Extrait de "MORALE CHRÉTIENNE EN FORME DE MÉDITATIONS, ET VIE CHRÉTIENNE, Où l'on donne des Règles pour faire ses actions, remplir ses devoirs en Chrétien, et passer saintement les Dimanches et les Fêtes", Ed. 1811 :
Vitrail de la Visitation, Archiconfrérie N-D. des Victoires |
VIE CHRÉTIENNE, Où l'on donne des règles pour faire en Chrétien toutes les actions de la vie, pour remplir dignement ses devoirs, soit généraux, soit particuliers.
DES REPAS
Les repas sont un soulagement nécessaire à la nature. La faim et la soif sont les deux grandes maladies de l'homme, le manger et le boire en sont le remède : n'en usez donc que comme d'un remède.
Pour prendre vos repas en chrétien, ne négligez point, en les commençant, la pieuse coutume de bénir les viandes ; mais que ce soit avec attention, avec foi et piété. Pensez, si vous n'êtes point de ceux à qui l'Apôtre ne permet pas de manger, parce qu'ils ne travaillent pas ; en ce cas, détestez votre oisiveté. Loin de regarder les viandes avec joie, gémissez plutôt d'être encore sujet aux nécessités humiliantes de nourrir votre corps comme les bêtes. Relevez cette action en la consacrant à Dieu, priez-le qu'en bénissant les viandes, il vous les rende profitables. Priez-le surtout qu'elles ne servent pas au démon pour vous tenter, et que l'appât du plaisir ne vous expose point à quelque péché.
Pendant vos repas, observez une tempérance exacte, convaincu que l'on ne doit user des aliments que comme des remèdes ; ne passez jamais les bornes de la nécessité autant que vous le pouvez connaître. Ne cherchez ni la délicatesse ni la somptuosité à la table. Ne mangez point avec avidité, ni hors du temps convenable. On en use ainsi pour les remèdes, et c'est toujours une faute de n'en pas user de même pour la nourriture : d'ailleurs un corps que l'on flatte, expose à bien des péchés. Accoutumez-vous à lui retrancher quelque chose de ce que vous pourriez lui accorder. Le retranchement de quelques mets agréables est un grand mérite devant Dieu.
Observez exactement l'abstinence et les jeûnes commandés par l'Église. En jeûnant, ne devancez pas l'heure du repas ; et que vos collations ne soient pas des soupers ; qu'elles soient légères. Souvenez-vous que Dieu jugera lui-même les excuses et les dispenses qu'on allègue pour ne pas observer les lois de l'Église.
L'ivrognerie est un crime honteux, indigne non seulement d'un Chrétien, mais d'un homme raisonnable. Un ivrogne est incapable de tout bien, capable de tous les maux, disposé à violer tout ce qu'il doit à Dieu et à son prochain ; il ruine également ses biens et sa réputation, sa santé et son âme. Vous ne sauriez avoir trop d'horreur et d'éloignement pour un vice si détestable.
En évitant l'intempérance pour vous, ne vous rendez pas coupable de celle des autres, soit en les excitant à des excès, et à violer les lois du jeûne ou de l'abstinence ; soit en ne les empêchant pas, autant que vous le devez. Le péché en ce point n'en est pas moins grief pour être plus commun.
L'intempérance n'est pas la seule faute que l'on commette dans les repas. Soyez en garde contre les médisances, les railleries, les bouffonneries, les mauvais contes, les paroles indécentes, les chansons dissolues, les louanges outrées, enfin contre tout ce qui peut blesser la pudeur, la piété, la charité, et tout ce qui autorise l'impudence, la Sensualité, etc. Élevez votre cœur à Dieu de temps en temps. Pensez à nourrir votre âme en nourrissant votre corps. Quelques lectures de piété vous seraient d'un grand avantage. Rappelez du moins quelques pensées édifiantes. Que les viandes que l'on sert, vous fassent souvenir du banquet céleste.
Qu'il est difficile d'observer ces règles dans les cabarets et dans les festins, surtout de mariage ? Évitez-les autant que vous le pourrez. Que la nécessité seule vous y conduise. N'y allez jamais qu'en tremblant. N'y allez point du tout, lorsqu'ils vous seraient une occasion de péché. Aller dans ces festins, où l'on fait gloire de violer toutes les lois de la modestie et de la tempérance chrétienne, c'est s'exposer au danger évident de souffrir avec le riche sensuel une faim et une soif éternelles.
Après le repas, soyez exact à rendre grâces à Dieu, et à examiner les manquements dans lesquels vous serez tombé, pour en gémir et les corriger. Demandez à Dieu la grâce de faire un saint usage des forces que vous venez de prendre.
Cf. Bénédicités et Grâces (prières avant et après le repas) dans votre Missel (avant 1958) ou Livre bleu (Livre de prières, de cantiques et d'exercices spirituels).
Prière avant le repas :
Mon Dieu, bénissez la nourriture que je vais prendre pour m'entretenir dans votre service. Que par votre bénédiction, cette nourriture soit salutaire à mon corps, et qu'elle ne soit pas nuisible à mon âme. Faites, ô mon Dieu, qu'en prenant mon repas, j'observe toutes les règles de la tempérance et de la modestie, de la charité et de la piété. Pendant que vous donnez le pain matériel à mon corps, ne refusez pas à mon âme le pain de votre grâce.
Prière après le repas :
Mon Dieu, je vous remercie de la nourriture que vous m'avez donnée, faites-moi la grâce d'en bien user. Vous m'avez donné la nourriture qui périt, donnez-moi celle qui demeure jusqu'à la vie éternelle. Que je sois toujours en état de dire comme votre Fils : Ma nourriture est de faire votre sainte volonté. (Joan. 4. 34)
DES RECRÉATIONS
Les Récréations semblent peu convenables à un Chrétien, dont la vie doit être une pénitence perpétuelle ; moins encore à un pécheur, qui ne mérite que l'enfer : cependant il y a des récréations permises, parce qu'il y en a de nécessaires. Le corps fatigué par de longs et pénibles travaux, a besoin de repos ; l'esprit épuisé par une forte application, a besoin de relâche.
Ne vous récréez jamais que par besoin, c'est le besoin seul qui rend la récréation permise. Elle ne doit interrompre le travail précédent que pour préparer à celui qui suit. C'est un remède, et le remède est pernicieux quand il est inutile. Employez peu de temps à vous récréer. La récréation longue passe les bornes de la nécessité ; ce n'est plus un délassement permis, c'est une oisiveté criminelle. Une vie de divertissement et de plaisir, est une vie antichrétienne et de réprouvé ; Souvenez-vous de cette maxime des Pères, qu'un pécheur doit se priver de plusieurs plaisirs permis, pour expier les criminels. N'employez jamais à la récréation le temps des divins Offices et de la Prière. Si le repos en Dieu ne vous suffit pas, du moins ne devons-nous pas lui préférer le repos que l'on cherche dans les divertissements du monde. Étrange erreur et trop ordinaire, de s'imaginer que les Dimanches et les Fêtes consacrées au culte du Seigneur, soient destinés à délasser le corps par des jeux et des amusements.
Évitez tous les divertissements défendus et dangereux. Nous n'avons que trop de penchant au péché, sans le fortifier par de telles récréations. Les jeux de hasard, les danses, les bals, les mascarades, ont été regardés par les Pères de l'Église, comme les pompes de Satan auxquelles nous avons renoncé au Baptême. Les veillées et les promenades, de la manière dont on s'y comporte ordinairement, ne conviennent point à des Chrétiens qui veulent se sauver. Regardez avec horreur tous ces jeux accompagnés de paroles ou de gestes qui réveillent des pensées impures, les débauches du carnaval, de la veille des Rois, de la Saint-Martin, etc.
Si vous jouez de l'argent à des jeux permis, que ce soit peu de chose : ne jouez jamais précisément pour gagner ; on ne doit jouer que pour se délasser. Ne vous emportez point dans la perte. N'insultez pas à ceux qui perdent. Ne vous récréez pas indifféremment avec toutes sortes de personnes. Les personnes attachées au jeu vous feront passer les bornes d'une récréation permise. Les personnes emportées vous causeront du chagrin au lieu de vous réjouir. Les personnes d'un sexe différent sont souvent pernicieuses, et toujours à craindre. Si des personnes déréglées, qui aiment les plaisirs contraires à la pudeur ou à la charité, ne vous nuisaient pas, ce serait un miracle auquel vous ne devez pas vous attendre. Le danger est plus grand dans la récréation que partout ailleurs, parce que l'on s'y observe moins.
Sanctifiez vos récréations. Offrez-les à Dieu, en commençant. Élevez dans la suite de temps en temps votre cœur à Dieu. Prêtez-vous seulement, et ne vous livrez pas au plaisir. Après la récréation, recueillez-vous pendant quelques moments, pour examiner, détester et corriger vos fautes.
Prière avant la récréation :
Mon Dieu, je ne vais prendre cette récréation que parce que je crois que vous me le permettez. C'est moins pour me satisfaire que pour me disposer à exécuter plus parfaitement dans la suite ce que vous exigez de moi. Ne permettez pas que je dise, que je fasse, ou que je souffre quoi que ce soit qui puisse vous déplaire.
Prière pendant la Récréation :
Mon Dieu, je suis devant vous. Que je ne dise, que je ne fasse rien d'indigne de vos yeux. Que je ne nuise pas à mon cœur, en soulageant mon esprit et mon corps. Ces moments sont à vous, Seigneur ; que je les emploie pour vous. Je veux mourir dans ces moments, comment les dois-je passer ?
Prière après la récréation :
Je me suis réjoui ; n'ai-je point causé de la joie aux ennemis de mon salut ? Ne vous ai-je point offensé, mon Dieu? N'ai-je rien fait de contraire à la gravité et à la modestie chrétienne ? Faites-moi connaître, ô mon Dieu ! faites-moi détester et expier mes fautes. Que les forces que je viens de réparer soient toutes employées à vous plaire.
DES CONVERSATIONS
La plus grande partie de la vie, pour plusieurs, se passe en conversant. On converse en travaillant, en prenant ses repas, en faisant voyage, en se récréant. De quelle conséquence n'est-il point pour un Chrétien, d'être Chrétien dans ses conversations, d'éviter les fautes innombrables qui s'y peuvent glisser, et de se comporter de sorte que l'on se procure, et aux autres, tous les avantages d'une conversation chrétienne.
Ne commencez aucune conversation sans y avoir bien pensé. Souvenez-vous de ce que disait agréablement un Saint (Saint Vincent) : On ne doit tirer des paroles de sa bouche, que comme on tire de l'argent de sa bourse ; l'en tire-t-on sans y penser ? Évitez avec soin la conversation des personnes dont les entretiens sont mauvais, celle des personnes d'un sexe différent. Ayez pour règle de ne converser, autant que la chose dépendra de tous, qu'avec des personnes à qui vous puissiez être utile, ou qui puissent l'être pour vous. Donnez-vous premièrement à J. C. conversant avec les hommes, et pensez quelles étaient ses conversations.
Prévoyez et prévenez les tentations différentes auxquelles la conversation expose. On est tenté de parler trop, et de se répandre ; d'entrer dans les passions des autres, et de les faire entrer dans les nôtres ; de s'engager à approuver nos défauts, ou d'approuver les leurs ; de dire ce que l'on doit taire, et de taire ce que l'on doit dire ; d'excuser le mal, et de blâmer le bien ; de donner pour douteux ce qui est certain, et pour certain ce qui est douteux ; de blesser la pureté, la piété, la charité, l'humilité, la vérité, ou de souffrir que d'autres les blessent ; de gâter les meilleures choses, en les disant mal ; d'autoriser les mauvaises, en ne s'y opposant pas avec assez de force et de sagesse, etc.
Dans le temps que vous conversez avec les hommes, ayez soin d'écouter Dieu ; soyez plus attentif à sa voix qu'à celle des personnes qui sont avec vous. Rentrez dans vous-même pour voir si vous ne vous laissez point aller à quelqu'une des fautes que l'on vient de marquer, ou à d'autres semblables. Parlez le moins que vous pourrez, sans faire peine à personne par un silence affecté. On doit parler comme l'on paye une dette ; ne payer qu'autant qu'il est nécessaire, et ne parler qu'à propos. Usez de l'autorité que vous donnent votre rang et votre âge, pour empêcher les mauvais discours ; si l'autorité vous manque, usez d'adresse pour les dissiper ; si cela ne réussit pas, marquez par vos manières l'éloignement que vous en avez, et retirez-vous au plus vite.
Que vos discours soient de Dieu et pour Dieu ; qu'ils soient tellement assaisonnés qu'il puissent porter à Dieu. Faites grande attention au caractère des personnes à qui vous parlez ; ménagez leur faiblesse, épargnez leur délicatesse, cherchez leurs intérêts. Que la charité soit le motif de vos entretiens, et que la prudence Chrétienne en soit la règle. Quelles étaient les conversations des Saints, de la sainte Vierge, de Jésus-Christ même ? Voilà notre modèle.
Après la conversation, ne manquez pas d'examiner les fautes que vous avez commises. Il sera difficile que vous n'en remarquiez beaucoup. Gémissez-en devant Dieu, et que la vue du passé vous rende circonspect pour l'avenir.
Prière avant la Conversation :
Seigneur, mettez une sûre garde à ma bouche, et une porte à mes lèvres. Vous seul avez plein pouvoir pour réprimer la langue ; gouvernez la mienne. Environnez mes oreilles d'épines, ô mon Dieu, de peur que je ne les ouvre aux mauvais discours. Que mes entretiens soient de vous, avec vous et pour vous.
Prière pendant la Conversation :
Parlez-moi, Seigneur, pendant que je parle aux hommes. Que je ne taise pas ce que je dois dire, et que je ne dise point ce que je devrais taire. Que les discours séduisants des pécheurs ne me nuisent pas. Que je n'écoute pas inutilement les discours édifiants de vos serviteurs. Que je vous parle et que je vous écoute dans le fond de mon cœur, comme la sainte Vierge et les Saints conversant avec les hommes. Divin Jésus, faites-moi la grâce de converser comme vous.
Prière après la Conversation :
Pardonnez-moi, mon Dieu, les fautes que je viens de commettre en parlant à des hommes semblables à moi. Quand sera-ce que je ne m'entretiendrai plus que dé vous et avec vous ! Faites que toutes les fois que je converserai avec quelque personne, ce soit comme devant vous, en Jésus-Christ votre Fils.
DES VISITES
Un Chrétien ne doit point employer en visites inutiles, moins encore en Visites dangereuses, un temps qui ne lui est accordé que pour gagner le Ciel. La nécessité, l'utilité, la bienséance, ou la charité doivent être le principe de toutes nos visites. N'en faire aucune et n'en point recevoir que par l'un de ces motifs. Des visites qui se font par simple oisiveté, ne peuvent pas être innocentes, puisqu'une parole oiseuse est un péché. Que penser des visites dont le motif est mauvais ?
Les visites des personnes dont la vie n'est pas solidement Chrétienne, sont très dangereuses ; les maladies du cœur se communiquent plus aisément que celles du corps. On n'est pas sans danger avec des personnes d'un sexe différent, lors même qu'elles ne sont pas déréglées. Que ces visites soient courtes et rares.
Prenez pour modèle dans vos visites, celle que la sainte Vierge rendit à sainte Élisabeth. Que l'Esprit de Dieu vous y conduise. Portez-y J. C., procurez-y sa gloire, rapportez-le. Observez avec soin ce que l'on vient de dire des conversations.
Prière avant les Visites :
Conduisez mes pas, Seigneur, et servez-moi de guide. C'est pour obéira vos ordres que j'entreprends cette visite ; que je la continue dans la vue de vous plaire et sous vos yeux. Que tout s'y passe dans votre esprit, et pour votre gloire.
Prière après les Visites :
Ne vous ai-je point oublié, mon Dieu, en parlant à vos créatures ? n'aurais-je point nui aux autres, au lieu de leur être utile ; ou ne me serais-je point nui à moi-même, au lieu de m'édifier ? Vivifiez-moi par votre grâce, ô mon Dieu ! purifiez-moi, sanctifiez-moi, afin qu'à l'avenir je sois partout et toujours la bonne odeur de Jésus-Christ.
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