samedi 2 janvier 2021

Les attraits de la Sagesse incarnée


Rencontre de Jésus et Saint Jean-Baptiste



LES ATTRAITS DE LA SAGESSE INCARNÉE



Comme nous allons le voir, Montfort les ramène tous à cette constante DOUCEUR qui rayonnait de son Humanité sainte.

La douceur de son TEMPÉRAMENT. Elle est née de la plus douce, de la plus tendre et de la plus belle de toutes les mères. Expliquez-moi la douceur de Jésus. Expliquez-moi auparavant la douceur de Marie, sa Mère, à qui il ressemble dans la douceur du tempérament. Jésus est l’enfant de Marie, et, par conséquent, il n’y a en lui ni fierté, ni rigueur, ni laideur, et encore infiniment moins que dans sa Mère, puisqu’il est la Sagesse Éternelle, la douceur et la beauté même.

« Les Prophètes à qui, par avance, cette Sagesse Incarnée a été montrée, la nomment une brebis et un agneau de douceur : Agnus mansuetus (Jér., XI, 19). Ils prédisent qu’à cause de sa douceur, elle n’achèvera pas de rompre un roseau demi rompu, ni d’éteindre une mèche encore fumante : calamum quassatum non conteret, et linum fumigans non extinguet (Is. XLII, 3). C’est-à-dire qu’elle aura tant de douceur que, lorsqu’un pauvre pécheur serait à demi brisé, aveuglé et perdu par ses péchés, elle ne le perdra pas à moins qu’il ne l’y contraigne.

« Saint Jean-Baptiste, qui fut près de trente ans dans les déserts pour y mériter, par ses austérités, la connaissance et l’amour de cette Sagesse Incarnée, ne l’eut pas plus de vue, qu’il s’écria, en la montrant du doigt à ses disciples : Ecce Agnus Dei… Voilà l’Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde (Jean, I, 29). Il ne dit pas, comme il semblait devoir dire : Voilà le Très-Haut, voilà le Roi de gloire, voilà le Tout-Puissant ; mais comme il le connaissait plus qu’aucun homme qui ait été et qui sera jamais : Voilà l’Agneau de Dieu, voilà cette Sagesse Éternelle qui, pour charmer les cœurs et remettre nos péchés, a uni en soi toute la douceur de Dieu et de l’homme, du Ciel et de la terre ».

La douceur de son NOM. « Jésus est le nom propre de la Sagesse Incarnée. Que nous marque ce nom, si ce n’est une charité ardente, un amour infini et une douceur charmante ? Jésus, Sauveur, celui qui sauve l’homme, dont le propre est d’aimer et de sauver l’homme !

Nil canitur suavius,
Nil auditur jucundius,
Nil cogitatur dulcius
Quam Jesus, Dei Filius
.

« Aucun chant plus suave, aucune voix plus agréable, aucune pensée plus douce que Jésus, le Fils de Dieu.

« Oh, que ce nom de Jésus est doux à l’oreille et au cœur d’une âme prédestinée : c’est un miel très doux à la bouche, une mélodie agréable à l’oreille et une jubilation parfaite au cœur. Mel in ore, in aure melos, in corde jubilus (Saint Bernard) ».

La douceur de son VISAGE. « Ce très aimable Sauveur a un visage si doux et si débonnaire, qu’il charmait les yeux et les cœurs de ceux qui le voyaient. Les pasteurs, qui vinrent le voir dans l’étable, étaient tous si charmés de la douceur et de la beauté de son visage qu’ils demeuraient des jours entiers comme hors d’eux-mêmes à le regarder. Les rois eux-mêmes n’eurent pas plus tôt senti les traits amoureux de ce bel Enfant que, déposant toute fierté, ils tombèrent sans peine au pied de la crèche. Combien de fois se dirent-ils l’un à l’autre : Amis, qu’il est doux d’être ici ! On ne trouve point, dans nos palais, des plaisirs semblables à ceux qu’on goûte en cette étable à voir ce cher Enfants-Dieu.

« Jésus étant encore fort jeune, les personnes affligées et les enfants venaient, de tous les lieux circonvoisins, le voir pour se réjouir, et ils s’entre disaient : Allons voir le petit Jésus, le bel Enfant de Marie. La beauté et la majesté de sa face, dit saint Jean Chrysostome, était si douce et si respectable tout ensemble, que ceux qui le connaissaient ne pouvaient s’empêcher de l’aimer… Quelques auteurs assurent que, si les soldats romains et les Juifs lui voilèrent le visage, ce n’était que pour le souffleter et le maltraiter plus aisément, parce qu’il sortait de ses yeux et de son visage un éclat de beauté si doux et si ravissant qu’il désarmait les plus cruels ».

La douceur de ses PAROLES. « On ne l’a jamais entendu crier ni disputer, comme les Prophètes avaient prédit : Non contendet neque clamabit, neque audiet aliquis in plateis vocem ejus (Is., XLII, 2 ; Mat., XII, 19). Tous ceux qui l’écoutaient sans envie étaient si charmés des paroles de vie qui sortaient de sa bouche, qu’ils s’écriaient : Nunquam sic locutus est homo sicut hic homo (Jean, VII, 46) ; et ceux même qui le haïssaient, tout surpris de l’éloquence et de la sagesse de ses paroles, demandaient : Unde hui sapientia haec ? (Mat. XIII, 54). Jamais homme n’a parlé avec tant de douceur et de grâce. Où est-ce qu’il a reçu une telle sagesse dans ses paroles ?

« Plusieurs milliers de pauvres gens quittaient leurs maisons et leurs familles pour aller l’écouter jusque dans les déserts, passant plusieurs jours sans boire et sans manger, rassasiés de la douceur de sa seule parole. Ce fut par la douceur de ses paroles qu’il attira, comme avec un appât, ses apôtres à sa suite, qu’il guérit les malades les plus incurables et qu’il consola les plus affligés. Il ne fit que dire à Marie-Magdeleine toute désolée ce seul mot : Marie, et il la combla de joie et de douceur ».

La douceur de ses ACTIONS. « Jésus enfin est doux en ses actions et en toute la conduite de sa vie : Bene omnia fecit (Marc, VII, 37) ; il a bien fait toutes ses actions, c’est-à-dire que tout ce qu’a fait Jésus-Christ est fait avec tant de justesse, de sagesse, de sainteté et de douceur, qu’on n’y peut remarquer aucun défaut ni aucune difformité…

« Les pauvres et les petits enfants le suivaient partout comme leur semblable. Ils voyaient en ce cher Sauveur tant de simplicité, de bénignité, de condescendance et de charité, qu’ils faisaient la presse pour l’approcher. Un jour qu’il était à prêcher, les enfants s’empressèrent auprès de lui. Les apôtres les repoussaient. Jésus reprit ses apôtres et leur dit : Laissez venir à moi ces chers petits enfants (Marc, X, 14). Puis il les embrassa et les bénit en leur imposant les mains. Oh ! quelle douceur et quelle bénignité.

« Les pauvres, le voyant habillé pauvrement et simple en toutes ses manières, sans faste et sans fierté, ne se plaisaient qu’en sa compagnie, prenaient partout sa défense contre les riches et les orgueilleux qui le calomniaient et le persécutaient ; et lui, de son côté, leur donnait en toute rencontre mille louanges et bénédictions.

« Mais qui pourra expliquer la douceur de Jésus envers les pauvres pécheurs ! Avec quelle douceur il traitait Magdeleine la pécheresse ! Avec quelle douce condescendance il convertit la Samaritaine ! Avec quelle miséricorde il pardonnait à la femme adultère ! Avec quelle charité allait-il manger chez les pécheurs publics pour les gagner ! Ses ennemis ne prirent-ils pas occasion de cette grande douceur pour le persécuter, en disant qu’il faisait par sa douceur transgresser la loi de Moïse, et en l’appelant comme par injure l’ami des pécheurs et des publicains ? Avec quelle bonté et humilité tâcha-t-il de gagner le cœur de Judas qui le voulait trahir, en lui lavant les pieds et en l’appelant son ami ! enfin, avec quelle charité demanda-t-il pardon à Dieu son Père pour ses bourreaux, en les excusant à cause de leur ignorance !…

« Et qu’on ne s’imagine pas que Jésus, pour être maintenant triomphant et glorieux, en soit moins doux et condescendant. Au contraire, sa gloire perfectionne, en quelque manière, sa douceur : il n’a pas tant de désir de paraître que de pardonner, d’étaler les richesses de sa gloire que celles de ses miséricordes.

« Quand cette Sagesse incarnée et glorieuse s’est montrée à ses amis, elle leur a apparu non d’une manière tonnante et foudroyante, mais d’une manière douce et bénigne ; elle n’a pas pris la majesté d’une souveraine et du Dieu des armées, mais la tendresse d’un époux et la douceur d’un ami. Elle s’est quelquefois fait voir dans l’Eucharistie ; mais je ne me souviens pas avoir lu qu’elle y soit apparue autrement que sous la forme d’un doux et bel enfant…

« Après cela, n’aimerons-nous pas cette Sagesse Éternelle qui nous a plus aimés et nous aime encore plus que sa vie, et dont la beauté et la douceur surpassent tout ce qu’il y a de plus beau et de plus doux au ciel et sur la terre ! » (ASE N° 118 à 128 et 131).

On sait que, pendant la mission qu’il donnait à Saint-Laurent-sur-Sèvre, en avril 1716, le Père de Montfort fut brusquement terrassé par la maladie. Se sentant cette fois frappé à mort, il voulut néanmoins monter en chaire, en raison de la présence de Mgr de Champflour, évêque de la Rochelle, venu présider l’une des cérémonies. Tremblant de fièvre, la poitrine oppressée, haletante, il parla sur la douceur de Jésus, et avec un tel amour, en des termes si pleins d’onction que tout l’auditoire fondit en larmes.

Ce fut son dernier sermon. Nous en avons toute la substance dans les pages que nous venons de méditer.


LES ORACLES DE LA SAGESSE INCARNÉE



Plus encore que par sa mansuétude, Jésus se révèle la sagesse Incarnée dans ses Oracles évangéliques. Aussi Montfort a-t-il recueilli et rassemblé les plus propres à maintenir nos esprits en face du sérieux de cet enseignement. Il se contente de rapporter les paroles du divin Maître, sans y mêler aucun commentaire ; mais le choix des textes et leur ordonnance heureuse prouvent combien son âme les a pesés et médités avant de nous les livrer.

Nous allons donc entendre la Sagesse Éternelle nous parler, non plus par les Patriarches et les Prophètes de l’ancienne Loi, ni dans les immortelles sentences des livres sapientiaux ; mais directement par elle-même, en un langage qui sonne à nos oreilles. En Jésus-Christ, c’est le Verbe, Sagesse substantielle et personnelle, qui a parlé aux hommes.

Partant du principe fondamental posé par cette Sagesse infinie, à savoir que, pour être son disciple, il faut se renoncer jusqu’à la croix (Luc, IX, 32), garder ses commandements (Jean, XIV, 23), chercher la paix avec nos frères (Mat., V, 23), Montfort entre aussitôt avec le Christ dans le détail des renoncements exigés :

- renoncement aux affections charnelles (Luc, XIV, 26) ;
- renoncement aux biens de ce monde (Mat., XIX, 21, 29) ;
- renoncement à la volonté propre (Mat., VII, 21, 24) ;
- renoncement à toute duplicité : se convertir et devenir comme des enfants (Mat., XVIII, 3) ;
- renoncement à l’esprit de violence et d’orgueil : Apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos de vos âmes (Mat. XI, 29).

Pour réaliser ces renoncements, toujours durs à la nature, il faudra prier de la manière recommandée par la Sagesse (Mat. VI, 5, 7-8 ; Marc, XI, 24-25) ;

Il faudra savoir maîtriser ses sens par le jeûne (Mat. VI, 16), et réparer le passé par la pénitence (Luc, XV, 7 ; V, 32) ;
Il faudra trouver son bonheur sans les persécutions du monde (Mat. V, 10 ; Luc, VI, 22-23). Si le monde vous hait et vous persécute, sachez qu’il m’a eu en haine le premier… (Jean, XV, 18-19).

Bien des fois, nous serons tentés de découragement. Mais la Sagesse n’est-elle pas là pour nous soutenir, nous consoler ? Venez à moi, vous tous qui êtes affligés et chargés, et je vous consolerai (Mat., XI, 28).

N’est-elle pas le Pain de vie, capable de nous fortifier ? (Jean, VI, 51-52, 56-57).

Ne prend-elle pas soin de nous, quand les hommes nous font souffrit ?… Je vous promets que pas un cheveu de votre tête ne tombera que je n’en aie soin (Luc, XXI, 17-18).

Nous n’avons donc rien à craindre, pourvu toutefois qu’elle soit l’unique Souveraine de notre cœur, car personne ne peut servir deux maîtres à la fois…(Mat. VI, 24) ; et l’homme vaut ce que vaut son codeur. Si le cœur est mauvais, rien de bon n’en sortira (Mat., XV, 19-20 ; XII, 35).

Suivent quelques Conseils, dictés pareillement par l’Éternelle Sagesse :

Ne jamais regarder en arrière (Luc, IX, 62) et faire confiance au Sauveur (Luc, XII, 7 ; Jean, III, 17).

Aimer vivre dans la Lumière (Jean, III, 20) car Dieu est Esprit…(Jean, III, 20), et… la chair ne profite de rien… (Jean, VI, 64), et quiconque fait le péché se rend esclave du péché… (Jean, VIII, 34-35) ; mais celui qui est fidèle dans les petites choses comme dans les plus grandes (Luc, XVI, 10), celui-là fait des œuvres de lumière… (Mat., V, 16).

Rechercher une justice abondante, plus que celle des scribes et des pharisiens (Mat., V, 20) ; une justice prête à tous les sacrifices… qu’il s’agisse d’un membre, si ce membre nous scandalise (Mat., V, 29 ; XI, 12) ; ou de trésors que la rouille peut corrompre et les voleurs dérober (Mat., VI, 19-20) ; ou surtout de jugement porté sur le prochain, car le même jugement nous sera appliqué (Mat., VII, 1-2).

Se montrer toujours circonspect, soit vis-à-vis des faux prophètes couverts d’une peau de brebis (Mat., VII, 15-16) ; soit vis-à-vis des plus petits enfants : il faut prendre garde de n’en mépriser aucun, car leurs anges dans le Ciel voient sans cesse la face du Père (Mat., XVIII, 10). De plus, se montrer vigilant, puisque nous ne savons ni le jour, ni l’heure où le Seigneur viendra (Mat., XXV, 13).

Ne s’inquiéter que du salut de son âme et du jugement de Dieu. Donc, ne pas craindre ceux qui ne peuvent tuer que le corps (Luc, XII, 4-5), et ne pas se tourmenter au sujet de la nourriture et du vêtement, car le Père céleste sait bien ce qui nous est nécessaire (Luc, XII, 22, 30) ; mais avoir la ferme conviction que tout ce qui est présentement caché et secret sera un jour découvert et révélé (Luc, VIII, 17).

Pratiquer enfin le bien vis-à-vis de tous, amis et ennemis (Mat., XX, 26-27) ; V, 44), dans un grand esprit de désintéressement, surtout vis-à-vis des richesses (Marc, X, 23 ; Luc, XVIII, 23). Malheur, en effet, à ceux qui ont leur consolation en ce monde (Luc, VI, 24).

Telle est la Porte étroite, indiquée par la Sagesse (Mat., VII, 13-14 ; XX, 16). Toujours, son humble disciple se souviendra qu’il doit donner (Act. XX, 35), pardonner (Mat., V, 39-40), prier sans jamais s’en lasser (Luc, XVIII, 1 ; Mat., XXVII, 41), faire l’aumône (Luc, VI, 41), et aimer s’humilier (Luc, XIV, 11).

Il aura alors accès aux Béatitudes promises et ce sera sa récompense, même dès ici-bas :

Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des Cieux est à eux !
Heureux ceux qui sont doux, car ils posséderont la terre !
Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés !
Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés !
Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde !
Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu !
Heureux les pacifiques, car ils seront appelés enfants de Dieu !
… (Mat., V, 3-9)

Tout ceci est la révélation de Dieu aux humbles et aux petits : Je vous bénis, Père, Seigneur du Ciel et de la terre, de ce que vous avez caché ces choses aux prudents du siècle, et les avez révélées aux petits… (Mat., XI, 25-26).

« Voilà, conclut Montfort, l’abrégé des grandes et importantes vérités que la Sagesse Éternelle est venue elle-même nous enseigner sur la terre, après les avoir pratiquées la première… Bienheureux ceux qui ont l’intelligence de ces vérités éternelles. Plus heureux ceux qui les croient. Mais très heureux ceux qui les croient, les pratiquent et les enseignent aux autres ; car ils brilleront dans le Ciel comme des étoiles pendant l’éternité » (ASE, N° 133-153).

Quel enrichissement dans ces pages sur tout ce qui avait déjà été dit pendant nos douze Jours préliminaires et pendant notre première Semaine ! Il sera bon de les relire et méditer souvent. Chaque fois, nous sentirons comme une grâce de réflexion profonde envahir notre entendement et le subjuguer. Remercions Marie, la Mère de la Sagesse Incarnée, pour tant de lumières déversées en nos âmes.


(Père Dayet, Exercices préparatoires à la consécration de Saint Louis-Marie de Montfort)



Reportez-vous à Litanies du Saint Nom de Jésus, Instruction sur la Fête de la Purification, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 31e Méditation : Il s'en alla ensuite avec eux à Nazareth, et il leur était soumis, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 30e Méditation : Après trois jours, ils le trouvèrent dans le temple, assis au milieu des docteurs, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 29e Méditation : Quand Jésus eut atteint l'âge de douze ans, Marie et Joseph le conduisirent à Jérusalem, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 28e Méditation : Le saint Enfant croissait et se fortifiait, étant rempli de sagesse, et la grâce de Dieu était en lui, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 27e Méditation : Joseph, prenant la nuit même l'Enfant et sa Mère, se retira en Égypte, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 26e Méditation : Hérode voyant que les mages l'avaient trompé, entra dans une grande colère, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 25e Méditation : L'ange du Seigneur apparut en songe à Joseph, et lui dit : Levez-vous, prenez l'enfant et sa mère, et fuyez en Égypte, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 24e Méditation : L'enfant que voilà est au monde pour la perte et le salut de plusieurs, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 23e Méditation : Il y avait à Jérusalem un homme juste et craignant Dieu, nommé Siméon, Discours sur la purification de Marie, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 22e Méditation : Ils portèrent Jésus à Jérusalem, afin de l'offrir au Seigneur, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 21e Méditation : Cependant Marie ne perdait rien de toutes ces choses et les méditait dans son cœur, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 20e Méditation : Ayant été averti en songe de ne point aller trouver Hérode, ils retournèrent en leur pays par un autre chemin, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 19e Méditation : Se prosternant, ils l'adorèrent ; puis ayant ouvert leurs trésors, ils lui offrirent en présent de l'or, de l'encens et de la myrrhe, Discours aux jeunes époux, du Pape Pie XII, durant l'Octave de l’Épiphanie, le 10 janvier 1940, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 18e Méditation : Voici que l'étoile qu'ils avaient vue en Orient parut, allant devant eux, jusqu'à ce qu'elle vint s'arrêter sur le lieu où était l'enfant, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 17e Méditation : À la nouvelle de la naissance du saint Enfant, le roi Hérode fut troublé, et tout Jérusalem avec lui, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 16e Méditation : Nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus pour l'adorer, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 15e Méditation : Voici que les Mages vinrent de l'Orient à Jérusalem, Méditation pour le Jour des Rois : Que votre Règne arrive, Instruction sur la Fête des Rois, Méditation sur l’Épiphanie : Les Mages confessent Jésus-Christ devant les hommes, Méditation sur l’Épiphanie : Les Mages à Jérusalem, Méditation pour l’Épiphanie : La vocation des mages prédite et figurée, notre vocation à la foi de Jésus-Christ, Méditation sur l’Épiphanie : Les Rois-Mages, Méditation sur l’Épiphanie : Du ministère de Marie dans la vocation des Gentils à la Foi, Remerciement, offrande et prière au Verbe de Dieu incarné, pour l'Octave de l'Épiphanie, Méditation sur l’Épiphanie, Méditation sur la Nativité, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 14e Méditation : On lui donna le nom de Jésus, Litanies du Saint Nom de Jésus, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 13e Méditation : On lui donna le nom de Jésus, nom qui lui avait été donné par l'ange, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 12e Méditation : Après huit jours, le saint Enfant fut circoncis, Instruction sur la Circoncision, Méditation sur la Circoncision, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 11e Méditation : Les bergers revinrent en glorifiant et en louant Dieu de tout ce qu'ils avaient vu et entendu, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 10e Méditation : Les bergers se disaient les uns aux autres : Allons jusqu'à Bethléem, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 9e Méditation : Gloire à Dieu au plus haut des Cieux, et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 7e Méditation : Tout à coup l'Ange du Seigneur parut auprès d'eux, Salutation à Marie et à Jésus naissant, Litanies du Saint Enfant-Jésus, Méditation pour la Fête de Noël : Vous trouverez un Enfant enveloppé de langes, et couché dans une Crèche, Instruction sur la Fête de Noël, Pratique de la Dévotion à l'enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 1re Méditation : Marie s'étant rendue avec Joseph à Bethléem, le temps de son divin enfantement arriva, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 2e Méditation : Je vous annonce un grand sujet de Joie, il vous est né aujourd'hui un Sauveur, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 3e Méditation : Marie mit au monde son fils premier-né, et l'enveloppa de langes, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 4e Méditation : Marie, après avoir enveloppé de langes le saint Enfant, le coucha dans la crèche, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 5e Méditation : Voici le signe qui vous est donné : vous trouverez un enfant enveloppé de langes et couché dans une crèche, Dévotion à la Sainte Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 6e Méditation : Il y avait là aux environs des bergers qui veillaient et se relevaient les uns les autres pendant la nuit, pour la garde de leurs troupeaux, Litanies du Saint Enfant-Jésus, et Dévotion au Saint Enfant-Jésus : Prière d'amour et Consécration.