y a point de Dieu... Il s'agit donc de savoir qui nous conduit. Si ce n'est pas le Saint-Esprit, nous avons beau faire, il n'y a point de substance ni de saveur dans tout ce que nous faisons. Si c'est le Saint-Esprit, il y a une douceur moelleuse... c'est à mourir de plaisir !
Ceux qui se laissent conduire par le Saint-Esprit éprouvent toute sorte de bonheur au-dedans d'eux-mêmes tandis que les mauvais chrétiens se roulent sur les épines et les cailloux.
Une âme qui a le Saint-Esprit ne s'ennuie jamais en la présence de Dieu : il sort de son cœur une transpiration d'amour.
Sans le Saint-Esprit nous sommes comme une pierre du chemin... Prenez dans une main une éponge imbibée d'au, et dans l'autre un petit caillou ; pressez-les également. Il ne sortira rien du caillou, et de l'éponge vous ferez sortir de l'eau en abondance. L'éponge, c'est l'âme remplie du Saint-Esprit, et le caillou, c'est le cœur froid et dur où le Saint-Esprit n'habite pas.
Une âme qui possède le Saint-Esprit goûte une saveur dans la prière qui fait qu'elle trouve le temps toujours trop court : elle ne perd jamais la sainte présence de Dieu. Son cœur, devant notre bon Sauveur, au saint sacrement de l'autel, est un raisin sous le pressoir.
C'est le Saint-Esprit qui forme les pensées dans le cœur des justes et qui engendre les paroles... Ceux qui ont le Saint-Esprit ne produisent rien de mauvais : tous les fruits du Saint-Esprit sont bons.
Sans le Saint-Esprit tout est froid : aussi lorsqu'on sent que la ferveur se perd, il faut vite faire une neuvaine au Saint-Esprit pour demander la foi et l'amour... Voyez, lorsqu'on a fait une retraite ou un jubilé, on est plein de bons désirs : ces bons désirs sont le souffle de l'Esprit-Saint qui a passé sur notre âme et qui a tout renouvelé, comme ce vent chaud qui fond la glace et qui ramène le printemps... Vous qui n'êtes pas cependant de grands saints, vous avez bien des moments où vous goûtez les douceurs de la prière et de la présence de Dieu : ce sont des visites du Saint-Esprit. Quand on a le Saint-Esprit, le cœur se dilate, se baigne dans l'amour divin. Le poisson ne se plaint jamais d'avoir trop d'eau : de même le bon chrétien ne se plaint jamais d'être trop longtemps avec le bon Dieu. Il y en a qui trouvent la religion ennuyeuse, c'est qu'ils n'ont pas le Saint-Esprit.
Si l'on disait aux damnés : Pourquoi êtes-vous en enfer ? ils répondraient : Pour avoir résisté au Saint-Esprit. Et si l'on disait aux saints : Pourquoi êtes-vous au ciel ? ils répondraient : Pour avoir écouté le Saint-Esprit... Quand il nous vient de bonnes pensées, c'est le Saint-Esprit qui nous visite.
Le Saint-Esprit est une force. C'est le Saint-Esprit qui soutenait saint Siméon sur sa colonne ; c'est lui qui soutenait les martyrs. Sans le Saint-Esprit, les martyrs seraient tombés comme la feuille des arbres. Quand on allumait contre eux les bûchers, le Saint-Esprit éteignait la chaleur du feu par la chaleur de l'amour divin.
Le bon Dieu, en nous envoyant le Saint-Esprit, a fait à notre égard comme un grand roi qui chargerait son ministre de conduire un des ses sujets, disant : « Vous accompagnerez cet homme partout, et vous me le ramènerez sain et sauf. » Que c'est beau, mes enfants, d'être accompagné par le Saint-Esprit ! C'est un bon guide que celui-là... Et dire qu'il y en a qui ne veulent pas le suivre !...
Le Saint-Esprit est comme un homme qui aurait une voiture avec un bon cheval, et qui voudrait nous mener à Paris. Nous n'aurions qu'à dire oui, et à monter dedans... C'est bien une belle affaire que de dire oui !... Eh bien ! le Saint-Esprit veut nous mener au ciel ; nous n'avons qu'à dire oui, et à nous laisser conduire.
Le Saint-Esprit est comme un jardinier qui travaille notre âme... Le Saint-Esprit est notre domestique...
Voilà un fusil : bon ! Vous le chargez... mais il faut quelqu'un pour y mettre le feu et pour le faire partir... De même, il y a en nous de quoi faire le bien... C'est le Saint-Esprit qui met le feu, et les bonnes œuvres partent.
Le Saint-Esprit repose dans les âmes justes comme la colombe dans son nid. Il couve les bons désirs dans une âme pure, comme la colombe couve ses petits.
L'Esprit-Saint nous conduit comme une mère conduit son enfant de deux ans par la main... comme une personne qui y voit conduit un aveugle.
Les sacrements que Notre-Seigneur a institués ne nous auraient pas sauvés sans le Saint-Esprit. La mort même de Notre-Seigneur nous aurait été inutile sans lui. C'est pourquoi Notre-Seigneur a dit à ses apôtres : « Il vous est utile que je m'en aille, car si je ne m'en allais pas, le Consolateur ne viendrait pas... » Il fallait que la descente du Saint-Esprit vint faire fructifier cette moisson de grâces. C'est comme pour un grain de blé ; vous le jetez en terre : bon ! mais il faut le soleil et la pluie pour le faire lever et monter en épi.
Il faudrait dire chaque matin : « Mon Dieu, envoyez-moi votre Esprit qui me fasse connaître ce que je suis et ce que vous êtes (Noverim te, noverim me ! Que je vous connaisse et que je me connaisse ! disait saint Augustin). »
Reportez-vous à Le Saint Curé d'Ars et l'apostolat de la conversation, Mission du Saint-Esprit, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur le Salut, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur l'amour de Dieu, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur les prérogatives de l'âme pure, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur la Sainte Vierge, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur la sanctification du dimanche, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur la parole de Dieu, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur la prière, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur le Saint Sacrifice de la Messe, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur la présence réelle, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur la communion, Catéchisme du Saint Curé d'Ars : Sur le péché, L'Esprit du Saint Curé d'Ars, Vie domestique de M. Vianney : Depuis sa naissance jusqu'à sa nomination à la cure d'Ars (1786-1818) (1/2), Vie domestique de M. Vianney : Depuis sa naissance jusqu'à sa nomination à la cure d'Ars (1786-1818) (2/2), Comment M. Vianney abolit les danses à Ars, Les saints et le combat spirituel : Saint Jean-Marie-Baptiste Vianney, le Curé d'Ars, Litanies du Saint Curé d'Ars, Litanies de Sainte Philomène, Sermon sur l'Enfer, par M. J.-M.-B. Vianney, Prière à saint Joseph pour obtenir une bonne mort, Personne n'est-il revenu de l'Enfer ?, Sermon du Saint Curé d'Ars sur l'Enfer des Chrétiens, Du jugement et des peines des pécheurs, Histoire de la possession des Ursulines de Loudun, et des peines du Père Surin (1/4), Traité de l'Enfer de Sainte Françoise Romaine, Extrait du Sermon sur la Mort de Saint Robert Bellarmin, Méditation sur le Jugement de Dieu, Méditation sur le discernement des bons et des mauvais exemples, Méditation sur l'affaire du salut, Méditation sur l'exemple de la multitude, Vision de l'Enfer de Sainte Thérèse d'Avila, Méditation sur l'homicide, Méditation sur la pensée de la mort, Défendre le Cimetière, De la méditation de la mort, Tu es poussière et tu retourneras en poussière, Méditation sur la fausse sécurité des Pécheurs, Méditation sur la Préparation à la mort, Méditation sur la disposition habituelle où les Chrétiens doivent être à l'égard de leur mort, Litanies de la bonne mort, Méditation sur le désir de la mort, Méditation sur la crainte de la mort, Méditation sur l'éternité des peines de l'Enfer, Méditation sur la justice de Dieu, Méditation sur la voie étroite, Méditation sur la Pénitence différée à l'heure de la mort, Méditation sur la fausse idée que les Pécheurs se forment de la miséricorde de Dieu, Méditation sur le délai de la conversion, Méditation sur l'incertitude de l'avenir, Le retour du règne de Satan par la négation du dogme de l'Incarnation, Méditation sur le bon usage du temps présent, Méditation sur l'inquiétude de l'avenir, Méditation sur l'emploi du temps, Méditation sur l'expiation du péché, et Méditation sur la réparation du péché.