dimanche 4 décembre 2022

Histoire de la Nativité



Un fait important dans l'histoire de la Judée, vers l'an 747-749 de Rome, mit en mouvement toute la population du petit royaume d'Hérode.
Auguste avait reçu du Sénat, pour dix ans, le renouvellement de son mandat impérial. Il venait de clore le lustre (746). Pour la troisième fois, les portes du temple de Janus avaient été fermées. Jamais, dans l'Empire, la paix n'avait été plus complète et plus universelle. Le maître du monde la met à profit pour faire le dénombrement de ses sujets. « En ces jours-là, dit saint Luc, un édit de César-Auguste ordonna de procéder au recensement de tout l'univers. Ce premier dénombrement fut accompli par le gouverneur de Syrie, Tirinus (Luc, Chap. II). » La Judée, gouvernée par Hérode, est soumise à l'édit impérial. Or tous allaient se faire inscrire aux registres publics, chacun dans sa ville natale. Joseph quitta donc la Galilée, et sa résidence de Nazareth, pour se rendre en Judée, dans la ville de David, appelée Bethléem. Car il était de la maison et de la famille de David. Il vint pour se faire inscrire avec Marie, son épouse. L'un et l'autre virent sans doute le doigt de DIEU dans le fait imprévu qui les amenait au lieu même où, selon les Prophètes, devait naître le Sauveur d'Israël. Malgré l'état où elle se trouvait, malgré l'hiver et les fatigues d'un long voyage, Marie suivit Joseph.
La distance de Nazareth à Bethléem est de trois à quatre journées de marche, en prenant la route directe à travers la plaine de Jizréel, les montagnes de Samarie et de Judée, par Ginea, Béthulie, Sichem, Letonah, Bethel, Tell-el-Fûl, Jérusalem et la plaine de Réphaïm. Les caravanes s'y succèdent sans interruption. Les gens du peuple vont à pied, mais il est rare, en Judée, qu'un âne ne suive pas chaque famille ; l'infatigable et sobre animal vit de peu, il porte les provisions, les vêtements et son maître : c'est la monture du pauvre. On fait halte auprès des sources, le long du chemin, à l'ombre de quelque arbre vert ; le soir, au coucher du soleil, dans la saison des pluies, on s'arrête à l'entrée des villages, au caravansérail qui sert d'abri aux voyageurs et aux bêtes ; le lendemain, à l'aube, on repart en chantant les psaumes qui parlent de Jérusalem et de la maison de Jéhovah, et, d'étape en étape, on arrive au terme du voyage.
Ainsi cheminèrent Joseph et Marie, accompagnés de ceux que l'édit d'Auguste amenait comme eux à Bethléem ou dans quelque autre ville de Juda.
Bethléem est située à deux lieues au sud de Jérusalem, par delà la plaine de Réphaïm, au cœur même des montagnes de la Judée. Elle occupe le faîte de deux collines soudées l'une à l'autre en forme de croissant. Des vallées profondes l'isolent de toutes parts ; celle du milieu, — la plus fertile, — l'Ouady-el-Karroubeh, enserrée par les deux pointes du croissant, descend en pente raide, et les murs, étagés pour retenir la terre, lui donnent l'aspect d'un vaste amphithéâtre verdoyant, couvert de vignes, d'oliviers, de figuiers, d'amandiers et de caroubiers. L'horizon, borné au nord et au couchant par les montagnes qui dominent Bethléem, s'ouvre splendide au midi et à l'orient. Voici le champ d'épis où vint glaner Ruth la Moabite, et tout auprès le petit monticule qui porte le village de Beit-Saour, où Booz avait son aire. Plus loin, le désert de Juda avec ses monts stériles, sablonneux, pareils à des amas de cendres grises. Le soleil dore cette désolation, mais rien ne germe sur ce sol dévasté. Par derrière, — dans un gouffre au-dessus duquel se dresse, comme un rempart, la masse bleuâtre et violacée des rochers de Moab, — la mer Morte cache ses eaux stagnantes. Au midi, une montagne solitaire s'élève fièrement en cône : c'est l'Hérodion, où le vieux H2rode voulut être enseveli et dormir son éternel sommeil (Didon, Jésus-Christ, t. I).
Tel est le petit pays qui vit naître David et où se pressent aujourd'hui ses descendants.
La foule était grande aux abords de Bethléem, la cité de David, parce que tous les membres de la descendance royale, réunis des divers points de la Judée, accouraient se faire enregistrer, suivant la teneur du décret impérial. Les maisons regorgent de monde. Le khan du village, le « diversorium, » dont parle saint Luc, est encombré. Lorsque Marie et Joseph arrivèrent, il n'y avait plus de place pour eux ; ils durent chercher un abri dans une grotte voisine, dans une de ces excavations qui se rencontrent fréquemment en Palestine, à mi-côte sur le flanc des collines de calcaire. L'une d'elles s'appelait la crèche ou l'étable ; elle était située à l'extrémité du pays, à la pointe qui regarde Hébron, et servait de refuge aux animaux. C'est là même que se retirent les deux voyageurs sans abri, c'est là, dans ce refuge misérable, que va naître le Fils de David, Celui que l'ange avait annoncé à sa mère comme le Saint, le Fils de DIEU, le Sauveur et l'héritier du trône éternel. Ce fait, le plus important de l'histoire, l'Évangile le raconte en deux mots sublimes de simplicité, comme s'il s'agissait du dernier des Bethléhémites : « Or, pendant qu'ils étaient là, Marie mit au monde son fils premier né. Elle l'enveloppa de langes, elle le coucha dans la crèche, car il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie. »
La foi chrétienne est restée à genoux devant cette femme et l'enfant qui repose sur son sein ; elle a appris, en les regardant, la douceur, la pauvreté, le sacrifice ; elle s'est fait de cette scène ineffable des visions toujours nouvelles, sans se lasser jamais, et sans pouvoir en épuiser la vertu, le charme et la beauté.
Ceci se passait dans une nuit de décembre, au mois de Tebeth, selon le calendrier juif, à l'insu de tous sans autre témoin que Marie et Joseph. La petite ville endormie ne soupçonne pas la naissance de Celui qui, mieux que David, doit l'immortaliser. Mais l'Esprit de DIEU est en pleine effervescence sur cette grotte et ce berceau délaissé ; il va y amener ses élus (Didon, Jésus-Christ, t. I)
Au pied de Bethléem, un peu au-delà de Beit-Saour, dans la plaine même où Booz avait ses champs d'orge et de froment, où Ruth de Moab était venue glaner, des bergers gardaient leurs troupeaux.
Les bergers, en Orient, représentent la classe infime de la population agricole ; ce sont les serviteurs des serviteurs. Le maître du champ ne travaille pas ; il a ses laboureurs, ses ouvriers et les gardiens de ses troupeaux. On les voit aujourd'hui encore, la tête couverte d'un long voile noir, une peau de mouton sur les épaules, les pieds nus ou chaussés de misérables sandales, une petite massue en chêne ou en sycomore à la main ; ils se relèvent de veille en veille, assis sous quelque rocher, autour de grands feux. Dès les premières pluies, la terre, où plus tard tombera la semence, se couvre d'herbes et de fleurs, et les troupeaux vivent de ces premières pousses.
Or, pendant que ces bergers de Beit-Saour veillaient à la garde de leurs troupeaux, une clarté céleste les inonda ; effrayés, ils virent debout, auprès d'eux, un ange du Seigneur :
— « Rassurez-vous, leur dit-il, je viens vous annoncer une joie qui sera grande pour tout le peuple. Il vous est né aujourd'hui un Sauveur, qui est le CHRIST, le Seigneur, dans la ville même de David. Voici le signe auquel vous le reconnaîtrez : vous trouverez un enfant enveloppé de langes et couché dans la crèche. — Soudain, une multitude d'esprits célestes se joignirent à l'ange ; ils chantaient les louanges de DIEU et disaient : Gloire à DIEU dans les hauteurs du Ciel, et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté ! (Luc, II, 9-12) »
Le monde divin tressaille à la naissance de JÉSUS. Rien ne s'accomplit ici-bas qui n'ait été décrété là-haut ; les phénomènes terrestres sont le contre-coup de causes célestes et impénétrables. Tout l'avenir, tout le mystère de ce berceau est dans ces deux mots qui rempliront les temps et l'espace : Gloire et paix, gloire à DIEU, paix à l'homme. Désormais, la terre, qui méconnaissait DIEU, a un fils qui va nous enseigner son nom et établir son règne ; l'humanité, livrée à la loi brutale de la destruction dans la lutte pour l'existence, va connaître la loi de la paix, parce qu'elle sera régie par la loi de l'amour.
« Quand les chœurs angéliques eurent disparu dans le Cieux, les bergers se dirent l'un à l'autre : Allons à Bethléem ; allons voir cette parole qui vient de s'accomplir et que le Seigneur nous a fait connaître. — Ils vinrent en grande hâte, et trouvèrent Marie et Joseph et le nouveau-né posé dans la crèche. À ce spectacle, ils reconnurent la vérité des paroles de l'ange. »
Les bergers revinrent à leurs troupeaux, et racontèrent ce qu'ils avaient vu. On s'émerveilla de leur récit, et ils glorifiaient et louaient DIEU. Il ne semble pas cependant que le témoignage de ces pauvres gens ait ému Bethléem, ni troublé la paix et l'humilité du berceau de JÉSUS. Il resta inconnu, entre sa mère et Joseph. Mais Marie conservait en son cœur ce qu'elle entendait ; comme toutes les mères, elle faisait de ses souvenirs un trésor, une sorte de livre intérieur qu'elle relisait avec tendresse.
Le champ des bergers subsiste encore ; les troupeaux y paissent, à la saison d'hiver, comme au temps de JÉSUS, sous les oliviers, à travers les terres où reverdit le même gazon, où fleurissent les mêmes anémones. Le culte n'a jamais déserté ce lieu où resplendit le premier éclat de l'aube naissante du CHRIST. Le soir de Noël, les Bethléhémites accourent vers l'église d'Hélène, dont il ne reste que des débris, et, dans la crypte à demi-ruinée, ils prient les bergers de Beit-Saour leurs aïeux, qui furent les premiers apôtres (Didon, t. I).
Le monde entier a suivi les bergers à l'étable de Bethléem. Prosterné devant la crèche, baignant de larmes l'humble litière sur laquelle repose un DIEU, l'homme s'anéantit dans l'extase de l'amour, de l'adoration et de la reconnaissance. Oui, c'était ainsi qu'un DIEU devait naître ! Une misérable vanité humaine, ayant à choisir son berceau, l'aurait sans doute placé sur la marche d'un trône ; elle l'eût entouré des empressements d'une foule servile ; l'éclat des trompettes retentissantes eût réveillé les échos, pour annoncer à la terre la naissance d'un nouveau maître ; la chaumière aurait tressailli au signa attendu du palais. « Quelle indigence que les royautés de ce monde devant DIEU ! dit Bossuet (1er discours sur la Noël, édit. Vivès, t. VIII) ; quel silence que le bruit de nos tonnerres ; quel néant que nos grandeurs ! Ce que nous appelons la richesse n'est qu'un manteau d'emprunt pour couvrir nos vieilles misères ; ce qu'on décore du nom de puissance n'est que l'enseigne d'une plus éclatante servitude ; DIEU, descendant ici-bas, ne pouvait épouser nos pompes mensongères. » « Mais le bœuf de l'étable reconnut son Créateur, l'âne sut discerner la crèche de son DIEU (Is. I, 3) » Les anges visitèrent les campagnes de la Nativité comme aux jours où Jacob y faisait paître ses troupeaux. « Les peuples assis dans les ténèbres, à l'ombre de la mort, » courbés sous un joug de fer dans l'Ergastulum romain, « virent se lever la lumière (Is. IX, 2) » Les décrets de salut enregistrés, dès l'éternité, dans les conseils de la Providence, sont accomplis. Le Verbe s'est fait chair. Gloire à DIEU et paix aux hommes ! Des bergers sont les premiers adorateurs du Roi immortel de la paix, qui vient de naître ; les prémices du Pasteur divin, qui va réunir les troupeaux des générations humaines dans le bercail de son Église. Marie, la Vierge Immaculée, les introduit près de l'enfant que ses mains ont enveloppé de langes, qu'elle a le droit de nommer son Fils et le devoir d'adorer comme son DIEU. Joseph, l'héritier de David, contemple avec eux le Chef promis à Israël, dont le règne n'aura pas de fin. Seules, de telles pompes convenaient au Verbe incarné ; sa divinité éclate mieux dans la nudité de l'étable et dans l'abaissement de la crèche !

(Noël Histoire et Liturgie, Coutumes et Légendes, Littérature et Poésie, 1894)


Reportez-vous à Le Mystère de Noël, Quels sentiments fait naître dans nos cœurs et quelles résolutions nous inspire le mystère de la nativité ?, Prière à Jésus naissant dans la Crèche, Prière au Sauveur Jésus, Venez ! Venez ! Venez !, La Veille de la Nativité de Notre-Seigneur, Les bienfaits que Jésus naissant a apportés au monde, Les premiers adorateurs de Jésus-Christ, Circonstances de la naissance du Sauveur, Jour de Noël, Fête de la bienheureuse naissance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Prière à la Sainte Vierge, en adorant l'Enfant Jésus aux pieds de la Crèche, Louanges à Marie et aux Saints qui ont spécialement aimé Jésus-Enfant, Litanies des Saints Rois-Mages, Litanies des Saints consacrés à l'Enfance de Jésus, Litanies en l'honneur de la divine Naissance du Sauveur, Litanies des Saints Anges de la Crèche, Tirées du Directoire de la dévotion à l'Enfant-Jésus, Litanies des Justes de l'Ancienne Loi, Tirées du Directoire de la dévotion à l'Enfant-Jésus, La fête de Noël doit être chère à la France, La Pantoufle dans la cheminée, Les Fêtes de Noël à Paris : l'Offrande et la fête des Lettres, un pieux et antique usage, Les Fêtes de Noël à Paris : en prière devant la Crèche, Les Fêtes de Noël à Paris : au Couvent, Les Fêtes de Noël à Paris : au Petit-Séminaire, La nuit de Noël à Marseille, Extrait d'une description des Fêtes de Noël à Bruxelles : La Crèche en famille, Un épisode des Fêtes de Noël dans les pays du Nord de l'Europe : L'Arbre de Noël, Particularités de la nuit de Noël à Bethléem, La Sainte Grotte, Bethléem, Le Santo Bambino, Les petits Prédicateurs de six et de huit ans, L'Étable de Bethléem dans l’Église de l'Ara-Coeli, L'épée et le chapeau ducal portés à la procession le jour de Noël, Description de la sainte Crèche, Son histoire, Cérémonie de l'Adoration, La Messe de Minuit à Sainte-Marie-Majeure, Les Boutiques de Noël et le Præsepio, Les Pifferari, Regard sur le triple sacrifice du Jour de Noël, Noël, Jour de sainte allégresse, Lumière sur Noël, La crèche, Méditation pour la Fête de Noël : Vous trouverez un Enfant enveloppé de langes, et couché dans une Crèche, Instruction sur la Fête de Noël, Pratique de la Dévotion à l'enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Litanies de la Sainte Famille, Visite à l'Enfant-Jésus dans la Crèche, La bénédiction de Noé à ses fils, Prophétie et figure de l'entrée des Gentils dans la vraie Église, La conduite réciproque de Ruth et de Noémi figure celle de Marie et de l'Église des Gentils, Méditation pour le Jour des Rois : Que votre Règne arrive, Instruction sur la Fête des Rois, Méditation sur l’Épiphanie : Les Mages confessent Jésus-Christ devant les hommes, Méditation sur l’Épiphanie : Les Mages à Jérusalem, Méditation pour l’Épiphanie : La vocation des mages prédite et figurée, notre vocation à la foi de Jésus-Christ, Méditation sur l’Épiphanie : Les Rois-Mages, Méditation sur l’Épiphanie : Du ministère de Marie dans la vocation des Gentils à la Foi, Remerciement, offrande et prière au Verbe de Dieu incarné, pour l'Octave de l'Épiphanie, Méditation sur l’Épiphanie, Discours aux jeunes époux, du Pape Pie XII, durant l'Octave de l’Épiphanie, le 10 janvier 1940, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 18e Méditation : Voici que l'étoile qu'ils avaient vue en Orient parut, allant devant eux, jusqu'à ce qu'elle vint s'arrêter sur le lieu où était l'enfant, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 17e Méditation : À la nouvelle de la naissance du saint Enfant, le roi Hérode fut troublé, et tout Jérusalem avec lui, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 16e Méditation : Nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus pour l'adorer, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 15e Méditation : Voici que les Mages vinrent de l'Orient à Jérusalem, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 21e Méditation : Cependant Marie ne perdait rien de toutes ces choses et les méditait dans son cœur, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 22e Méditation : Ils portèrent Jésus à Jérusalem, afin de l'offrir au SeigneurDévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 20e Méditation : Ayant été averti en songe de ne point aller trouver Hérode, ils retournèrent en leur pays par un autre chemin, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 19e Méditation : Se prosternant, ils l'adorèrent ; puis ayant ouvert leurs trésors, ils lui offrirent en présent de l'or, de l'encens et de la myrrhe, Méditation sur la Nativité, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 14e Méditation : On lui donna le nom de Jésus, Litanies du Saint Nom de Jésus, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 13e Méditation : On lui donna le nom de Jésus, nom qui lui avait été donné par l'ange, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 12e Méditation : Après huit jours, le saint Enfant fut circoncis, Instruction sur la Circoncision, Méditation sur la Circoncision, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 11e Méditation : Les bergers revinrent en glorifiant et en louant Dieu de tout ce qu'ils avaient vu et entendu, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 10e Méditation : Les bergers se disaient les uns aux autres : Allons jusqu'à Bethléem, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 9e Méditation : Gloire à Dieu au plus haut des Cieux, et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 7e Méditation : Tout à coup l'Ange du Seigneur parut auprès d'eux, Salutation à Marie et à Jésus naissant, Litanies du Saint Enfant-Jésus, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 1re Méditation : Marie s'étant rendue avec Joseph à Bethléem, le temps de son divin enfantement arriva, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 2e Méditation : Je vous annonce un grand sujet de Joie, il vous est né aujourd'hui un Sauveur, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 3e Méditation : Marie mit au monde son fils premier-né, et l'enveloppa de langes, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 4e Méditation : Marie, après avoir enveloppé de langes le saint Enfant, le coucha dans la crèche, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 5e Méditation : Voici le signe qui vous est donné : vous trouverez un enfant enveloppé de langes et couché dans une crèche, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 6e Méditation : Il y avait là aux environs des bergers qui veillaient et se relevaient les uns les autres pendant la nuit, pour la garde de leurs troupeaux, Litanies du Saint Enfant-Jésus, et Dévotion au Saint Enfant-Jésus : Prière d'amour et Consécration.