Jusqu'ici nous n'avons parlé que des contradictions auxquelles il fut en butte de la part de ses confrères, mais il était facile de prévoir que tôt ou tard le monde s'en mêlerait. Et quand le monde s'en mêle, quand il se met à vouloir être moral contre quelqu'un, lui qui n'est appliqué qu'à prôner le vice, à lui prêter des grâces nouvelles, à le déifier sous mille formes hypocrites, quand il lui convient de saisir le côté sévère des choses, c'est alors qu'il est redoutable, et qu'il va beaucoup plus loin en rigueur que les personnes véritablement vertueuses, résolues à se diriger elles-mêmes d'après ce qu'elles disent sur les autres. La haine est clairvoyante ; il faut croire à la sûreté de ses instincts. Pour nous, cette preuve n'est pas la moins forte, et elle eût manqué à la sainteté de notre héros, s'il n'avait recueilli sur son chemin le glorieux témoignage de la haine du monde.
Le monde connaît ses ennemis : ce sont tous ceux qui témoignent par leurs œuvres que ses œuvres à lui sont mauvaises (S. Jean, VII, 7).
Or les saints sont une éternelle protestation contre les œuvres du monde ; ils protestent contre tous ses vices par la voix de toutes leurs vertus, contre son orgueil par la voix de leur humilité, contre son sensualisme par celle de leur mortification, contre son luxe par celle de leur pauvreté, contre toutes ses faiblesses, toutes ses hontes, tous ses désordres par leur force, leur héroïsme et les autres miracles de leur sainteté.
Ce fut le principe du nouveau genre de persécutions qui ne tardèrent pas à éclater contre M. Vianney. L'occupation d'un grand nombre de personnes, dont il troublait le repos sensuel, soit en flagellant leurs vices, soit en révélant l'hypocrisie de leurs vertus, en gênant leurs passions ou en leur enlevant des complices, fut d'épier et de faire épier ses discours et ses démarches, afin d'y trouver un endroit faible. On connaît ce besoin actif de nuire qui remplit les vies désœuvrées : il se tourna contre lui avec une impitoyable malignité. On en vint à le décrier jusque dans ses mœurs ; on lui écrivit des lettres anonymes remplies d'ignobles injures ; on couvrit d'infâmes placards les murs de son presbytère, cet asile si pur de la pénitence et de la prière.
« De pareilles horreurs ne pouvaient être le fait que d'hommes bien pervers, lui disions-nous un jour pour éprouver sa charité. — Oh ! non, répondit-il avec une grande douceur, ils n'étaient pas méchants ; ils en savaient plus que les autres ; ils me connaissaient mieux. Que j'étais content, ajouta-t-il, de me voir ainsi foulé aux pieds de tout le monde comme la boue des chemins ! je me disais : “Bon ! c'est cette fois que ton évêque va te traiter comme tu le mérites. C'est impossible qu'il ne te fasse pas mettre à la porte à coups de bâton.” Et cette pensée me consolait, elle soutenait mon courage. »
Pauvre saint homme ! il fallait que son courage fût tombé bien bas, pour qu'il ne pût être relevé que par l'espérance d'être chassé de chez lui à coups de bâton !... Et pourtant nous n'inventons pas ; notre mémoire est bien fidèle ; nous nous rappelons ces choses comme si elles avaient été dites hier, et nous voyons encore avec quel air naturel et quel visage sincère elles nous ont été dites.
Nous insistâmes : « Mais enfin, monsieur le Curé, comment pouvait-on vous reprocher votre mauvaise vie ? — Hélas ! ma vie a toujours été mauvaise. Je menais, dans ce temps-là, la vie que je mène encore. Je n'ai jamais rien valu. » En disant cela, le bon Saint ne se doutait pas du témoignage qu'il se rendait à lui-même. Car la vie qu'il menait, nous pouvions la juger ; elle était sous nos yeux !... « Je serais fâché, ajoutait-il, que le bon Dieu fût offensé, mais, d'un autre côté, je me réjouis dans le Seigneur de tout ce qu'il permet qu'on dise contre moi, parce que les condamnations du monde sont des bénédictions de Dieu. J'avais peur d'être hypocrite, quand je voyais qu'on faisait quelque cas de moi ; je suis bien content que cette estime si mal fondée se tourne en mépris. »
Un prêtre vint un jour demander des conseils au serviteur de Dieu : « Monsieur le Curé, lui dit-il, je suis las d'être en butte à la calomnie et à la persécution ; ma patience est à bout ; je veux me retirer. Avant de prendre un parti, je désire avoir votre sentiment. — Mon ami, faites comme moi, répondit le saint Curé, laissez tout dire. Quand on aura tout dit, il n'y aura plus rien à dire, et l'on se taira. »
En réfléchissant à la nature de ces derniers outrages, peut-être viendra-t-il à la pensée de quelques-uns que M. Vianney, avec les vues les plus droites et la conduite la plus irréprochable, a bien pu se laisser aller, dans ses incessants rapports de direction, à cet innocent oubli des convenances qui naît quelquefois de la corruption et de la malignité des hommes. Hâtons-nous d'écarter ce soupçon. Personne n'eut jamais le cœur plus libre, et par conséquent ne fut plus maître d'ordonner sa vie sans aucune influence des affections humaines. Il regardait comme aussi préjudiciable à la perfection de l'âme que nuisible à l'édification extérieure, la sensibilité trop marquée que certaines personnes affectent envers ceux qui les dirigent. Il y voyait un piège dangereux, un écueil pour l'humilité et un obstacle à cette simplicité douce et uniforme qui va droit à Dieu, sans retour sur elle-même ni sur ceux qui y conduisent. La direction ne fut jamais pour lui un commerce où il entrât rien d'humain, quelque innocent et régulier que ce fût. Aussi, tout en supportant avec une très-grande patience et une suavité d'âme incomparable les défauts, les scrupules et les bizarreries des personnes qui s'adressaient habituellement à lui, ne leur permettait-il pas ces entretiens prolongés, ces recours fréquents et inutiles, ni aucune de ces recherches qui peuvent nourrir l'amour-propre et amuser la vanité.
On se souvient qu'il était particulièrement sec et austère avec mademoiselle Pignaut, celle de ses pénitentes qui lui avait voué l'attachement le plus constant et le culte le plus fidèle. Il la menait par des voies extrêmement dures, ne laissant échapper aucune occasion de rompre sa volonté, de la mortifier, de l'exercer à la pratique du renoncement dans les grandes comme dans les petites choses, jusque-là qu'il lui interdisait d'assister à ses catéchismes, et qu'on l'a vu, un beau jour de jeudi saint, la consigner dans l'église à une place d'où elle ne pouvait apercevoir ni les décorations du reposoir, ni l'éclat des cierges, ni la splendeur des ornements, ni, ce qui lui était bien plus sensible, la divine hostie, qui lui cachait son bien-aimé Seigneur.
Ses rapports de directeur à pénitentes furent toujours empreints de l'esprit de foi, de grâce, de fidélité et de sacrifice. Qu'importe, en effet, le vase dans lequel est enfermée la médecine céleste qui doit rendre la santé à l'âme, pourvu qu'elle soit présentée de la main de Dieu et qu'elle contienne ses dons ? Si le confesseur agit sans intérêt personnel, par pur sentiment du devoir, Dieu sera plus sûrement, plus efficacement avec lui ; le canal n'en sera que plus pur pour transmettre la grâce sans mélange.
Ce fut donc en dehors de toute vraisemblance que s'élevèrent contre un prêtre qui donnait, depuis dix ans, l'exemple d'une incroyable austérité de mœurs, les bruits les plus injurieux et les plus détestables soupçons. Qui sait ? ce fut peut-être, indépendamment des raisons que nous en avons déjà données, la perfection même de cette vertu qui servit les mauvaises passions de ses ennemis et disposa le monde à plus de crédulité. Le vulgaire ne voit pas sans une sorte de défiance jalouse ces dons rares et sublimes, qui sont le privilège de quelques belles âmes. Renfermés dans leur petite sphère, à l'ombre de leurs petites vertus, la plupart des hommes sauvent leur orgueil de l'humiliation de leurs chutes, en s'efforçant de croire que cette hauteur, où s'élèvent de grands courages, couvre d'autres misères, et que ces caractères si forts en apparence payent aussi à la nature leur tribut de faiblesses secrètes et inavouées. C'est du moins ce que tendraient à prouver tant de mépris et d'afflictions que les saints ont eu à souffrir dans le monde, et dont la vie de M. Vianney nous offre un nouvel et si frappant exemple. Ainsi il y eut un moment où prêtres et laïques, dévots et mondains, étaient ligués contre lui. Les préventions des uns avaient pour corollaire les outrages et les violences des autres.
Cependant, au milieu de ce détachement continuel, rien n'interrompait en lui l'uniformité de ses habitudes. Comme le lis entre les épines, il fleurissait parmi les calomnies, les accusations, les injustices, les amertumes de tout genre, et répandait autour de lui l'aimable parfum de la patience et de l'humilité. Il cachait dans son âme, désolée mais tranquille, toutes les douleurs dont il ressentait la pointe, et paraissait au-dehors toujours aussi calme, aussi doux, aussi affable, aussi peu soucieux de sa propre gloire, aussi facile à aborder et à entretenir.
Jamais on ne vit poindre dans ses paroles aucun sentiment d'aigreur, de mécontentement ou de tristesse. Il pratiquait à la lettre ce mot qui revenait souvent dans sa conversation : « LES SAINTS NE SE PLAIGNENT JAMAIS. » Il ne connut pas même ce trouble et ces défaillances qui, dans les grandes crises, ôtent souvent la liberté d'action et la présence d'esprit nécessaires pour bien s'acquitter des emplois qu'on est appelé à remplir. Quelque opposition qu'il trouvât dans l'accomplissement de ses devoirs de pasteur en chaire ou au confessionnal, il s'y porta toujours avec le même amour et la même exactitude. Quand on lui demandait comment il avait pu, sous le coup d'une menace perpétuelle de changement, en butte à tant de tracasserie, conserver l'énergie de son âme et ce qu'il faut d'empire sur soi-même pour se livrer à ses travaux avec la même application et la même ardeur : « On fait beaucoup plus pour Dieu, répondait-il, en faisant les mêmes choses sans plaisir et sans goût. C'est vrai que j'espérais tous les jours qu'on viendrait me chasser ; mais en attendant je faisais comme si je n'avais jamais dû m'en aller. »
Voilà bien l'amour pur, noble, désintéressé de la gloire de Dieu, sans retour sur soi. Voilà bien aussi la sagesse qui sait se renfermer dans le moment présent, sans regarder plus loin et sans vouloir prévenir les desseins de la Providence. Voilà bien enfin le caractère de la véritable vertu, dont on a dit : « Prenez-la, laissez-la : elle est toujours la même. »
C'est un mystère difficile à comprendre et à expliquer que cette paix divine qui surnage dans l'âme des saints, au-dessus de toutes les tentations et de toutes les misères d'ici-bas. Il est nécessaire, dans ces moments d'angoisse suprême, que la foi soit assez vive pour ne laisser aucun doute sur les intentions du Maîtres qui châtie, que le désir des biens éternels soit assez fort pour faire embrasser avec courage et action de grâces les amertumes et les tristesses qui doivent en assurer la possession. Il faut surtout que l'âme se soit accoutumée à comparer la courte durée de ces peines et la fragilité de tout ce qui passe avec ce poids éternel d'une sublime et incomparable gloire qu'elles opèrent en nous.
C'est à ce prodigieux degré d'humilité, d'abnégation et d'acquiescement en Dieu que la grâce avait fait arriver le Curé d'Ars, et la force qu'elle lui communiquait est d'autant plus admirable que la violence et la continuité de ses douleurs étaient de nature à l'abattre davantage, et que sa sensibilité exquise, son extrême délicatesse, sa grande défiance de lui-même, les lui rendaient plus vives et plus pénibles à supporter. Mais au contraire, jamais son cœur n'était plus haut et plus ferme qu'aux heures où sa volonté se courbait plus humblement sous les coups redoublés qui l'accablaient. Comme sa confiance n'avait pour fondement que Dieu seul, rien de ce qui lui arrivait de la part des hommes ne pouvait en ébranler la solidité. Cette expérience de l'injustice des créatures devint comme un lien de plus entre son Créateur et lui ; il y puisa de nouvelles forces pour le servir et pour l'aimer. A mesure que tout lui manquait dans le monde, il se perdait avec un abandon plus absolu et de plus suaves délices dans le sein de cet Être adorable qui a des tendresses secrètes pour l'âme affligée, et se plaît à lui faire éprouver, d'une manière aussi sensible qu'efficace, les douceurs de sa présence. L'Esprit-Saint l'a dit : « Le Seigneur est près des cœurs brisés par la tribulation (Ps. XXXIII, 19). »
Il ne paraît pas en effet que, dans le temps qu'il souffrait ainsi des fureurs conjurées du monde et de l'enfer, Notre-Seigneur l'ait abandonné, comme cela est arrivé à quelques saints personnages, notamment au P. Surin, dont M. Boudon rapporte qu'au milieu d'épreuves de ce genre, il voyait encore, par-dessus, Dieu qui lui était contraire, et qui, après s'être servi de toutes les créatures pour l'affliger, voulait encore le frapper de sa main. « Je n'ai jamais été si heureux, disait au contraire M. le Curé d'Ars : le bon Dieu m'accordait tout ce que je voulais. » On n'en a jamais pu savoir davantage ; mais, à la manière dont il parlait de cette époque de sa vie, on est autorisé à penser que ce fut celle où le Ciel le favorisa des grâces les plus extraordinaires. Ce qu'il y a de certain, c'est que ce fut celel où le pèlerinage s'accrut au-delà de toute proportion. Plus on attaque la sainteté, plus on la met en relief. On commença à venir de tous les pays, et des pays les plus lointains, à cet homme perdu, à cet ignorant, à ce fou, à cet hypocrite, pour lui découvrir ce qu'on avait de plus secret dans la conscience, pour le consulter dans les situations les plus difficiles, pour se recommander à ses prières. C’était à qui le verrait le premier, obtiendrait de lui un conseil, une lumière, une décision, la promesse d'un souvenir devant Notre-Seigneur ; lui, de son côté, a souvent déclaré qu'il obtenait de Dieu et des hommes tout ce qu'il souhaitait. Ses grands miracles et ses grandes œuvres, alimentées par de grandes aumônes, datent de là.
Après avoir vu s'amonceler, sur cette douce et chère existence, tant de sombres nuages, il serait intéressant de savoir par quels moyens Dieu mit fin à la tourmente et dissipa l'aveuglement de ceux qui s'étaient laissé tromper ; mais cette action directe et souveraine de la Providence, qui opère le triomphe surnaturel du bien, n'est pas toujours visible ; le plus souvent Dieu cache sa main.
Hâtons-nous aussi de le dire : les passions soulevées contre le plus inoffensif et le plus vertueux des hommes fermentaient à l'ombre et au loin. Il n'était pas possible de l'insulter en face ; la touchante sérénité de son visage et la transparence de son regard faisaient tomber le soupçon. La foule de ses admirateurs se recrutait chaque jour parmi ceux qui étaient venus à Ars avec l'intention de railler et de blasphémer. Lorsqu'on n'a contre soi que des ennemis passionnés et méchants, on désespère de voir s'éteindre la haine, et l'opposition s'affaiblir ; mais quand des âmes droites et sans fiel laissent égarer leur jugement par d'injustes préventions, il est permis de croire que l'ascendant d'une vertu toujours semblable à elle-même finira par les ramener à l'équité. Depuis huit ans que durait cette épreuve, on n'avait jamais vu M. Vianney descendre de ce degré sublime de résignation où il n'est donné qu'à un saint d'arriver et de se maintenir. À peine avaient-ils contemplé de près ce spectacle que les détracteurs de la veille devenaient les amis du lendemain. Le clergé surtout a été remarquable dans ce retour. Le prêtre peut se laisser influencer par des sentiments humains ; il ne résiste pas à la vérité, quand elle se dégage des ombres qui l'enveloppent. Ainsi, tous les curés du voisinage, tous ceux du diocèse, furent bientôt gagnés à l'homme qu'ils avaient contredit ; s'ils ne donnèrent pas l'exemple d'une confiance aveugle et empressée, ils donnèrent, ce qui vaut mieux, celui d'une confiance éclairée et persévérante. Le simple cours des choses devait donc amener le terme de ces odieuses persécutions. La justice allait se retrouver pour notre Saint dans l'excès d'injustice avec lequel on le traitait. C’est la victoire promise à l'humilité, cette force miraculeuse de la faiblesse.
Dieu n'envoie l'épreuve que pour opérer la mort : quand les dernières traces de la fragilité humaine ont été ensevelies dans cette mort bienheureuse, le but de Dieu est atteint, et il met fin à l'épreuve.
(Vie de J.-M.-B. Vianney par Alfred Monnin)
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