mercredi 8 septembre 2021

Miracles de guérison obtenus par le Saint Curé d'Ars



Une de nous, continue Catherine, fit un jour à une pauvre femme l'aumône d'un vieux bonnet qui ne servait plus à M. le Curé. Cette femme, en coiffant de ce bonnet la tête de son fils, pensait : « Le Curé d'Ars est un saint. Si j'avais la foi, mon enfant guérirait. » Cet enfant s'était fait une blessure à la tête. Quand, le soir, la mère voulut visiter l'abcès et faire le pansement, le mal avait disparu et la plaie était sèche.

Deux protestants de marque vinrent à Ars et furent introduits dans la pauvre chambre du serviteur de Dieu. L'un d'eux, ministre de la religion réformée, mit la conversation sur les miracles, et ne voulait pas les admettre : « Comment ! dit le saint Curé, vous niez les miracles ? Mais je puis vous certifier que j'en ai vu moi-même, et des plus étonnants. » Où avait-il vu des miracles, si ce n'est à Ars ? Nous prenons acte de cet aveu qui confirme les faits que nous allons raconter.
Après Catherine, madame Raymond-Corcevay, de Châlon-sur-Saöne, a droit d'être entendue, à cause du nombre et de l'importance de ses documents. En voici le relevé exact et consciencieux.

« La première fois que je vis le Curé d'Ars, c'était au mois de mai 1843, époque à laquelle ce bon Père fut atteint d'une maladie qu'on crut mortelle. On me permit d'entrer dans sa chambre ; il fit, en me voyant, un geste de la main pour me bénir. J'étais très-souffrante d'une affection chronique au larynx et aux bronches, abandonnée de tous nos médecins, un squelette vivant. Cette bénédiction me guérit à moitié.
À deux jours de là, j'assistais à la messe de trois heures du matin, par laquelle M. le Curé célébrait sa propre guérison et rendait grâce à Sainte Philomène. Il vint trois fois à l'église ; je le consultai sur mon état ; il me dit : « Mon enfant, les remèdes de la terre vous sont inutiles. On vous en a déjà beaucoup trop administré. Mais le bon Dieu veut vous guérir... Adressez-vous à sainte Philomène ; déposez votre ardoise sur son autel. Faites-lui violence ; dites-lui que, si elle ne veut pas vous rendre votre voix, elle vous donne la sienne. »
Je suivis ce conseil. Je courus me jeter aux pieds de la chère petite Sainte ; je m'unis de tout mon cœur au Curé d'Ars. L'effet fut instantané. Il y avait deux ans que je ne parlais plus, six ans que je souffrais cruellement. En rentrant chez madame Favier, où j'étais logée, je lus à haute voix quelques pages sur la Confiance en la sainte Vierge... J'étais guérie.
Lorsque je revis M. Vianney, il me dit : « Mon enfant, n'oubliez pas l'action de grâces, et soyez ici le jour de la fête de sainte Philomène. » Je n'eus garde de manquer à ce cher rendez-vous. Le 10 août, j'étais derrière le bon Saint pendant la messe. Je chantai, à l'élévation d'une voix forte et soutenue, et, lorsque l'office fut terminé, M. Vianney me félicita de ce que la petite Sainte avait achevé ma guérison, me rendant la faculté de chanter aussi bien que celle de parler. Quant à cette dernière, vous savez, mon Père, avec quelle prodigalité, j'en use ! Toutefois l'abus n'a jamais ramené ces douleurs si vives, si continuelles que j'éprouvais avant ma guérison.
Quelques années plus tard, je suivais ce bien-aimé Père, mêlée à la foule qui couvrait la place et faisait cercle autour de lui. Je lui disais que j'étais bien reconnaissante à sainte Philomène de m'avoir rendu la parole, et je lui demandais s'il pensait que la chère Sainte fût assez bonne pour me la conserver. Il me répondit : « Ô mon enfant ! usez-en toujours pour la gloire de Dieu et le bien des âmes, et n'ayez pas peur... » Puis il ajouta : « Écoutez que je vous raconte ce qui est arrivé, il y a quelques jours. Une bonne femme de la campagne avait amené ici une petite fille de sept ans, muette de naissance. Cette pauvre mère se confessait à la sacristie, quand tout à coup elle s'arrête... “Mon enfant, lui dis-je, continuez. ”- Ah ! mon Père, c'est impossible ! Songez donc que je n'ai jamais entendu parler mon enfant ! Et écoutez, écoutez !... Oh ! quelle grâce, mon Père, quelle grâce ! » L'enfant avait en effet recouvré la voix ; elle parlait très-distinctement : elle était guérie !... Voyez la puissance de Dieu ! Cette pauvre femme, ajoutait le saint Curé, était trop émue, trop bouleversée, pour pouvoir continuer sa confession. Elle ne savait que répéter en pleurant : « Quelle grâce ! mon Dieu, quelle grâce ! »

Au mois de mai 1843, il y avait à Ars un ecclésiastique de Moulins, phthisique au dernier degré, à qui M. Vianney avait annoncé qu'il ne guérirait pas, qu'il était pour le ciel. Malgré le redoutable pronostic, ce bon prêtre s'était obstiné à rester à Ars, attendant la fin de ses souffrances, qu'il espérait encore de la toute-puissante miséricorde de Notre-Seigneur. Aux plus mauvais jours de la maladie du saint Curé, il se rendit très-utile, multipliant ses soins, ses veilles, ses démarches, et se trouvant toujours des premiers à la peine. Une fois rendu à la santé, M. Vianney lui dit : « Mon bon ami, vous avez été si charitable, pendant ma maladie, que le bon Dieu a changé ses desseins sur vous : vous guérirez. Vous érigerez à sainte Philomène une statue dans une des églises de votre ville, en demandant à la paroisse que vous aurez choisie de construire la chapelle. Ce sera votre action de grâces. » Tous s'est passé comme le Curé d'Ars l'avait prédit.

« J'ai une parente, continue madame Raymond, qui, à la suite d'une grande révolution, a eu, pendant trois mois, la tête complètement perdue. Les remèdes, les soins, les distractions lui furent inutilement prodigués. Sa pauvre mère, ne sachant plus quel parti prendre, me l'amena. Elle était désespérée. Je l'adressai à notre bien-aimé Saint : "Ma bonne dame, lui dit-il, faites une neuvaine à Sainte Philomène. Je prierai avec vous. Vous verrez que tout ira bien." Tout alla bien en effet, et le dernier jour de la neuvaine, il n'y avait plus, chez ma jeune parente, trace de la maladie. Aujourd'hui, elle est mère de cinq enfants, à la tête d'un commerce très-important, qu'elle dirige avec une rare intelligence. Jamais on n'a remarqué depuis, dans ses facultés, le moindre affaiblissement.

Un jour, accompagnée d'une de mes amies, j'amenai au saint Curé un grand pécheur, qui, depuis vingt-cinq ans, vivait éloigné de Dieu dans les plus épaisses ténèbres de l'incrédulité. Il voulait voir le Curé d'Ars et repartir au plus vite. Mais l'heure de la grâce allait sonner pour lui. L'aspect de M. Vianney le frappa comme l'aurait fait la figure du Sauveur lui-même. Il tomba à ses pieds, se confessa trois fois avec un torrent de larmes, abjura entre ses mains les affreux serments qui le liaient aux sociétés secrètes, et s'approcha de la sainte table avec de si grands sentiments de foi et d'amour, qu'il obtint au même moment la guérison de sa belle-mère, depuis longtemps percluse de rhumatismes.
Ce loup changé en agneau vécut deux ans dans la pratique des plus austères devoirs de la vie chrétienne ; après quoi il fut atteint de douleurs purifiantes, qu'il supporta sans laisser échapper une seule plainte : “Vous êtes juste, Seigneur, répétait-il durant son long martyre, vous êtes juste, et vos jugements sont équitables ! ” Notre bien-aimé Père nous a assuré qu'il avait fait la mort d'un saint, et qu'il était au ciel. »


(...)

« Au mois de juillet 1842, nous écrit un respectable curé de notre diocèse, je fis le pèlerinage d'Ars pour la première fois ; je n'oublierai jamais l'impression que j'en ai rapportée. Le saint Curé faisait son catéchisme dans une grande salle de la Providence ; j'eus le bonheur d'y assister en compagnie de quatre-vingts orphelines. Au sortir de là, j'eus un quart d'heure d'entretien avec M. Vianney. J'avais entendu parler beaucoup et diversement de la guérison miraculeuse d'une dame de Bourg ; je lui fis part de quelques velléités d'opposition que ce fait avait rencontrées.
"Mon ami, me répondit-il, laissons dire les gens du monde. Hélas ! comment verraient-ils ? ils sont aveugles. Notre-Seigneur ferait aujourd'hui tous les miracles qu'il a faits en Judée, qu'ils n'y croiraient pas. Celui à qui tout pouvoir a été donné, n'a pas encore perdu sa puissance. Par exemple, la semaine dernière, un pauvre vigneron, de l'autre côté de l'eau (expression familière aux habitants des bords de la Saône pour désigner les villages de la rive opposée), a apporté sur ses épaules un petit garçon de douze ans, estropié des deux jambes, qui n'avait jamais marché. Ce brave homme a fait une neuvaine à sainte Philomène, et son petit a été guéri le neuvième jour ; il s'en est allé en galopant devant lui...
Autrefois Notre-Seigneur redressait les boiteux, guérissait les malades, ressuscitait les morts. Il y avait des gens qui étaient présents, qui voyaient de leurs yeux ces prodiges et qui n'y croyaient pas. Mon ami, les hommes sont toujours et partout les mêmes. Si le bon Dieu est puissant, le diable a aussi son pouvoir ; il s'en sert pour aveugler le pauvre monde." »


Un homme se présente un jour à M. Vianney pour implorer la guérison de son enfant qui était estropié. Le Curé d'Ars l'engage à se confesser. Il a de la peine à s'y résoudre, parce que son métier est de faire danser les villageois et qu'il ne veut pas l'abandonner. Cependant il s'exécute, et la grâce parle à son cœur, ainsi qu'il arrive toujours après cet acte d'humilité et de repentir. De retour chez lui, il prend son violon, le met en pièces sous les yeux de sa femme et en jette les débris au feu. À l'heure même son enfant saute de joie et s'écrie : "Je suis guéri !"

La guérison suivante reporte naturellement nos souvenirs sur l'officier de Capharnaüm, qui demande au divin Maître avec une confiance si ferme et une humilité si touchante, la guérison de son fils. L'homme dont nous allons parler n'était qu'un simple gendarme, mais sa foi était aussi vive que celle du centenier. Il venait de perdre sa femme et n'avait qu'un fils âgé de six ans, dont les jambes étaient nouées, et qui ne marchait pas. Son humble solde ne lui permettant pas de payer une domestique, il allait être forcé de quitter le service pour prendre soin de son petit orphelin. Heureusement la religion vint à son secours. Il eut l'idée de faire le pèlerinage d'Ars ; il obtint une permission de trois jours et se rendit à Lyon. Quand il fut au bureau des voitures d'Ars, quelques personnes le virent portant son enfant sur ses bras et lui dirent : "Où allez-vous avec ce petit malheureux ? Vous êtes bien simple ! Le Curé d'Ars n'est pas médecin. C'est aux incurables qu'il faut le porter." L'honnête gendarme ne se laissa pas détourner par ce persiflage ; il se rendit auprès de M. Vianney et lui raconta ses malheurs : "Mon cher ami, lui dit le saint Curé, votre fils guérira."
Cette phrase n'était pas achevée qu'un léger craquement se fit entendre ; la jambe infirme se redressa, et l'enfant se mit à marcher.

En 1848, un jeune homme fit une chute de cheval qui occasionna des lésions graves. Après avoir inutilement fait appel à l'art des médecins, ses parents prirent le parti de le conduire à Ars. Ce malheureux jeune homme souffrit cruellement pendant le trajet. Le saint Curé ayant conseillé une neuvaine en l'honneur de la sainte Vierge et de sainte Philomène, chaque jour on le portait à l'église pour y faire les prières prescrites. Ses douleurs étaient parfois si aiguës qu'elles lui arrachaient des cris à fendre l'âme. Dès les premiers jours, il avait commencé sa confession, mais de grands obstacles s'opposaient à son retour à Dieu. La première neuvaine fut inutile. Le malade en commença une seconde avec des dispositions moins équivoques. Son état s'améliora sensiblement. Il put marcher à l'aide de béquilles. Un sentiment de reconnaissance le porta à faire une troisième neuvaine, au bout de laquelle il finit sa confession, communia avec beaucoup de piété et recouvra en même temps la santé de l'âme et du corps. Il voulut rester encore quinze jours à Ars pour recevoir les conseils de son bienfaiteur ; il y édifia tout le monde par son recueillement, sa ferveur, sa présence continuelle à l'église. M. l'abbé Renard dit avoir vu ce jeune homme après sa guérison. Rien dans sa démarche ne trahissait les suites de son terrible accident.

Dans les premiers jours de mai 1851, il vint à Ars un homme dans la force de l'âge, dont les yeux étaient malades par suite d'une congestion. Les médecins avaient épuisé sur lui tous les genres de traitement. Après deux jours passés à Ars, il ne se trouva point soulagé et partit sous le poids d'un découragement profond. Une jeune nièce, fort pieuse, qui l'accompagnait, ne partageant pas sa défiance, le suivit au départ ; mais elle revint presque aussitôt, et, sur l'avis de M. le Curé, elle fit une neuvaine à l'intention de son oncle. Cette neuvaine touchait à son terme, et il n'arrivait aucune nouvelle satisfaisante. Tout à coup M. Vianney lui dit : "Ma petite, je crois que vous pouvez partir. La personne à laquelle vous vous intéressez ne souffre plus." C'était vrai. Arrivée chez son oncle, la jeune fille eut la joie de le trouver parfaitement guéri.
Cet homme ne fut point ingrat ; il vint à plusieurs reprises remercier Dieu de sa guérison dans le lieu où il l'avait obtenue. Il avait déjà fait trois fois le pèlerinage d'Ars, en 1855. Ses yeux étaient parfaitement sains : "Je suis convaincu, disait-il, que c'est aux prières du vénérable Curé d'Ars et de mon angélique nièce que je dois ma guérison. Je l'attribue aussi à la sainte Vierge que j'ai toujours invoquée, même quand le souci des affaires me détournait de mes devoirs. C'est pour m'y ramener que Dieu a permis cette épreuve... Je ne veux plus m'occuper désormais que du salut de mon âme."

Un homme de qualité était atteint d'une maladie que les médecins ne savaient définir. C'était une atonie profonde, un malaise général, un dégoût de toute chose, de continuelles insomnies, un état voisin du marasme. L'âme était aussi souffrante que le corps. Cet infortuné vint à Ars, et après une nuit plus agitée que de coutume, se trouvant trop faible et trop épuisé pour aller à l'église, il fit prier M. Vianney de venir le voir. La présence seule du saint Curé le soulagea. Il put commencer sa confession, qu'il acheva après quinze jours de retraite. Ces exercices spirituels, loin de le fatiguer, dissipèrent peu à peu jusqu'aux dernières traces de son incurable langueur. Lorsqu'il partit, l'âme et le corps étaient en bon état.

Autre témoignage :

"Monsieur l'abbé,
Dans un voyage que j'ai fait à Ars, au mois d'août 1856, M. le Curé m'a donné une médaille de sainte Philomène, qu'il a tirée de sa poche, pour la remettre à ma sœur, atteinte d'épilepsie. Tout le temps que ma sœur a porté cette médaille, c'est-à-dire pendant plus d'un an, elle n'a pas eu d'accident ; mais elle a eu le malheur de la perdre, et les accidents recommencent. Je vous prie de m'envoyer deux médailles de sainte Philomène, venant de la main de votre saint Curé. J'en demande deux, parce qu'une autre personne, également épileptique, en réclame une.
Daignez agréer les humbles hommages de votre tout dévoué serviteur."

(Vie de J.-M.-B. Vianney par Alfred Monnin)


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