vendredi 21 août 2015

Dévotion au Sacré-cœur de Jésus : Don de l'Esprit et Vie intérieure





Le Sacre Coeur de Jesus (HS85-10-32787)Dieu, dans son infinie bonté envers ses créatures, ne cherchant qu'à les élever jusqu'à lui, fait sans cesse descendre son Saint-Esprit sur nous, afin de prendre possession de nos cœurs, et de les remplir de charité et d'amour, c'est-à-dire de lui-même.

« Je répandrai dans leurs entrailles un esprit nouveau : j'ôterai de leur poitrine leur cœur de pierre : et je leur donnerai un cœur de chair afin qu'ils marchent dans la voie de mes PRÉCEPTES. » (Ézéchiel 11, 19)

C'est par le don de son esprit que Dieu jette en nous les fondements de la vie intérieure. Nous n'y pouvons rien comprendre avant que d'être éclairés de sa lumière ; encore moins pouvons-nous la goûter et l'aimer avant qu'il nous en ait donné l'attrait. Qu'est-ce que la vie intérieure ? Une vie conforme à la doctrine et aux exemples de Jésus-Christ. Cette doctrine et ces exemples sont tout à fait surnaturels. Nous n'entendons rien aux maximes de Jésus-Christ, jusqu'à ce que l'Esprit-Saint nous en découvre le sens ; ses exemples sont muets pour nous, et ne font nulle impression sur nos cœurs, si le Saint-Esprit ne nous touche par une grâce spéciale. Jugeons-en par les apôtres. Ils ont vécu trois ans entiers avec Jésus-Christ ; ils avaient été témoins de ses discours, de ses actions, de ses miracles ; il avait pris un soin particulier de les former, il leur dit lui-même que tout ce qu'il avait appris de son père, il le leur avait fait connaître. En étaient-ils moins grossiers, plus intelligents dans les choses de Dieu ? C'est qu'ils n'avaient pas encore reçu le Saint-Esprit ; leurs pensées et leurs désirs ne s'élevaient pas au-dessus de la terre ; leur zèle et leur attachement pour leur maitre étaient tout humain, et ne portaient que sur des espérances temporelles : ils firent bien voir au moment de sa passion que le Saint-Esprit ne les avait pas encore élevés aux idées célestes.

Voyez ces apôtres, après qu'il fut descendu sur eux. Ce ne sont plus les mêmes hommes.
Mais en quoi sont-ils changés ? Est-ce dans leur extérieur ? Non ; c'est dans leurs idées et dans leurs sentiments. La terre n'est plus rien pour eux ; ils ne pensent plus qu'au ciel, et aux moyens d'y arriver, et d'y conduire les autres. Leurs passions, l'amour, la haine, la crainte, le désir, la joie, la tristesse ne sont plus excités que par des objets surnaturels. Ces lâches qui avaient abandonné Jésus-Christ, l'annoncent avec un courage intrépide ; ils ne redoutent ni les menaces ni les mauvais traitements ; ils se réjouissent d'avoir été jugés dignes de souffrir un opprobre pour le nom de Jésus. Ils ne prêchent que sa croix, ils n'aiment que sa croix, ils vivent avec délices au milieu des croix ; ils vont les chercher jusqu'au bout de l'univers ; ils ne veulent point d'autre fruit de leurs travaux, que de verser leur sang pour la gloire de leur maître. Ce merveilleux changement a été l’œuvre du Saint-Esprit ; un moment a pu faire ce que trois ans passés à l'école de Jésus-Christ n'avaient pas même commencé.

Prenons les premiers Fidèles de Jérusalem, leur conversion n'est pas moins admirable.
Ces Juifs, ces hommes attachés à la terre, qui n'avaient renoncé et mis à mort leur Messie que parce qu'il ne répondait pas aux idées ambitieuses et charnelles qu'ils s'en étaient formées, n'ont pas plus tôt reçu le baptême et l'Esprit-Saint que les voilà devenus tout à coup des hommes intérieurs ; pour ne plus tenir à rien, ils vendent leurs possessions, et en apportent le prix aux apôtres, ne se réservant pas même d'en faire la distribution à ceux d'entre eux qui étaient pauvres. Déchargés de tout soin, et vivant en commun, ils persévèrent unanimement dans la prière ; l'Eucharistie devient leur nourriture journalière, et la charité entretient une telle union entre eux, qu'ils n'avaient plus qu'un cœur et qu'une âme. La descente du Saint-Esprit a le même effet sur les Gentils, sur des idolâtres, plongés dans la corruption et les vices les plus infâmes. Ils forment ces Églises si édifiantes, qui font notre admiration, et à qui Saint Paul adressait ses divines épîtres.

D'où vient qu'alors presque tous les chrétiens étaient intérieurs, et qu'il y en a si peu aujourd'hui ?
La grâce du Saint-Esprit était-elle plus abondante ? Non. Les Juifs et les Gentils étaient-ils mieux disposés par leur vie précédente ? Non encore. À quelle cause donc attribuer cette différence ? La voici. Dès qu'ils ont connu la vérité, dès qu'ils en ont été touchés, ils l'ont embrassée, et embrassée tout entière ; ils ont renoncé à tout ce qui s'y opposait au-dedans d'eux-mêmes ; ils ont foulé aux pieds le respect humain, et tous les obstacles extérieurs ; ils se sont mis dans la disposition de sacrifier leurs biens, leurs parents, leur honneur, leur vie ; c'est avec une pareille détermination qu'ils se faisaient chrétiens, et qu'ils recevaient le Saint-Esprit. Est-il étonnant qu'il produisît en eux des effets admirables ?

Aujourd'hui le Saint-Esprit descend sur nous dans un âge où nous savons à peine ce que c'est qu'être chrétien. Les enfants les mieux élevés elles plus pieux se font une routine d'exercices de piété ; ils ne sont pas encore en état d'être intérieurs, j'en conviens ; mais ni leurs parents, ni leurs maîtres ne les disposent à l'être. On leur apprend le catéchisme et leurs prières ; ils ont des livres d'instruction sur la messe, la confession et la communion. L'on s'applique à régler en eux l'extérieur ; mais de l'intérieur, qui fait le vrai chrétien, à peine leur en parle-t-on. Cependant ils avancent en âge ; leur esprit prend les idées et les préjugés du monde ; leur cœur s'attache aux choses de la terre ; les sens font leur impression ; les passions se développent et s'exercent sur les objets que les sens leur présentent ; l'orgueil et l'amour-propre s'en racinent et se fortifient. Ceux mêmes qui conservent la crainte de Dieu et l'esprit de dévotion se font un plan de piété qui ne leur est pas dicté par le Saint-Esprit, où il n'est pas question de la vie intérieure, qu'ils ne connaissent pas, et qu'ils ne veulent pas connaître, où ils ne se proposent point d'imiter Jésus-Christ, et de marcher à la lumière de sa grâce, d'estimer et aimer ce qu'il a estimé, aimé et choisi pour lui-même, mais où ils suivent leur propre esprit, leur propre volonté, leur caractère, leur humeur et leurs caprices en tout ce qui ne leur paraît pas une offense manifeste à Dieu ; un plan de piété, en un mot, où il ne s'agisse pas de se renoncer soi-même, dont la nature et l'amour-propre s'accommodent, et dont on est content, pourvu qu'on puisse se flatter d'être en état de grâce, sans se mettre en peine de tendre à la perfection chrétienne. Si l'on en excepte un très petit nombre d'âmes, n'est-ce pas là la disposition générale de ceux qui font profession d'être dévots ? Leur conduite n'offre rien de bien répréhensible à l'extérieur. Ils s'acquittent régulièrement de leurs exercices de piété ; ils fréquentent les sacrements ; ils font chaque jour quelque bonne lecture. Mais hors de ces moments qu'ils donnent à Dieu , ils vivent pour eux-mêmes ; ils sont livrés à une dissipation d'esprit continuelle ; ils n'ont que des vues naturelles et humaines ; ils ne savent ce que c'est que de rentrer dans leur cœur pour y écouter Dieu ; au contraire, ils se fuient eux-mêmes, ils se jettent sur les objets extérieurs, et sont sourds à la voix qui les rappelle au-dedans. Faut-il être surpris que de tels chrétiens ne reçoivent jamais le Saint-Esprit, ou que sa venue ne produise en eux aucun effet semblable à ceux qu'elle produisait dans les Fidèles des premiers temps !





L'on est, je pense, maintenant en état de bien entendre en quoi consiste la dévotion au Cœur de Jésus : dévotion nouvelle, quant à sa dénomination, mais dévotion aussi ancienne que l'Église, quant à son principal objet, mieux connue et mieux pratiquée des premiers Fidèles, qu'elle ne l'a jamais été depuis. Si, dans l'avant-dernier siècle, Jésus-Christ l'a révélée lui-même à une sainte âme, ce fut pour ranimer la ferveur presque éteinte, et pour rappeler les chrétiens de nos jours à cet ancien esprit que nous admirons dans les martyrs et dans les confesseurs des trois premiers siècles, mais que nous sommes bien éloignés de retracer en nous. Le Cœur de Jésus, c'est son intérieur ; il n'est rien de plus intime dans l'homme que le cœur ; c'est par le cœur qu'il est bon ou mauvais, qu'il plaît ou déplaît à Dieu. Les hommes eux-mêmes n'estiment et n'aiment rien de plus dans leurs semblables que les qualités du cœur ; et tout l'art de ceux qui ne les ont pas est de feindre de les avoir, sachant bien qu'ils ne gagneront l'estime et l'affection des autres que par là. Ainsi, le Cœur de Jésus, ce sont ses vertus, son amour pour son Père et pour nous, sa douceur, son humilité ; ce sont les sentiments dont il a été affecté dans tout le cours de sa vie et dans sa passion : sentiments du zèle le plus ardent pour les intérêts de son Père ; sentiments de bonté, de tendresse, de compassion pour nous, et du désir le plus vif de nous rendre heureux jusqu'à sacrifier sa vie pour ces deux objets. Dans le langage humain, comme la tête est le siège de la pensée, le cœur est le siège du sentiment et des passions, de la joie et de la tristesse, de la crainte et du désir. Ces passions étaient surnaturelles en Jésus-Christ, et excitées par les deux grands motifs de la gloire de Dieu et de notre salut. Voilà ce qui est proposé à la méditation, aux affections et à l'imitation des Fidèles, dans la dévotion au Cœur de Jésus.

Ainsi, être solidement dévot à ce Cœur adorable, c'est y pénétrer à l'aide de la méditation ou de l'oraison, pour connaître ses dispositions, ses inclinations, les objets qu'il avait en vue, les principes qui le faisaient agir, les vertus qu'il pratiquait, et tout ce qui lui causait du plaisir ou de la peine. C'est ensuite concevoir par rapport à ce divin Cœur les sentiments d'amour et de reconnaissance qu'il mérite de notre part, de regret de tous les déplaisirs que nous lui avons causés, et de ce que nous lui avons fait souffrir ; de ce désir sincère et efficace de le contenter et de ne rien négliger pour lui plaire, en expiant et en réparant nos fautes passées. C'est enfin de nous étudier à l'imiter, comme nous y exhorte l'apôtre, exprimant en nous-mêmes les sentiments qui ont été en Jésus-Christ, nous revêtant de Jésus-Christ (Philipp. II, 5. Rom. XIII, 14), pensant, parlant, agissant comme lui, par les mêmes principes et par les mêmes fins que lui : en sorte que nous lui ressemblions pour l'intérieur et pour l'extérieur, l'un étant la suite nécessaire de l'autre. Qu'on nous dise si ce n'est pas le but de l'Évangile et des épîtres des apôtres, surtout de Saint Paul ; s'il n’est rien de plus solide et de plus profond dans la religion ; s'il peut y avoir une piété plus vraie, plus agréable à Dieu, plus utile à notre âme ; si ce n'est pas même là l'essence de la piété. N'ai-je pas eu raison de dire que cette dévotion, ainsi considérée, a commencé avec l'Église, et que c'est elle qui, des premiers chrétiens, a fait autant d'hommes intérieurs ? En effet, il est impossible qu'on ne devienne pas intérieur, si on l'envisage et si on la pratique de la manière qui vient d'être dite, puisque la vie intérieure n'a point d'autre objet de réflexion, de contemplation, d'affection, et d'imitation que Jésus-Christ. À quel autre irions-nous, Seigneur ? devons-nous dire avec saint Pierre : Vous avez les paroles de la vie éternelle (Jean. VI, 69). N'a-t-il pas dit lui-même que la vie éternelle consistait à connaître son Père, qui est le seul vrai Dieu, et à connaître Jésus-Christ qui a été envoyé de Dieu (Jean. XVII, 3) ? N'a-t-il pas dit : Je suis la voie, la vérité et la vie. Personne ne vient à mon Père que par moi (Jean. XIV, 6) ? Si l'on ne connaît le Père qu'autant que l'on connaît Jésus-Christ comme il veut être connu, pour être aimé et imité, qu'autant que l'on connaît son Cœur, c'est-à-dire ce qu'il y a en lui de plus intérieur, n'est-il pas évident que la connaissance du Cœur de Jésus emporte la connaissance et la pratique de la vie intérieure, et qu'elle la renferme tout entière ? Comment donc faut-il s'y prendre pour avoir accès auprès du Cœur de Jésus, et pour être admis dans ce sanctuaire ? Vous ne pourrez jamais vous y introduire de vous-même, mais donnez votre cœur à Jésus ; livrez-le à ses inspirations et à sa grâce ; il vous en ouvrira l'entrée ; il vous en découvrira tous les secrets ; il vous communiquera l'amour dont il est embrasé, et avec l'amour toutes les vertus qui en sont le cortège. C'est par le don de son propre cœur qu'on gagne le cœur d'autrui. Jésus vous a donné le sien ; il a acquis des droits sur le vôtre. En le lui refusant, vous perdez le droit que vous avez sur le sien, vous le fermez pour vous, et il ne vous est plus libre d'y entrer. Vous me direz que vous êtes dans la pratique de donner votre cœur à Jésus, et que vous n'en êtes pas pour cela plus en possession du sien ; que vous n'en devenez pas plus recueilli, plus disposé à l'oraison, plus intérieur. Je n'ai pas de peine à vous croire. Comment donnez-vous votre cœur à Jésus ? de bouche seulement, par une espèce d'habitude, en récitant, avec une ferveur qui n'existe que dans l'imagination, quelque formule affectueuse que vous trouvez dans un livre. Il faut que ce soit votre cœur lui-même qui se donne avec toute la droiture, la sincérité, la générosité dont il est capable ; qu'il renonce à se posséder, à se gouverner d'une manière indépendante ; qu'il s'abandonne à la discrétion de Jésus, pour qu'il fasse de lui tout ce qu'il jugera à propos, et que les effets prouvent que cette donation est réelle. Quels sont ces effets ? de ne plus reprendre votre cœur en écoutant l'amour-propre, en vous livrant à la recherche de vous-même, aux impressions extérieures, à toutes vos inclinations naturelles ; d'être attentif et fidèle à la grâce, qui vous inspirera en toutes rencontres de mourir à vous-même, afin que Jésus-Christ vive en vous ; de bien prendre toutes les petites mortifications, contradictions et humiliations qui vous arriveront de la part des créatures ; de vous retirer de ce qui peut vous dissiper, vous attacher, éteindre en vous l'attrait de la présence de Dieu, et l'oraison. Voilà sans doute à quoi vous oblige le don de votre cœur. Est-ce là ce que vous faites ?

Vous êtes dévot au Cœur de Jésus ; c'est-à-dire que vous désirez que la pensée de ce Cœur fasse naître en vous de bons sentiments, de saintes affections, vous fasse verser quelques larmes, vous remplisse de goûts et de consolations sensibles. Rien n'est plus propre, en effet, que le Cœur de Jésus à exciter de tels sentiments. Mais vous ne voulez que cela ; vous vous bornez là. Ce n'est pas là aimer le Cœur de Jésus, c'est vous aimer vous-même, et ne chercher dans ce divin Cœur qu'une vaine et stérile satisfaction, qui aboutit à vous faire croire que votre dévotion est réelle, tandis qu'elle est illusoire. Allez au vrai but de cette dévotion. Réformez votre propre cœur sur celui de Jésus. Copiez les vertus dont il vous présente le modèle. Imitez sa douceur, son humilité, sa patience, sa charité. Voyez comment il était affecté sur chaque objet, et aspirez de toutes vos forces à vous mettre dans les mêmes dispositions ; condamnez-vous de n'y être pas, et priez-le sans cesse de vous aider à les acquérir. C'est là honorer véritablement le Cœur de Jésus, et prendre la voie d'une dévotion solide et intérieure. Ceux qui trouvent à redire qu'on offre au culte et à la piété des Fidèles le Cœur matériel de Jésus devraient songer que nos sens et notre imagination ont besoin d'un objet sensible ; que ce Cœur, comme organe corporel, est adorable en lui-même à cause de son union avec la Divinité ; que néanmoins ce n'est pas à lui qu'on s'arrête ; mais que l'intention expresse de l'Église est qu'on passe aux sentiments dont l'âme de Jésus a été affectée, et dont son cœur est le symbole. Il est même certain que plusieurs de ces censeurs changeraient d'avis, s'ils voulaient chercher à acquérir des connaissances plus approfondies sur le point qui fait l'objet de leur critique.

Après ces Considérations générales, nous allons considérer la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus, sous le rapport de son origine, de sa nature, de son excellence, et de sa pratique. Nous ne pouvons rien faire de mieux que d'extraire de l'ouvrage du R. P. de Galliffet, ce que nous avons à dire sur cette dévotion, et nous renvoyons le lecteur qui désirerait se procurer des lumières plus étendues, au traité complet et plein d'érudition théologique, qui a été publié par ce savant religieux, en l'année 1734, sous ce titre : De l'excellence de la dévotion au Cœur de Jésus. Il est également nécessaire de consulter deux ouvrages écrits vers la même époque, par Monseigneur Languet, évêque de Soissons, et dont le premier a paru sous le titre de Vie de la V. Mère Marguerite-Marie, et le second sous celui de Recueil des écrits de la V. Mère Marguerite-Marie...




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